Les hôtels des villes de province qui ont accueilli des matchs de la compétition sont les grands gagnants de l'Euro 2016 de football - Photo : sdecoret-Fotolia.com
Dans l'ensemble, les professionnels français du tourisme ont plutôt bien profité de l'organisation de l'Euro 2016 de football en France du 10 juin au 10 juillet 2016.
Cela a particulièrement été le cas pour les hôteliers comme le montrent leurs résultats d'activité dévoilés par Hospitality On.
Ce sont néanmoins les villes-hôtes de province qui ont le mieux tiré profit de la compétition.
C'est le cas notamment à Saint-Étienne où le taux d'occupation (TO) des établissements de la ville (76,3 %) pour la période du 10 juin au 10 juillet 2016 a progressé de 14,6 % par rapport à la même période en 2015. Le prix moyen a, lui, grimpé de 53,6 % et le chiffre d'affaires (CA) de 76,1 % dans un même temps.
A Lille, le TO s'est hissé de 7,6 % pour atteindre 74,4 %. Le prix moyen a augmenté de 58,5 % et le CA de 70,6 %. Pour Lens, la hausse du TO atteint 11,5 % à 68,9 %), celle du prix moyen 52,9 % et celle du CA 70,4 %.
Toulouse aussi s'en sort très bien avec 79,2 % de TO sur la période de l'Euro 2016 (+10,9 %), une progression de 25,4 % du prix moyen et de 39 % du CA.
Marseille est l'une des deux villes-hôtes de province où le TO des hôtels a reculé (-3,4 %) pendant le tournoi. Mais le prix moyen y a gagné 47,3 % et le CA 42,3 %. L'autre est Nice où le TO a perdu 6,8 %. le prix moyen s'y est hissé néanmoins de 17 % et le CA de 9 %.
En revanche du côté de Paris et son agglomération, le taux d'occupation s'est nettement replié pendant l'Euro 2016 : -12,2 % à 76,4 %. Le prix moyen y a augmenté de 5,2 %. Mais cela n'a pas permis de compenser le manque de remplissage. Par conséquent le CA y est en baisse de 7,6 %.
Cela a particulièrement été le cas pour les hôteliers comme le montrent leurs résultats d'activité dévoilés par Hospitality On.
Ce sont néanmoins les villes-hôtes de province qui ont le mieux tiré profit de la compétition.
C'est le cas notamment à Saint-Étienne où le taux d'occupation (TO) des établissements de la ville (76,3 %) pour la période du 10 juin au 10 juillet 2016 a progressé de 14,6 % par rapport à la même période en 2015. Le prix moyen a, lui, grimpé de 53,6 % et le chiffre d'affaires (CA) de 76,1 % dans un même temps.
A Lille, le TO s'est hissé de 7,6 % pour atteindre 74,4 %. Le prix moyen a augmenté de 58,5 % et le CA de 70,6 %. Pour Lens, la hausse du TO atteint 11,5 % à 68,9 %), celle du prix moyen 52,9 % et celle du CA 70,4 %.
Toulouse aussi s'en sort très bien avec 79,2 % de TO sur la période de l'Euro 2016 (+10,9 %), une progression de 25,4 % du prix moyen et de 39 % du CA.
Marseille est l'une des deux villes-hôtes de province où le TO des hôtels a reculé (-3,4 %) pendant le tournoi. Mais le prix moyen y a gagné 47,3 % et le CA 42,3 %. L'autre est Nice où le TO a perdu 6,8 %. le prix moyen s'y est hissé néanmoins de 17 % et le CA de 9 %.
En revanche du côté de Paris et son agglomération, le taux d'occupation s'est nettement replié pendant l'Euro 2016 : -12,2 % à 76,4 %. Le prix moyen y a augmenté de 5,2 %. Mais cela n'a pas permis de compenser le manque de remplissage. Par conséquent le CA y est en baisse de 7,6 %.