Suite à la récente classification des Galápagos sur la liste des patrimoines en péril de l’UNESCO, l’Équateur a renforcé son engagement dans la protection de l’archipel et à annoncé plusieurs initiatives adoptées par des entités nationales et internationales, dans le but de protéger l’héritage naturel et culturel local.
Les activités touristiques de l’archipel, qui sont l’une des plus contrôlées aux Galápagos, se déroulent dans le respect des règles en vigueur, et mettent la priorité sur la conservation de l’écosystème de l’archipel.
Le tourisme peut être une cause, mais elle n’est certainement pas la seule. Une autre cause est le manque de contrôle concernant l’introduction d’espèces invasives et nous pouvons également rappeler que pendant de nombreuses années, les Galápagos ont été sujettes à une très forte instabilité politique et à de graves problèmes de conflictualité.
"L’inscription des Galápagos sur la liste des patrimoines en péril représente une opportunité pour recevoir un appui national et international pour la conservation de l’archipel et ainsi aller tous ensemble dans la même direction vers un développement durable", a déclaré Maria Isabel Salvador, Ministre du Tourisme.
Préserver les atouts naturels et culturels nationaux
Cette dernière a également assuré que le gouvernement équatorien, dirigé par le président Rafael Correa, est conscient des menaces qui pèsent sur les Galápagos. En avril dernier, le gouvernement avait déclaré l’archipel en danger et fait de la préservation de son écosystème une « priorité nationale ». Plusieurs ministères et organisations travaillent à la mise en place de mesures destinées à protéger les Galápagos de toute activité non durable. L’Équateur aura également la possibilité de mobiliser l’aide internationale pour la conservation de l’archipel.
Les activités touristiques de l’archipel, qui sont l’une des plus contrôlées aux Galápagos, se déroulent dans le respect des règles en vigueur, et mettent la priorité sur la conservation de l’écosystème de l’archipel.
Le tourisme peut être une cause, mais elle n’est certainement pas la seule. Une autre cause est le manque de contrôle concernant l’introduction d’espèces invasives et nous pouvons également rappeler que pendant de nombreuses années, les Galápagos ont été sujettes à une très forte instabilité politique et à de graves problèmes de conflictualité.
"L’inscription des Galápagos sur la liste des patrimoines en péril représente une opportunité pour recevoir un appui national et international pour la conservation de l’archipel et ainsi aller tous ensemble dans la même direction vers un développement durable", a déclaré Maria Isabel Salvador, Ministre du Tourisme.
Préserver les atouts naturels et culturels nationaux
Cette dernière a également assuré que le gouvernement équatorien, dirigé par le président Rafael Correa, est conscient des menaces qui pèsent sur les Galápagos. En avril dernier, le gouvernement avait déclaré l’archipel en danger et fait de la préservation de son écosystème une « priorité nationale ». Plusieurs ministères et organisations travaillent à la mise en place de mesures destinées à protéger les Galápagos de toute activité non durable. L’Équateur aura également la possibilité de mobiliser l’aide internationale pour la conservation de l’archipel.
L’Équateur est devenu une destination leader dans le domaine du développement du tourisme durable. Le Ministère du Tourisme travaille actuellement sur le Plandetur 2020, qui a pour objectif de définir les grandes lignes relatives à la régulation de l’activité touristique en Équateur.
Ceci garantira un développement durable à l’industrie touristique nationale, destinée à préserver ses innombrables richesses naturelles, son passé historique ainsi que l’héritage culturel des populations locales. L’Équateur a également rejoint la Rainforest Alliance et la Global Sustainable Tourism Alliance, dans le but de préserver les atouts naturels et culturels nationaux.
Le Tourisme pour tous
Le Ministère du Tourisme travaille actuellement sur plusieurs initiatives.
En effet, il travaille avant tout sur de nouvelles techniques concernant les opérations touristiques aux Galápagos, mises en place d’ici fin 2007. Ces nouvelles normes permettront de réguler toutes les activités, de la visite d’îles à la plongée, le snorkeling, le kayak, la navigation ou la pêche.
Il met également en place des actions avec le Ministère de l’Environnement, dans le but d’instaurer un contrôle efficace de l’activité touristique aux Galápagos mais aussi une réforme des régulations du travail des guides, pour renforcer le contrôle de leurs activités.
Enfin, le Ministère du Tourisme travaille sur le projet « Turismo para todos » (le Tourisme pour tous), un programme de formation destiné aux micro-entreprises du secteur touristique, pour les aider à développer leurs opérations de façon durable
Ceci garantira un développement durable à l’industrie touristique nationale, destinée à préserver ses innombrables richesses naturelles, son passé historique ainsi que l’héritage culturel des populations locales. L’Équateur a également rejoint la Rainforest Alliance et la Global Sustainable Tourism Alliance, dans le but de préserver les atouts naturels et culturels nationaux.
Le Tourisme pour tous
Le Ministère du Tourisme travaille actuellement sur plusieurs initiatives.
En effet, il travaille avant tout sur de nouvelles techniques concernant les opérations touristiques aux Galápagos, mises en place d’ici fin 2007. Ces nouvelles normes permettront de réguler toutes les activités, de la visite d’îles à la plongée, le snorkeling, le kayak, la navigation ou la pêche.
Il met également en place des actions avec le Ministère de l’Environnement, dans le but d’instaurer un contrôle efficace de l’activité touristique aux Galápagos mais aussi une réforme des régulations du travail des guides, pour renforcer le contrôle de leurs activités.
Enfin, le Ministère du Tourisme travaille sur le projet « Turismo para todos » (le Tourisme pour tous), un programme de formation destiné aux micro-entreprises du secteur touristique, pour les aider à développer leurs opérations de façon durable