« Aujourd’hui, nous sommes montrés du doigt, on nous montrera peut-être en exemple dans quelques années » a pu nous dire Pierre Pelissier, patron de l’agence en ligne Cruiseline.
Il pourra s’appuyer sur les tous derniers chiffres de la Clia pour appuyer sa prévision.
On apprend dans un rapport publié début septembre que parmi tous les navires adhérents de clients, 19 aujourd’hui utilisent le GNL, ce qui représente 13 % de la capacité.
71 navires sont équipés de systèmes de réduction catalytique sélective (SCR), ce qui permet de réduire les émissions de particules et de NOx.
Croisière : malgré des prix en hausse, l’engouement est bien là !🔑
Il pourra s’appuyer sur les tous derniers chiffres de la Clia pour appuyer sa prévision.
On apprend dans un rapport publié début septembre que parmi tous les navires adhérents de clients, 19 aujourd’hui utilisent le GNL, ce qui représente 13 % de la capacité.
71 navires sont équipés de systèmes de réduction catalytique sélective (SCR), ce qui permet de réduire les émissions de particules et de NOx.
Croisière : malgré des prix en hausse, l’engouement est bien là !🔑
D'ici 2035, tous les navires devraient pouvoir utiliser l'énergie à quai
147 navires (52 % de la flotte Clia) peuvent se brancher sur l'alimentation électrique des ports, permettant de réduire les émissions de polluants jusqu'à 98 % lorsqu'ils sont à quai. Ajoutons que 225 navires (80 % de la flotte) sont équipés de systèmes avancés de traitement des eaux usées, dépassant les normes MARPOL Annex IV. Par ailleurs, plus d'un tiers de ces navires répondent aux normes « strictes » de la mer Baltique
Toujours selon le rapport, la majorité des navires de Clia produisent leur propre eau douce, avec 267 navires (94 % des navires ) capables de le faire, et 172 d'entre eux sont auto-suffisants.
Un engagement est formulé : d'ici 2035, tous les navires accostant dans des ports dotés de l'infrastructure nécessaire devront pouvoir utiliser l'énergie à quai ou des technologies alternatives à faibles émissions.
Toujours selon le rapport, la majorité des navires de Clia produisent leur propre eau douce, avec 267 navires (94 % des navires ) capables de le faire, et 172 d'entre eux sont auto-suffisants.
Un engagement est formulé : d'ici 2035, tous les navires accostant dans des ports dotés de l'infrastructure nécessaire devront pouvoir utiliser l'énergie à quai ou des technologies alternatives à faibles émissions.
Stop Croisières Marseille repart au combat
« Les compagnies de croisière continuent de réduire leurs émissions en mer et à quai en vue d'atteindre zéro émission nette d'ici 2050 », souligne Kelly Craighead, PDG de la Clia. Les investissements dans les technologies de moteurs avec des capacités de conversion permettront aux navires d'utiliser davantage de sources d'énergie renouvelables à mesure qu'elles seront disponibles ».
Il en faudra sans doute plus pour que les activistes désarment. Dans sa newsletter, Stop Croisières donne rendez-vous aux militants le jeudi 26 septembre pour évoquer tous les chantiers en cours alors que l’été 2024 a « battu le triste record de l’été le plus chaud jamais enregistré dans le monde » avec « des armateurs qui continuent de construire des bateaux toujours plus gros ».
Il en faudra sans doute plus pour que les activistes désarment. Dans sa newsletter, Stop Croisières donne rendez-vous aux militants le jeudi 26 septembre pour évoquer tous les chantiers en cours alors que l’été 2024 a « battu le triste record de l’été le plus chaud jamais enregistré dans le monde » avec « des armateurs qui continuent de construire des bateaux toujours plus gros ».