Son bénéfice net est ressorti à 607,7 millions d'euros, multiplié par 2,5 sur un an. Les analystes interrogés par la filiale d'informations financières de l'AFP, AFX, tablaient dans leur consensus sur un résultat de 481 M EUR.
Le bénéfice d'exploitation (EBTA) a grimpé de 51% à 756 M EUR, là encore dépassant les attentes des analystes qui s'attendaient à 679 M EUR. Corrigé des éléments exceptionnels, ce bénéfice est ressorti à 620 M EUR.
La Bourse de Francfort applaudissait: vers 09H00 GMT, le titre s'appréciait de 0,66% à 16,81 EUR dans un marché en repli de 0,12%.
"Globalement, les chiffres sont bons", soulignait un courtier d'une banque allemande. Les bonnes surprises concernant les résultats s'expliquent par la solidité des activités touristiques au troisième trimestre, traditionnellement le plus important dans le secteur avec la saison estivale.
Entre juillet et fin septembre, le bénéfice d'exploitation de la division a progressé de 14% à 572 M EUR. La saison a été bonne sur les marchés allemands, suisse, autrichien, néerlandais, britannique, irlandais et scandinaves.
Les résultats ont légèrement reculé en France
En revanche, les résultats ont légèrement reculé en France, où TUI possède notamment Nouvelles Frontières et Corsair, et en Belgique, où il gère la compagnie TUI Airline Belgium. Sur neuf mois, le tourisme affiche un bénéfice d'exploitation inférieur à celui du seul troisième trimestre, à 487 M EUR, en raison d'une perte au premier trimestre qui s'explique par des effets saisonniers.
Pour l'ensemble du groupe, le chiffre d'affaires de TUI a reculé au troisième trimestre à 6,2 milliards d'euros, contre 6,5 mds EUR un an plus tôt, du fait de cessions d'actifs. Le groupe a confirmé son objectif de parvenir sur l'ensemble de l'exercice en cours à un bénéfice d'exploitation (EBTA) d'au moins 420 M EUR, contre 242 M EUR en 2003.
Il s'attend à une hausse de son bénéfice d'au moins 70% dans la seule activité de tourisme. En dehors du coeur de métier touristique, TUI a vu ses résultats également progresser dans sa division de transport maritime et de négoce d'acier, grâce au boom de la demande mondiale pour cette matière première.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Le bénéfice d'exploitation (EBTA) a grimpé de 51% à 756 M EUR, là encore dépassant les attentes des analystes qui s'attendaient à 679 M EUR. Corrigé des éléments exceptionnels, ce bénéfice est ressorti à 620 M EUR.
La Bourse de Francfort applaudissait: vers 09H00 GMT, le titre s'appréciait de 0,66% à 16,81 EUR dans un marché en repli de 0,12%.
"Globalement, les chiffres sont bons", soulignait un courtier d'une banque allemande. Les bonnes surprises concernant les résultats s'expliquent par la solidité des activités touristiques au troisième trimestre, traditionnellement le plus important dans le secteur avec la saison estivale.
Entre juillet et fin septembre, le bénéfice d'exploitation de la division a progressé de 14% à 572 M EUR. La saison a été bonne sur les marchés allemands, suisse, autrichien, néerlandais, britannique, irlandais et scandinaves.
Les résultats ont légèrement reculé en France
En revanche, les résultats ont légèrement reculé en France, où TUI possède notamment Nouvelles Frontières et Corsair, et en Belgique, où il gère la compagnie TUI Airline Belgium. Sur neuf mois, le tourisme affiche un bénéfice d'exploitation inférieur à celui du seul troisième trimestre, à 487 M EUR, en raison d'une perte au premier trimestre qui s'explique par des effets saisonniers.
Pour l'ensemble du groupe, le chiffre d'affaires de TUI a reculé au troisième trimestre à 6,2 milliards d'euros, contre 6,5 mds EUR un an plus tôt, du fait de cessions d'actifs. Le groupe a confirmé son objectif de parvenir sur l'ensemble de l'exercice en cours à un bénéfice d'exploitation (EBTA) d'au moins 420 M EUR, contre 242 M EUR en 2003.
Il s'attend à une hausse de son bénéfice d'au moins 70% dans la seule activité de tourisme. En dehors du coeur de métier touristique, TUI a vu ses résultats également progresser dans sa division de transport maritime et de négoce d'acier, grâce au boom de la demande mondiale pour cette matière première.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com