Comme toutes les réunions et les ordres du jour du Comité Technique, l’organe consultatif belge qui participe aux décision d’octroi ou de retrait de licence sont confidentielles, ce n’est que par recoupements successifs que nous avons pu en apprendre un peu plus sur la situation du groupe italien en Belgique.
En ce qui concerne les créances dues, il est très difficile en dehors d’une estimation totale de fixer le montant dû. Il ne nous a par exemple été impossible de connaître avec précision les répartitions des impayés. Pour l’une de nos sources, il s’agirait d’une enveloppe globale de 500.000 euros. Pour un autre informateur, il s’agirait de beaucoup plus.
Tout ce que nous savons avec certitude, c’est que si les BSP, la TVA, le personnel et certains fournisseurs ont été payés, par contre il existerait encore des dettes envers les lois sociales en Belgique (l’ONSS) et plusieurs fournisseurs dont des TO.
Par contre, il nous a été ainsi expliqué de source sûre qu’à très court terme, deux paiements plus qu’importants doivent être effectués dans les plus brefs délais. Par déduction, notre informateur ne nous ayant pas donné plus de détails, nous pensons que l’un d’entre eux doit être le BSP. En tout état de cause, la caution légale qui est de 12.500 euros ne couvrirait en aucun cas les engagements commerciaux.
La recapitalisation ou la faillite
Il a été expliqué à nouveau,que le groupe allait être recapitalisé et que la Belgique allait recevoir plus ou moins 2,5 millions euros. Mais d’après l’un de nos informateurs: « Cette somme ne pourrait que couvrir les dette existantes et serait insuffisante pour une relance de l’activité du groupe en Belgique ».
Tandis qu’une autre source nous a expliqué que la recapitalisation de la filiale belge permettrait de renouer le dialogue avec les banques et donc la réouverture des lignes de crédit.
D’après ce que nous avons appris et sous toute réserve, le Comité Technique belge a décidé de … ne rien décider. Pratiquement, il laisse une dernière chance à la CIT Belgium. Comme on nous l'a précisé « Si la recapitalisation du groupe et donc de la filiale belge s’effectue réellement et je dis bien réellement, c’est à dire sans plus de faux fuyants, avant la fin du mois et que la caution légale ne soit pas entamée, je crois que le Comité n’émettra pas d’avis négatif et que la CIT pourra continuer ses activités en Belgique et au Luxembourg. »
En d’autres mots, si les promesses son respectées, l’été 2004 n’aura été qu’un mauvais moment pour l’un des plus anciens voyagiste en Belgique. Dans le cas contraire, si la recapitalisation effective n’avait pas lieu avant la fin du mois, les jours de la CIT Belgium seraient comptés.
En ce qui concerne les créances dues, il est très difficile en dehors d’une estimation totale de fixer le montant dû. Il ne nous a par exemple été impossible de connaître avec précision les répartitions des impayés. Pour l’une de nos sources, il s’agirait d’une enveloppe globale de 500.000 euros. Pour un autre informateur, il s’agirait de beaucoup plus.
Tout ce que nous savons avec certitude, c’est que si les BSP, la TVA, le personnel et certains fournisseurs ont été payés, par contre il existerait encore des dettes envers les lois sociales en Belgique (l’ONSS) et plusieurs fournisseurs dont des TO.
Par contre, il nous a été ainsi expliqué de source sûre qu’à très court terme, deux paiements plus qu’importants doivent être effectués dans les plus brefs délais. Par déduction, notre informateur ne nous ayant pas donné plus de détails, nous pensons que l’un d’entre eux doit être le BSP. En tout état de cause, la caution légale qui est de 12.500 euros ne couvrirait en aucun cas les engagements commerciaux.
La recapitalisation ou la faillite
Il a été expliqué à nouveau,que le groupe allait être recapitalisé et que la Belgique allait recevoir plus ou moins 2,5 millions euros. Mais d’après l’un de nos informateurs: « Cette somme ne pourrait que couvrir les dette existantes et serait insuffisante pour une relance de l’activité du groupe en Belgique ».
Tandis qu’une autre source nous a expliqué que la recapitalisation de la filiale belge permettrait de renouer le dialogue avec les banques et donc la réouverture des lignes de crédit.
D’après ce que nous avons appris et sous toute réserve, le Comité Technique belge a décidé de … ne rien décider. Pratiquement, il laisse une dernière chance à la CIT Belgium. Comme on nous l'a précisé « Si la recapitalisation du groupe et donc de la filiale belge s’effectue réellement et je dis bien réellement, c’est à dire sans plus de faux fuyants, avant la fin du mois et que la caution légale ne soit pas entamée, je crois que le Comité n’émettra pas d’avis négatif et que la CIT pourra continuer ses activités en Belgique et au Luxembourg. »
En d’autres mots, si les promesses son respectées, l’été 2004 n’aura été qu’un mauvais moment pour l’un des plus anciens voyagiste en Belgique. Dans le cas contraire, si la recapitalisation effective n’avait pas lieu avant la fin du mois, les jours de la CIT Belgium seraient comptés.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
