L'Irlande reste une valeur sûre pour Gaeland Ashling
« 2004 n’a pas été une bonne année. Nous attendions entre 8 et 10 % de croissance, elle n’a été que de seulement 3 %. Pourtant, l’année avait débuté sur les chapeaux de roue ». Résultat, l’année 2004 retrouve a peu près le niveau de 2002 avec un CA de 5,46 M€.
Le TO qui a sorti ses deux brochures annuelles sur l’Irlande - « Tout sur les îles vertes » - et les îles Britanniques – « Liberté dans les îles » - mise encore beaucoup sur ces destinations d’outre-Manche. « L’Irlande et l’Ecosse ont marché très fort l’an dernier alors que Londres subissait une baisse de fréquentation. »
Mais selon les aveux du directeur, la demande est revenue malgré la facilité de s’y rendre et la proximité de la destination. « Sur Londres ce qui nous sauve c’est que nous avons du stock et que nous pouvons confirmer ou proposer un établissement de substitution. »
Maintien du transport dans le produit
Parallèlement, le TO a développé une production sur les Antilles et le Venezuela où il réalise environ un millier de client. « Les Antilles marche moyennement. Elles souffrent du déficit d’image sur l’accueil comparé à d’autres destinations. »
Mais le cœur de marché avec 24 000 client reste encore cette année les îles Britanniques et l’Ecosse et L’Irlande où le TO a renforcé sa production et ses risques. « Nous avons des départs charter depuis la province et il nous semble important d’aller au bout de notre démarche de spécialiste du sur-mesure. »
« Jamais nous ne vendrons des prestations terrestres seules, à charge pour le client de trouver ses vols sur Internet ou via son agence. » car pour le directeur, que se passe-t-il en cas problème aérien ? « Dissocier la partie transport du forfait est dangereux pour le TO mais aussi pour l’agence » précise Nicolas Julien.
8 % de croissance attendus en 2005
« Je reviens d’une tournée en France et j’ai félicité mon équipe car les échos venant du terrain sont excellents : 90 % des voyages que nous vendons sont du sur-mesure et avec des taux de réclamation inexistants. »
Une raison supplémentaire pour le directeur de ne pas profiter des low cost qui pourtant captent sa clientèle. Pour cette année 2005, Gaeland Ashling reconduit ses prévisions à l’identique à l’an dernier.
« Nous espérons 8 % cette année. Pour le moment ça semble bien parti. Depuis le début de l’année nous connaissons une progression de 20 %. » Mais Nicolas Julien se souvient que c’était également le cas l’an dernier...
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
Le TO qui a sorti ses deux brochures annuelles sur l’Irlande - « Tout sur les îles vertes » - et les îles Britanniques – « Liberté dans les îles » - mise encore beaucoup sur ces destinations d’outre-Manche. « L’Irlande et l’Ecosse ont marché très fort l’an dernier alors que Londres subissait une baisse de fréquentation. »
Mais selon les aveux du directeur, la demande est revenue malgré la facilité de s’y rendre et la proximité de la destination. « Sur Londres ce qui nous sauve c’est que nous avons du stock et que nous pouvons confirmer ou proposer un établissement de substitution. »
Maintien du transport dans le produit
Parallèlement, le TO a développé une production sur les Antilles et le Venezuela où il réalise environ un millier de client. « Les Antilles marche moyennement. Elles souffrent du déficit d’image sur l’accueil comparé à d’autres destinations. »
Mais le cœur de marché avec 24 000 client reste encore cette année les îles Britanniques et l’Ecosse et L’Irlande où le TO a renforcé sa production et ses risques. « Nous avons des départs charter depuis la province et il nous semble important d’aller au bout de notre démarche de spécialiste du sur-mesure. »
« Jamais nous ne vendrons des prestations terrestres seules, à charge pour le client de trouver ses vols sur Internet ou via son agence. » car pour le directeur, que se passe-t-il en cas problème aérien ? « Dissocier la partie transport du forfait est dangereux pour le TO mais aussi pour l’agence » précise Nicolas Julien.
8 % de croissance attendus en 2005
« Je reviens d’une tournée en France et j’ai félicité mon équipe car les échos venant du terrain sont excellents : 90 % des voyages que nous vendons sont du sur-mesure et avec des taux de réclamation inexistants. »
Une raison supplémentaire pour le directeur de ne pas profiter des low cost qui pourtant captent sa clientèle. Pour cette année 2005, Gaeland Ashling reconduit ses prévisions à l’identique à l’an dernier.
« Nous espérons 8 % cette année. Pour le moment ça semble bien parti. Depuis le début de l’année nous connaissons une progression de 20 %. » Mais Nicolas Julien se souvient que c’était également le cas l’an dernier...
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com