Savez-vous si l’Islande fait partie ou non de l’Arctique ? C’est par cette question, « pas si simple », qu’a débuté le webinaire de Ponant ur les atouts de cette destination.
La réponse du commandant Quentin Dubois : « Si elle n’est pas considérée comme un territoire arctique selon la définition politique, elle fait partie de l’Arctique avec l'île de Grimsey située dans le cercle polaire arctique. »
Être à la limite de l’Arctique, selon le glaciologue Jean Krug, signifie que « l'on trouve aussi bien des animaux qui fréquentent généralement nos régions tempérées que des animaux complètement adaptés aux conditions polaires, dont le macareux, emblème de l'Islande, que l’on observe partout. »
On peut également admirer la sterne arctique, « un animal extraordinaire qui, chaque année, migre de l'Antarctique au Groenland, parcourant environ 800 000 km, soit l'équivalent d’un aller-retour jusqu'à la Lune. » Sans oublier les baleines, dauphins et orques que l’on peut observer depuis les bateaux de la compagnie, dont les commandants n’hésitent pas à ralentir ou modifier l’ordre des escales pour offrir aux passagers la meilleure expérience possible.
La réponse du commandant Quentin Dubois : « Si elle n’est pas considérée comme un territoire arctique selon la définition politique, elle fait partie de l’Arctique avec l'île de Grimsey située dans le cercle polaire arctique. »
Être à la limite de l’Arctique, selon le glaciologue Jean Krug, signifie que « l'on trouve aussi bien des animaux qui fréquentent généralement nos régions tempérées que des animaux complètement adaptés aux conditions polaires, dont le macareux, emblème de l'Islande, que l’on observe partout. »
On peut également admirer la sterne arctique, « un animal extraordinaire qui, chaque année, migre de l'Antarctique au Groenland, parcourant environ 800 000 km, soit l'équivalent d’un aller-retour jusqu'à la Lune. » Sans oublier les baleines, dauphins et orques que l’on peut observer depuis les bateaux de la compagnie, dont les commandants n’hésitent pas à ralentir ou modifier l’ordre des escales pour offrir aux passagers la meilleure expérience possible.
Islande : une arrivée dans les fjords avant les autocars
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Quant aux paysages « de cette région désertique », ils se composent « de nombreux volcans et de fjords formés lorsque des glaciers s’écoulent dans les vallées. » Une « entrée dans les fjords est toujours époustouflante au matin », souligne Quentin Dubois, qui a eu l’occasion de les admirer au cours de deux saisons à bord du Bellot.
C’est donc un avantage de venir en bateau, permettant d’arriver avant les passagers débarquant en autocar. En passant, un petit conseil du glaciologue pour observer les geysers : « Faites simplement attention au sens du vent pour éviter d’être éclaboussés ; la meilleure stratégie est de les regarder de loin. »
Il recommande aussi de prévoir « des vêtements chauds, même en été ». Comme le souligne le commandant : « On peut encore avoir de la neige. »
C’est donc un avantage de venir en bateau, permettant d’arriver avant les passagers débarquant en autocar. En passant, un petit conseil du glaciologue pour observer les geysers : « Faites simplement attention au sens du vent pour éviter d’être éclaboussés ; la meilleure stratégie est de les regarder de loin. »
Il recommande aussi de prévoir « des vêtements chauds, même en été ». Comme le souligne le commandant : « On peut encore avoir de la neige. »
Le tour de l'Islande à bord de l'Austral
On n’oublie pas les sources thermales et le Blue Lagoon, même « si l’excès d’eau chaude provient d’une centrale électrique ».
Pour découvrir tous les atouts de l’Islande, Ponant propose divers itinéraires où les passagers auront la possibilité de choisir une excursion incluse, accompagnée et organisée à chaque escale.
Déjà, une circumnavigation de l'Islande, « Nature et traditions islandaises » au départ de Reykjavik, que l’on peut visiter avant ou après la croisière (9 nuits, 10 jours, départ le 27 juin), à bord de l’Austral, avec, une entrée spectaculaire dans le petit port de pêche de l'île Heimaey , « la manœuvre la plus compliquée que j’ai été amené à faire dans ma carrière », souligne le commandant qui permet « de longer les falaises de basalte que l’on peut presque toucher de sa main depuis les balcons ».
Jean Krug met lui en avant les chutes de Gullfoss, qui sont sur « le même rang que les chutes du Niagara ou d’Iguazu. » Avis, aussi, aux « amateurs d’aurores boréales », observables en début et fin de saison (avril-mai et août-septembre) lorsqu'il fait nuit et que l'on se rapproche du cercle polaire arctique.
Pour découvrir tous les atouts de l’Islande, Ponant propose divers itinéraires où les passagers auront la possibilité de choisir une excursion incluse, accompagnée et organisée à chaque escale.
Déjà, une circumnavigation de l'Islande, « Nature et traditions islandaises » au départ de Reykjavik, que l’on peut visiter avant ou après la croisière (9 nuits, 10 jours, départ le 27 juin), à bord de l’Austral, avec, une entrée spectaculaire dans le petit port de pêche de l'île Heimaey , « la manœuvre la plus compliquée que j’ai été amené à faire dans ma carrière », souligne le commandant qui permet « de longer les falaises de basalte que l’on peut presque toucher de sa main depuis les balcons ».
Jean Krug met lui en avant les chutes de Gullfoss, qui sont sur « le même rang que les chutes du Niagara ou d’Iguazu. » Avis, aussi, aux « amateurs d’aurores boréales », observables en début et fin de saison (avril-mai et août-septembre) lorsqu'il fait nuit et que l'on se rapproche du cercle polaire arctique.
« Seul le temps et la glace sont maîtres »
Autre itinéraire, une semaine à bord du Bellot ou de l’Austral, « Mosaïque Islandaise » (7 nuits, 8 jours, départ en juin et juillet 2026 ) avec escales dans différentes régions de l'Islande. Il sera aussi pratiqué cette année-là en juillet et en août par le Lapeyrouse et le Bellot (mai 2026) à l’occasion d’une croisière Radio Classique. Une semaine sans supplément single.
Ajoutons, aussi, la croisière hybride, « Îles du Nord avec Chopin », toujours avec Radio Classique , à bord du Champlain, en mai 2025, au départ de Glasgow, en Ecosse, à destination de l’Islande. Il passe par l’Irlande du Nord avec une escale Belfast et les îles Féroé, un archipel de 18 îles.
Enfin à bord du Lyrial, depuis le Spitzberg, direction Reykjavik pour une croisière de 14 jours/13 nuits, « Le Grand Nord Sauvage », avec un départ le 1er août 2026. Un itinéraire placé sous le signe de l’expédition avec des excursions en zodiac . L'occasion de citer ce proverbe inuit que les passagers doivent avoir à l’esprit avant d'embarquer, « seul le temps et la glace sont maîtres ».
Ajoutons, aussi, la croisière hybride, « Îles du Nord avec Chopin », toujours avec Radio Classique , à bord du Champlain, en mai 2025, au départ de Glasgow, en Ecosse, à destination de l’Islande. Il passe par l’Irlande du Nord avec une escale Belfast et les îles Féroé, un archipel de 18 îles.
Enfin à bord du Lyrial, depuis le Spitzberg, direction Reykjavik pour une croisière de 14 jours/13 nuits, « Le Grand Nord Sauvage », avec un départ le 1er août 2026. Un itinéraire placé sous le signe de l’expédition avec des excursions en zodiac . L'occasion de citer ce proverbe inuit que les passagers doivent avoir à l’esprit avant d'embarquer, « seul le temps et la glace sont maîtres ».