Des salariés français plus heureux au travail mais en manque de revalorisation financière
Le baromètre du bonheur au travail révèle que 75% des salariés français sont heureux au travail (contre 69% en septembre 2010), plaçant toujours aux premiers rangs de ce qu’ils apprécient le plus « les gens avec qui ils travaillent » et « les choses qu’ils apprennent dans leur travail » à respectivement 76% et 75% (contre 79% et 77% en septembre 2010).
54% et 51% des personnes interrogées ont respectivement connu une augmentation de leur charge de travail et de leur rythme de travail (contre 60% et 56% en septembre 2010).
Par ailleurs, le stress reste l’aspect que les salariés aiment le moins au travail (32%) devant le manque de perspectives d’évolutions (26%) ou le risque de perdre leur emploi (15%).
On remarque toujours pour 2012 de réels désirs de changements professionnels : avoir plus de responsabilités (64%), bénéficier d’une formation pour changer de métier (48%), changer d’employeur (42%).
Et pourtant, plus des 2/3 des sondés se déclarent toujours aussi confiants dans l’avenir de leur entreprise (70%).
Effets perceptibles de la crise, on note une stagnation des salaires pour 58% des interviewés (+2 points depuis 2010) ainsi qu’une baisse de 7 points du nombre de salariés ayant bénéficié d’un dispositif de participation, intéressement ou primes.
Toutefois, on constate à 26% (contre 23% en septembre 2010) un respect des attentes des salariés en termes de primes pour l’année 2011.
En savoir plus sur cette enquête : www.enlignepourlemploi.com
Le baromètre du bonheur au travail révèle que 75% des salariés français sont heureux au travail (contre 69% en septembre 2010), plaçant toujours aux premiers rangs de ce qu’ils apprécient le plus « les gens avec qui ils travaillent » et « les choses qu’ils apprennent dans leur travail » à respectivement 76% et 75% (contre 79% et 77% en septembre 2010).
54% et 51% des personnes interrogées ont respectivement connu une augmentation de leur charge de travail et de leur rythme de travail (contre 60% et 56% en septembre 2010).
Par ailleurs, le stress reste l’aspect que les salariés aiment le moins au travail (32%) devant le manque de perspectives d’évolutions (26%) ou le risque de perdre leur emploi (15%).
On remarque toujours pour 2012 de réels désirs de changements professionnels : avoir plus de responsabilités (64%), bénéficier d’une formation pour changer de métier (48%), changer d’employeur (42%).
Et pourtant, plus des 2/3 des sondés se déclarent toujours aussi confiants dans l’avenir de leur entreprise (70%).
Effets perceptibles de la crise, on note une stagnation des salaires pour 58% des interviewés (+2 points depuis 2010) ainsi qu’une baisse de 7 points du nombre de salariés ayant bénéficié d’un dispositif de participation, intéressement ou primes.
Toutefois, on constate à 26% (contre 23% en septembre 2010) un respect des attentes des salariés en termes de primes pour l’année 2011.
En savoir plus sur cette enquête : www.enlignepourlemploi.com
Méthodologie : Étude quantitative réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 760 salariés, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge et de catégorie socioprofessionnelle. Mode d’interrogation: interrogation en ligne sur système Cawi (Computer AssistedWeb Interview)
Dates de terrain : les interviews ont été réalisées du 21 septembre au 3 octobre 2011.
Dates de terrain : les interviews ont été réalisées du 21 septembre au 3 octobre 2011.