La CIT Belgique vient d'être déclaré en faillite officiellement hier par le Tribunal de Commerce de Bruxelles.
Le groupe helvétique Kuoni, a décidé de reprendre toutes les activités de CIT-Frantour. Par la même occasion, cette reprise permet de sauver l’emploi de la centaine de collaborateurs encore occupé par la filiale Suisse du groupe italien. Pour mémoire, cette dernière était, depuis la fin avril en sursis concordataire.
Si le montant de cette reprise n'a pas été communiqué officiellement, les créanciers, eux, auront le sourire car il est prévu que cette opération se fera de manière rétroactive puisque la date de rachat a été fixée au 30 avril.
CIT Belgium, enterrement sur la pointe des pieds
Les dernières promesses d’apport financier faites, le lundi 20 mai, au Président du Tribunal de Commerce de Bruxelles par le Président de la CIT, Giuseppe Vimercati, se sont révélées n’être que du vent. Le juge belge en a donc eu assez des tergiversations des actionnaires italiens et a procédé à la mise en faillite d’office de la CIT Belgium.
La signification du jugement a été faite très rapidement puisque ce mardi matin, les curateurs, maître JLJaspar et Beroy se sont présentés au siège de la société. Pour le personnel belge, il nous a été confié que : « Celui-ci est soulagé. Depuis des semaines, la situation était devenue intenable ».
Selon nos informations, les curateurs vont se pencher très attentivement sur les comptes de la société et plus particulièrement sur l’ensemble des transferts de fonds qui ont eu lieu entre la filiale Belge et la maison mère. Comme nous l’avions écrit en fin d’année dernière, certaines de ces opérations pourraient poser problème.
Selon l’une de nos sources : « Certains mouvements financiers qui ont été imposés par l’Italie et avalisés par l’ancienne direction en Belgique, seraient très limites ».
Démission de plusieurs administrateurs italiens
Enfin, il faut noter les raisons données pour la démission de plusieurs administrateurs italiens du groupe (Giuseppe Vimercati, Gianvittorio Gandolfi, Gerolamo Bernareggi, Alfredo Serica et Arcangelo Taddeo).
Selon un communiqué de le CIT Italie, la motivation de ces responsables serait d’aider au rétablissement d’un climat de confiance permettant et facilitant la mise en place du plan de restructuration, le sauvetage du groupe et les négociations avec les investisseurs.
Si le montant de cette reprise n'a pas été communiqué officiellement, les créanciers, eux, auront le sourire car il est prévu que cette opération se fera de manière rétroactive puisque la date de rachat a été fixée au 30 avril.
CIT Belgium, enterrement sur la pointe des pieds
Les dernières promesses d’apport financier faites, le lundi 20 mai, au Président du Tribunal de Commerce de Bruxelles par le Président de la CIT, Giuseppe Vimercati, se sont révélées n’être que du vent. Le juge belge en a donc eu assez des tergiversations des actionnaires italiens et a procédé à la mise en faillite d’office de la CIT Belgium.
La signification du jugement a été faite très rapidement puisque ce mardi matin, les curateurs, maître JLJaspar et Beroy se sont présentés au siège de la société. Pour le personnel belge, il nous a été confié que : « Celui-ci est soulagé. Depuis des semaines, la situation était devenue intenable ».
Selon nos informations, les curateurs vont se pencher très attentivement sur les comptes de la société et plus particulièrement sur l’ensemble des transferts de fonds qui ont eu lieu entre la filiale Belge et la maison mère. Comme nous l’avions écrit en fin d’année dernière, certaines de ces opérations pourraient poser problème.
Selon l’une de nos sources : « Certains mouvements financiers qui ont été imposés par l’Italie et avalisés par l’ancienne direction en Belgique, seraient très limites ».
Démission de plusieurs administrateurs italiens
Enfin, il faut noter les raisons données pour la démission de plusieurs administrateurs italiens du groupe (Giuseppe Vimercati, Gianvittorio Gandolfi, Gerolamo Bernareggi, Alfredo Serica et Arcangelo Taddeo).
Selon un communiqué de le CIT Italie, la motivation de ces responsables serait d’aider au rétablissement d’un climat de confiance permettant et facilitant la mise en place du plan de restructuration, le sauvetage du groupe et les négociations avec les investisseurs.