Quatre syndicats représentatifs sur cinq ont signé l’accord portant sur l’accompagnement des départs volontaires dans le cadre du plan de sauvegarde de l’emploi négocié depuis plusieurs semaines déjà chez Carlson Wagonlit France.
« L’esprit de cet accord est clairement de favoriser les départs volontaires afin de limiter autant que faire se peut les départs contraints », explique Bertrand Mabille, le directeur général du réseau en France.
Les volontaires se verront donc attribuer une somme de 11 000 euros minimum et un mois de salaire en plus de leurs indemnités légales de licenciements.
Ils auront droit, par ailleurs à une priorité d’embauche lorsque l’entreprise aura à nouveau besoin de recruter du personnel.
Seul le syndicat CGT n’a pas paraphé l’accord.
« Pas pour l’instant, car je dois consulter la centaine d’employés de CWT qui adhèrent à la CGT avant, éventuellement, de signer si la majorité l’approuve ».
Mais la CGT avance aussi une autre raison de ne pas signer : « Nous connaissons les modalités d’accompagnement des départs volontaires mais pas celles qui vont accompagner les licenciements secs.
Or, il se pourrait que ces modalités soient plus avantageuses que celles des départs volontaires. Tant que nous ne connaissons pas l’intégralité du PSE, il est difficile de se prononcer ».
Or, la « troisième et dernière réunion d’information-consultation » portant sur le PSE est prévue le 26 juin, selon la communication de CWT.
A la veille des vacances et sous la pression des employés concernés par le PSE, les syndicats auront une marge de manœuvre très étroite pour ne pas accepter les propositions qui leur seront faites…
« L’esprit de cet accord est clairement de favoriser les départs volontaires afin de limiter autant que faire se peut les départs contraints », explique Bertrand Mabille, le directeur général du réseau en France.
Les volontaires se verront donc attribuer une somme de 11 000 euros minimum et un mois de salaire en plus de leurs indemnités légales de licenciements.
Ils auront droit, par ailleurs à une priorité d’embauche lorsque l’entreprise aura à nouveau besoin de recruter du personnel.
Seul le syndicat CGT n’a pas paraphé l’accord.
« Pas pour l’instant, car je dois consulter la centaine d’employés de CWT qui adhèrent à la CGT avant, éventuellement, de signer si la majorité l’approuve ».
Mais la CGT avance aussi une autre raison de ne pas signer : « Nous connaissons les modalités d’accompagnement des départs volontaires mais pas celles qui vont accompagner les licenciements secs.
Or, il se pourrait que ces modalités soient plus avantageuses que celles des départs volontaires. Tant que nous ne connaissons pas l’intégralité du PSE, il est difficile de se prononcer ».
Or, la « troisième et dernière réunion d’information-consultation » portant sur le PSE est prévue le 26 juin, selon la communication de CWT.
A la veille des vacances et sous la pression des employés concernés par le PSE, les syndicats auront une marge de manœuvre très étroite pour ne pas accepter les propositions qui leur seront faites…