ZIMBABWE
La délinquance urbaine, souvent violente la nuit, présente un caractère permanent à Harare. Il est déconseillé aux voyageurs de loger dans des logements privés. Ces derniers ne bénéficient en effet au mieux que d'une protection relative. Seules les enceintes à la sécurité collective renforcée présentent des garanties de sûreté. Il est conseillé de privilégier l'hébergement en hôtel d'un certain standing.
L'approvisionnement en carburant (essence, diesel) des stations services est erratique. Les risques de rupture brutale et durable d'approvisionnement sont importants, surtout en province.
L'inflation galopante (622,8% en glissement annuel au mois de janvier 2004) est souvent source de difficultés pour se procurer des moyens de paiement locaux. Les billets de banque, remplacés par des chèques au porteur, ont disparu sauf pour la menue monnaie.
En raison de l'existence de trois cours officiels pour le dollar zimbabwéen, il est fortement déconseillé d'utiliser les cartes de crédit en raison du débit effectué au cours officiel le plus bas (coût en euros de l'achat multiplié par cent environ).
Une épidémie de choléra sévit depuis le mois d'octobre 2003 au nord du pays. L'épicentre de l'épidémie se situe dans les districts de Binga et Kariba, ce dernier constituant une des principales destinations touristiques du Zimbabwe.
Une grève persistante des médecins hospitaliers et des infirmières ajoute au désordre d'un système de santé publique qui ne répond plus à sa mission.
La compagnie nationale Air Zimbabwe a été suspendue des garanties de l'IATA au mois de février 2004.
Les communications téléphoniques et par télécopie entre le Zimbabwe et la France sont aléatoires et erratiques.
www.sante.gouv.fr
Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
www.france.diplomatie.fr
SRI LANKA
Des élections générales, décidées à la suite de la dissolution du Parlement annoncée le 7 février, doivent avoir lieu dans tout le pays le 2 avril. Au cours de la campagne électorale qui va s'ouvrir, diverses manifestations seront organisées et, dans ce contexte, il est recommandé aux voyageurs de se tenir systématiquement à l'écart de tous les rassemblements.
Epidémie de fièvre aviaire :
Il est recommandé aux voyageurs se rendant dans les pays déclarés infectés par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Organisation Internationale des Epizooties (OIE) d'éviter pendant leur séjour tout contact avec les volatiles vivants ou avec leurs cadavres, c'est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages et sur les marchés aux volailles et aux oiseaux. Il est également recommandé d'éviter tout contact avec une surface apparaissant souillée par des fientes de volailles ou des déjections d'animaux. Il est enfin formellement déconseillé d'introduire en France des oiseaux en provenance de ces pays.
Les recommandations générales d'hygiène pour les voyageurs, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont plus que jamais préconisées:
- éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ;
- se laver régulièrement les mains avec de l'eau et du savon, ou un soluté hydro-alcoolique qu'il est conseillé d'emporter dans ses bagages.
D'autres recommandations pourront être prises en fonction des résultats des investigations de l'OMS en cours sur la source de l'infection et sur le risque de transmission inter humaine.
Il est recommandé de faire preuve d'une vigilance particulière sur cette épidémie.
Pour de plus amples renseignements, consulter le site du ministère de la Santé : www.sante.gouv.fr
Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
www.france.diplomatie.fr
HAITI
La crise politique qui affecte Haïti depuis plusieurs années entretient un climat de tension se traduisant par des troubles sporadiques et imprévisibles à Port-au-Prince comme en province. En décembre 2003, à la suite d'une série de violences sur les adversaires du chef de l'Etat, les autorités se sont montrées à plusieurs reprises incapables d'assurer la sécurité des biens et des personnes dans la capitale.
Alors que le mouvement de contestation du pouvoir se poursuit à Port-au-Prince et qu'à tout moment de nouveaux et graves incidents peuvent y éclater, les troubles se sont intensifiés, début février, dans la plupart des départements du pays :
Les communications entre le nord et le centre d'Haïti , où se trouve Port-au-Prince, sont devenues très difficiles depuis que les villes des Gonaïves, de Hinche et de Cap Haïtien échappent entièrement au contrôle du gouvernement ;
les déplacements depuis Port-au-Prince vers le sud du pays deviennent également délicats en raison de la situation confuse régnant dans les villes de Grand Goave et de Petit Goave.
Dans ce contexte, il est recommandé de différer tout voyage en Haïti. En outre, il est conseillé aux personnes dont la présence n'est pas indispensable, de quitter temporairement le territoire haïtien.
Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
www.france.diplomatie.fr
La délinquance urbaine, souvent violente la nuit, présente un caractère permanent à Harare. Il est déconseillé aux voyageurs de loger dans des logements privés. Ces derniers ne bénéficient en effet au mieux que d'une protection relative. Seules les enceintes à la sécurité collective renforcée présentent des garanties de sûreté. Il est conseillé de privilégier l'hébergement en hôtel d'un certain standing.
L'approvisionnement en carburant (essence, diesel) des stations services est erratique. Les risques de rupture brutale et durable d'approvisionnement sont importants, surtout en province.
L'inflation galopante (622,8% en glissement annuel au mois de janvier 2004) est souvent source de difficultés pour se procurer des moyens de paiement locaux. Les billets de banque, remplacés par des chèques au porteur, ont disparu sauf pour la menue monnaie.
En raison de l'existence de trois cours officiels pour le dollar zimbabwéen, il est fortement déconseillé d'utiliser les cartes de crédit en raison du débit effectué au cours officiel le plus bas (coût en euros de l'achat multiplié par cent environ).
Une épidémie de choléra sévit depuis le mois d'octobre 2003 au nord du pays. L'épicentre de l'épidémie se situe dans les districts de Binga et Kariba, ce dernier constituant une des principales destinations touristiques du Zimbabwe.
Une grève persistante des médecins hospitaliers et des infirmières ajoute au désordre d'un système de santé publique qui ne répond plus à sa mission.
La compagnie nationale Air Zimbabwe a été suspendue des garanties de l'IATA au mois de février 2004.
Les communications téléphoniques et par télécopie entre le Zimbabwe et la France sont aléatoires et erratiques.
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Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
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SRI LANKA
Des élections générales, décidées à la suite de la dissolution du Parlement annoncée le 7 février, doivent avoir lieu dans tout le pays le 2 avril. Au cours de la campagne électorale qui va s'ouvrir, diverses manifestations seront organisées et, dans ce contexte, il est recommandé aux voyageurs de se tenir systématiquement à l'écart de tous les rassemblements.
Epidémie de fièvre aviaire :
Il est recommandé aux voyageurs se rendant dans les pays déclarés infectés par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Organisation Internationale des Epizooties (OIE) d'éviter pendant leur séjour tout contact avec les volatiles vivants ou avec leurs cadavres, c'est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages et sur les marchés aux volailles et aux oiseaux. Il est également recommandé d'éviter tout contact avec une surface apparaissant souillée par des fientes de volailles ou des déjections d'animaux. Il est enfin formellement déconseillé d'introduire en France des oiseaux en provenance de ces pays.
Les recommandations générales d'hygiène pour les voyageurs, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont plus que jamais préconisées:
- éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ;
- se laver régulièrement les mains avec de l'eau et du savon, ou un soluté hydro-alcoolique qu'il est conseillé d'emporter dans ses bagages.
D'autres recommandations pourront être prises en fonction des résultats des investigations de l'OMS en cours sur la source de l'infection et sur le risque de transmission inter humaine.
Il est recommandé de faire preuve d'une vigilance particulière sur cette épidémie.
Pour de plus amples renseignements, consulter le site du ministère de la Santé : www.sante.gouv.fr
Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
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HAITI
La crise politique qui affecte Haïti depuis plusieurs années entretient un climat de tension se traduisant par des troubles sporadiques et imprévisibles à Port-au-Prince comme en province. En décembre 2003, à la suite d'une série de violences sur les adversaires du chef de l'Etat, les autorités se sont montrées à plusieurs reprises incapables d'assurer la sécurité des biens et des personnes dans la capitale.
Alors que le mouvement de contestation du pouvoir se poursuit à Port-au-Prince et qu'à tout moment de nouveaux et graves incidents peuvent y éclater, les troubles se sont intensifiés, début février, dans la plupart des départements du pays :
Les communications entre le nord et le centre d'Haïti , où se trouve Port-au-Prince, sont devenues très difficiles depuis que les villes des Gonaïves, de Hinche et de Cap Haïtien échappent entièrement au contrôle du gouvernement ;
les déplacements depuis Port-au-Prince vers le sud du pays deviennent également délicats en raison de la situation confuse régnant dans les villes de Grand Goave et de Petit Goave.
Dans ce contexte, il est recommandé de différer tout voyage en Haïti. En outre, il est conseillé aux personnes dont la présence n'est pas indispensable, de quitter temporairement le territoire haïtien.
Source Ministère des Affaires étrangères - 23/02/04
www.france.diplomatie.fr
