Voici le communiqué du SNAV : "Depuis le 26 octobre 2005, tous les ressortissants français désirant se rendre aux Etats Unis, pour des voyages de tourisme ou d’affaires de moins de 90 jours, sont soumis à de nouvelles règles.
Le SNAV s’est à de nombreuses reprises inquiété, tant auprès des Ministres concernés que du Consul des Etats-Unis en France, de la mise en place de ces nouvelles dispositions en raison de l’impossibilité pour la France de fabriquer les nouveaux passeports à données biométriques, ce qui oblige de nombreux voyageurs à demander un visa.
Cela entraîne un long délai d’attente – plus d’un mois, un déplacement à Paris puisqu’en métropole, seul le Consulat américain à Paris délivre les visas, et un surcoût financier hors déplacement de l’ordre de 100 euros (prise de rendez-vous avec un conseiller et coût du visa proprement dit).
A nouveau, le SNAV, par la voie de son Président Georges COLSON, a interpellé par écrit le Ministre de l’Intérieur et le Ministre du Tourisme, pour les alerter sur cette situation qui pénalise lourdement les agences de voyages et leurs clients.
Il a rappelé à cette occasion aux Ministres le poids économique de la profession, tant en matière de volume d’affaires traités, et notamment vers les Etats-Unis, qu’en matière de volume de salariés.
Le SNAV demande donc aux autorités françaises compétentes de tout mettre en oeuvre pour régler au plus vite ce délicat problème à forte incidence économique."
Le SNAV s’est à de nombreuses reprises inquiété, tant auprès des Ministres concernés que du Consul des Etats-Unis en France, de la mise en place de ces nouvelles dispositions en raison de l’impossibilité pour la France de fabriquer les nouveaux passeports à données biométriques, ce qui oblige de nombreux voyageurs à demander un visa.
Cela entraîne un long délai d’attente – plus d’un mois, un déplacement à Paris puisqu’en métropole, seul le Consulat américain à Paris délivre les visas, et un surcoût financier hors déplacement de l’ordre de 100 euros (prise de rendez-vous avec un conseiller et coût du visa proprement dit).
A nouveau, le SNAV, par la voie de son Président Georges COLSON, a interpellé par écrit le Ministre de l’Intérieur et le Ministre du Tourisme, pour les alerter sur cette situation qui pénalise lourdement les agences de voyages et leurs clients.
Il a rappelé à cette occasion aux Ministres le poids économique de la profession, tant en matière de volume d’affaires traités, et notamment vers les Etats-Unis, qu’en matière de volume de salariés.
Le SNAV demande donc aux autorités françaises compétentes de tout mettre en oeuvre pour régler au plus vite ce délicat problème à forte incidence économique."