Les ''affaires'' reprennent...
Selon l'hebdomadaire, citant notamment d'anciens responsables d'Euralair, Jacques Chirac et sa famille ont utilisé à de nombreuses reprises les jets privés de la compagnie, gratuitement ou en payant en liquide.
Le journal cite notamment "de nombreux allers et retours pour la Corrèze", à l'époque où M. Chirac était maire de Paris, ou encore "un voyage de noces à Venise" en 1992 pour la fille de M. Chirac et son époux."
Chirac a continué à utiliser la filière Euralair après son installation à l'Elysée", écrit le Canard. "Le 1er avril 2002, Jacques, Bernadette et leur fille Claude ont mobilisé un Cessna-Citation" pour se rendre au Havre.
"abus de biens sociaux" et "banqueroute frauduleuse"
"La location de l'appareil n'a jamais été payée", écrit le journal, citant un ancien dirigeant d'Euralair. Une enquête préliminaire a été ouverte au parquet de Bobigny sur la compagnie aérienne Euralair.
Ceci après un dépôt de plainte fin 2003 par un ancien salarié de la compagnie pour "abus de biens sociaux" et "banqueroute frauduleuse", a-t-on appris mardi de source judiciaire.
Des irrégularités présumées dans la gestion de l'entreprise, qui a déposé son bilan fin 2003, seraient en cause, selon le Parisien.
Le journal cite notamment "de nombreux allers et retours pour la Corrèze", à l'époque où M. Chirac était maire de Paris, ou encore "un voyage de noces à Venise" en 1992 pour la fille de M. Chirac et son époux."
Chirac a continué à utiliser la filière Euralair après son installation à l'Elysée", écrit le Canard. "Le 1er avril 2002, Jacques, Bernadette et leur fille Claude ont mobilisé un Cessna-Citation" pour se rendre au Havre.
"abus de biens sociaux" et "banqueroute frauduleuse"
"La location de l'appareil n'a jamais été payée", écrit le journal, citant un ancien dirigeant d'Euralair. Une enquête préliminaire a été ouverte au parquet de Bobigny sur la compagnie aérienne Euralair.
Ceci après un dépôt de plainte fin 2003 par un ancien salarié de la compagnie pour "abus de biens sociaux" et "banqueroute frauduleuse", a-t-on appris mardi de source judiciaire.
Des irrégularités présumées dans la gestion de l'entreprise, qui a déposé son bilan fin 2003, seraient en cause, selon le Parisien.