Cependant, les grandes agglomérations subissent aussi une chute cumulée des taux d’occupation et du prix moyen chambre du segment économique.
L’hôtellerie 3 et 4 étoiles atteint à peine 62% avec de nombreuses agglomérations en dessous de ce seuil. Seuls Strasbourg, Lille, le Havre, et Avignon le dépassent.
En cumulé sur 6 mois, les grandes agglomérations sont toutes en récession à l’exception de Marseille, Montpellier, Strasbourg qui progressent sur certains segments notamment l’offre la plus qualitative.
Les réservations en cours pour l’été sont en retrait et laissent présager d’une accentuation de la récession du secteur hôtelier. Pour l’hôtellerie de luxe qui avait bien résisté sur les 4 premiers mois de l’année, les mois de mai et de juin ont été marqués par un retournement de tendance avec une chute importante des taux d’occupation.
L’hôtellerie 3 et 4 étoiles atteint à peine 62% avec de nombreuses agglomérations en dessous de ce seuil. Seuls Strasbourg, Lille, le Havre, et Avignon le dépassent.
En cumulé sur 6 mois, les grandes agglomérations sont toutes en récession à l’exception de Marseille, Montpellier, Strasbourg qui progressent sur certains segments notamment l’offre la plus qualitative.
Les réservations en cours pour l’été sont en retrait et laissent présager d’une accentuation de la récession du secteur hôtelier. Pour l’hôtellerie de luxe qui avait bien résisté sur les 4 premiers mois de l’année, les mois de mai et de juin ont été marqués par un retournement de tendance avec une chute importante des taux d’occupation.
Paris : baisse de 5% de l’hôtellerie de luxe
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En cumulé sur 6 mois, la baisse du taux d’occupation est de 3%, mais le revenu par chambre reste stable du fait d’une hausse équivalente du prix moyen chambre.
Les perspectives sont négatives pour le segment du luxe avec une accentuation de la baisse de la fréquentation et du prix moyen chambre au mois de juillet.
Pour cause de ramadan, et d’une activité touristique d’agrément qui démarre lentement. Paris, est particulièrement affectée sur le segment du haut de gamme avec une baisse de 5% du chiffre d’affaires de l’hôtellerie de luxe.
Selon Didier Arino, directeur du cabinet Protourisme, « il est triste de constater, que la France est à la traîne des autres destinations touristiques européennes qui bénéficient d’une reprise de leur hôtellerie alors que l’hexagone s’enfonce dans la récession.
Heureusement, la clientèle étrangère de passage limite la baisse et la clientèle en séjour touristique en provenance de l’Europe et des pays émergents est en augmentation car la clientèle française d’affaires ou d’agrément est en recul cette année ».
Les perspectives sont négatives pour le segment du luxe avec une accentuation de la baisse de la fréquentation et du prix moyen chambre au mois de juillet.
Pour cause de ramadan, et d’une activité touristique d’agrément qui démarre lentement. Paris, est particulièrement affectée sur le segment du haut de gamme avec une baisse de 5% du chiffre d’affaires de l’hôtellerie de luxe.
Selon Didier Arino, directeur du cabinet Protourisme, « il est triste de constater, que la France est à la traîne des autres destinations touristiques européennes qui bénéficient d’une reprise de leur hôtellerie alors que l’hexagone s’enfonce dans la récession.
Heureusement, la clientèle étrangère de passage limite la baisse et la clientèle en séjour touristique en provenance de l’Europe et des pays émergents est en augmentation car la clientèle française d’affaires ou d’agrément est en recul cette année ».