Dans un communiqué diffusé ce lundi 19 septembre 2016, le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) France ALPA "s'oppose à la méthode de financement envisagée" pour le CDG Express.
Sa construction sera confiée à une société de projet qui regroupe la SNCF et Paris Aéroport.
Ce qui, selon le SNPL est une stratégie de l’État qui, ainsi, "se défausse de son devoir d'aménagement du territoire en n'entendant pas consacrer un centime au développement d'une infrastructure, pourtant reconnue comme essentielle, non seulement pour l'industrie du transport aérien mais aussi pour le développement touristique de toute la région Île-de-France."
Surtout que, comme l'ajoute le syndicat, "Paris Aéroport, qui dégage pourtant depuis des années de confortables bénéfices, a décidé une nouvelle fois de ponctionner au travers d'une nouvelle taxe sur les billets d'avion ses vaches à lait préférées, les compagnies aériennes."
Le SNPL met aussi en cause Alain Vidalies, secrétaire d’État en charge des Transports qui propose de compenser cette taxe en en supprimant une autre.
L'organisation demande au Gouvernement l'abandon de la taxe sur les billets d'avion envisagée pour financer le CDG Express et la baisse des autres taxes sur le transport aérien comme le préconise le rapport Le Roux sur la compétitivité du secteur.
Sa construction sera confiée à une société de projet qui regroupe la SNCF et Paris Aéroport.
Ce qui, selon le SNPL est une stratégie de l’État qui, ainsi, "se défausse de son devoir d'aménagement du territoire en n'entendant pas consacrer un centime au développement d'une infrastructure, pourtant reconnue comme essentielle, non seulement pour l'industrie du transport aérien mais aussi pour le développement touristique de toute la région Île-de-France."
Surtout que, comme l'ajoute le syndicat, "Paris Aéroport, qui dégage pourtant depuis des années de confortables bénéfices, a décidé une nouvelle fois de ponctionner au travers d'une nouvelle taxe sur les billets d'avion ses vaches à lait préférées, les compagnies aériennes."
Le SNPL met aussi en cause Alain Vidalies, secrétaire d’État en charge des Transports qui propose de compenser cette taxe en en supprimant une autre.
L'organisation demande au Gouvernement l'abandon de la taxe sur les billets d'avion envisagée pour financer le CDG Express et la baisse des autres taxes sur le transport aérien comme le préconise le rapport Le Roux sur la compétitivité du secteur.
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