Dominique Colliot - DR
Dominique Colliot travaille depuis près de quinze ans à La Maison de La Chine. Une belle fidélité pour un TO fondé par 4 femmes, qui place la passion au coeur du voyage.
Dominique Colliot ne vient pas du monde du tourisme.Diplômée en langue chinoise de l’Institut des Langues Orientales, elle a tout d’abord travaillé dans l’import-export entre la France et la Chine, avant de tomber « par hasard » dans secteur qu’elle quittera plus. Elle est aujourd'hui directrice générale adjointe de la Maison de la Chine.
« J’aime beaucoup ce métier car il est très vivant. Il me permet de vivre de ma passion pour la Chine sans forcément y habiter ».
Elle intègre à ses débuts Assinter voyages, entreprise pionnière dans les voyages pointus en Asie. «A l’époque, seuls six TO avaient des autorisations pour obtenir des visas. Voyager en Chine était une véritable aventure ».
Elle reste dix ans dans le groupe et apprend sur le tas à créer une brochure à vendre des voyages, sans fax ni ordinateur.
Elle intègre ensuite l’équipe de Maison de la Chine avec là encore « des gens passionnés par la destination, qui ne venaient pas forcément de l’univers du tourisme ».
Dans son travail quotidien, Dominique Colliot n'a jamais eu de problème en tant que femme. Sauf peut être dans les restaurants de certains grands hôtels. «Vous dînez seule à une table et les gens vous scrutent avec un regard interrogateur ».
Même chose dans les avions où, il y a quelques années, il était encore rare qu'une femme seule voyage en classe affaires.
Dominique Colliot ne vient pas du monde du tourisme.Diplômée en langue chinoise de l’Institut des Langues Orientales, elle a tout d’abord travaillé dans l’import-export entre la France et la Chine, avant de tomber « par hasard » dans secteur qu’elle quittera plus. Elle est aujourd'hui directrice générale adjointe de la Maison de la Chine.
« J’aime beaucoup ce métier car il est très vivant. Il me permet de vivre de ma passion pour la Chine sans forcément y habiter ».
Elle intègre à ses débuts Assinter voyages, entreprise pionnière dans les voyages pointus en Asie. «A l’époque, seuls six TO avaient des autorisations pour obtenir des visas. Voyager en Chine était une véritable aventure ».
Elle reste dix ans dans le groupe et apprend sur le tas à créer une brochure à vendre des voyages, sans fax ni ordinateur.
Elle intègre ensuite l’équipe de Maison de la Chine avec là encore « des gens passionnés par la destination, qui ne venaient pas forcément de l’univers du tourisme ».
Dans son travail quotidien, Dominique Colliot n'a jamais eu de problème en tant que femme. Sauf peut être dans les restaurants de certains grands hôtels. «Vous dînez seule à une table et les gens vous scrutent avec un regard interrogateur ».
Même chose dans les avions où, il y a quelques années, il était encore rare qu'une femme seule voyage en classe affaires.
Les femmes peu présentes à la tête des entreprises
Heureusement, les mentalités évoluent, «surtout dans l’hôtellerie où l’on trouve de plus en plus de femmes dans les hautes fonctions »
D'ailleurs, le groupe Maisons du Voyage dont fait partie la marque Maison de la Chine, a été l'un des premier fondé par quatre femmes.
« La parité a toujours été inversée » note Dominique Colliot « On constate un gouffre entre les salariés majoritairement des femmes et les dirigeants surtout des hommes ».
Dominique Colliot estime qu'être dirigée par une équipe féminine se ressent dans le management interne. Comme par exemple lors des problèmes de garde d’enfants. Son entreprise a également été la première à mettre en place le système des 35 heures.
Une gestion du personnel très humaine et compréhensive qui plait aux salariés. La plupart d’entre eux sont fidèles, à l’instar de Dominique Colliot qui vient d’entamer sa 15e année de collaboration. « Certaines de mes collègues sont ici depuis encore bien plus longtemps » remarque-t-elle.
Ses collaborateurs sont également très passionnés et apprécient les particularités du TO. « Maison de la Chine propose une approche plus globale qu’une simple agence de voyage » reconnaît Dominique Colliot.
Avec ses expositions, ses conférences et ses séjours culturels, le voyagiste organise de nombreuses activités autour de la destination, qui plaisent aux clients comme aux employés.
D’ailleurs, Dominique Colliot considère que la qualité des connaissances des vendeurs est la plus grande valeur ajoutée pour le TO.
« Je pense que dans le futur, les ventes de séjour sur internet vont augmenter et s’uniformiser. En parallèle, certains opérateurs proposeront une approche de spécialiste, comme nous le faisons aujourd'hui ».
D'ailleurs, le groupe Maisons du Voyage dont fait partie la marque Maison de la Chine, a été l'un des premier fondé par quatre femmes.
« La parité a toujours été inversée » note Dominique Colliot « On constate un gouffre entre les salariés majoritairement des femmes et les dirigeants surtout des hommes ».
Dominique Colliot estime qu'être dirigée par une équipe féminine se ressent dans le management interne. Comme par exemple lors des problèmes de garde d’enfants. Son entreprise a également été la première à mettre en place le système des 35 heures.
Une gestion du personnel très humaine et compréhensive qui plait aux salariés. La plupart d’entre eux sont fidèles, à l’instar de Dominique Colliot qui vient d’entamer sa 15e année de collaboration. « Certaines de mes collègues sont ici depuis encore bien plus longtemps » remarque-t-elle.
Ses collaborateurs sont également très passionnés et apprécient les particularités du TO. « Maison de la Chine propose une approche plus globale qu’une simple agence de voyage » reconnaît Dominique Colliot.
Avec ses expositions, ses conférences et ses séjours culturels, le voyagiste organise de nombreuses activités autour de la destination, qui plaisent aux clients comme aux employés.
D’ailleurs, Dominique Colliot considère que la qualité des connaissances des vendeurs est la plus grande valeur ajoutée pour le TO.
« Je pense que dans le futur, les ventes de séjour sur internet vont augmenter et s’uniformiser. En parallèle, certains opérateurs proposeront une approche de spécialiste, comme nous le faisons aujourd'hui ».