IDTGVMax est un service mobile sur 100% des trains. © IDTGV
A l’occasion de son dixième anniversaire, la filiale de la SNCF, IDTGV, propose une nouvelle offre : IDTGVMax.
Il s’agit d’un abonnement illimité à tous les trains d’IDTGV au prix de 59,99€ par mois : le prix d’un aller à Marseille en co-voiturage.
Service 100% mobile, IDTGV lance une application smartphone spécialement dédiée aux « maxtrotters », les futurs abonnés d’IDTGVMax.
Inscription, paiement automatique, réservations, tout se fera sur l’application : une nouvelle étape pour la dématérialisation du billet.
Néanmoins, l'abonné possédera une carte IDTGVMax.
Il s’agit d’un abonnement illimité à tous les trains d’IDTGV au prix de 59,99€ par mois : le prix d’un aller à Marseille en co-voiturage.
Service 100% mobile, IDTGV lance une application smartphone spécialement dédiée aux « maxtrotters », les futurs abonnés d’IDTGVMax.
Inscription, paiement automatique, réservations, tout se fera sur l’application : une nouvelle étape pour la dématérialisation du billet.
Néanmoins, l'abonné possédera une carte IDTGVMax.
Seulement 10 000 abonnements
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« Nous cherchons à répondre aux comportements et aux usages que l’on trouve partout mais qui n’ont pas encore été adaptés aux transports.
Aujourd’hui, le téléphone nous accompagne partout, il sert déjà parfois de billet électronique », explique Rachel Picard, directrice générale de la branche voyage d’IDTGV.
« Avec IDTGVMax, nous voulons que les gens se demandent demain comment ils pouvaient vivre sans un abonnement illimité. »
Pour la filiale de la SNCF, le risque est toutefois grand et il n’est pas difficile d’imaginer le déficit que pourrait engendrer une telle offre.
C’est pourquoi, il s’agit d’une édition limitée : seuls 10 000 abonnements sont mis en ligne.
Aujourd’hui, le téléphone nous accompagne partout, il sert déjà parfois de billet électronique », explique Rachel Picard, directrice générale de la branche voyage d’IDTGV.
« Avec IDTGVMax, nous voulons que les gens se demandent demain comment ils pouvaient vivre sans un abonnement illimité. »
Pour la filiale de la SNCF, le risque est toutefois grand et il n’est pas difficile d’imaginer le déficit que pourrait engendrer une telle offre.
C’est pourquoi, il s’agit d’une édition limitée : seuls 10 000 abonnements sont mis en ligne.
Se créer un profil
Qui dit édition limitée dit également avantages : les « maxtrotters » auront le droit à un espace spécialement dédié d’environ 40 places (équivalent à une voiture ou un étage pour les trains à double étage).
Sur l’application, il sera également possible de créer un profil et de mettre son « humeur » en ligne, ou de discuter avec d’autres abonnés présents sur le train.
Créé en 2004, IDTGV cumule aujourd’hui 50 destinations et 4 millions de voyageurs par an.
Sa particularité, ce sont ses deux ambiances que le client choisi lorsqu’il prend son billet : iDZen et iDZap. iDzen propose un espace « protégé » au voyageur, qui peut se reposer au calme.
iDZap est dédié à ceux qui souhaitent plutôt discuter et vivre un trajet animé.
Sur l’application, il sera également possible de créer un profil et de mettre son « humeur » en ligne, ou de discuter avec d’autres abonnés présents sur le train.
Créé en 2004, IDTGV cumule aujourd’hui 50 destinations et 4 millions de voyageurs par an.
Sa particularité, ce sont ses deux ambiances que le client choisi lorsqu’il prend son billet : iDZen et iDZap. iDzen propose un espace « protégé » au voyageur, qui peut se reposer au calme.
iDZap est dédié à ceux qui souhaitent plutôt discuter et vivre un trajet animé.
Le « laboratoire de la SNCF »
Surnommé le « laboratoire de la SNCF », IDTGV est connu pour tester des produits et des idées repris ensuite par la SNCF ou laissés de côté.
Récemment, IDTGV faisait d’ailleurs parler la presse en faisant porter à ses contrôleurs des Google Glass, les lunettes connectées retirées de la vente la semaine dernière.
« Il s’agit vraiment de test pur : nous voulons déterminer comment utiliser les lunettes connectées pour proposer un meilleur service client.
Par exemple, un contrôleur est obligé de perdre de vue le client lorsqu’il baisse les yeux pour vérifier les informations d’embarquement.
Grâce aux lunettes connectées, il est possible de continuer à regarder le client. Nous allons d’ailleurs refaire des tests en février pour déterminer si cela a un vrai intérêt ! », annonce avec enthousiasme Franck Benoît, directeur général adjoint et directeur production & service d’ITGV.
« Nous envisageons aussi les usages possibles du beacon, ainsi que de la réalité virtuelle, mais il ne s’agit encore que de projets. »
L’objectif d’ITGV ? Innover, pousser toujours plus de gens à prendre le train et révolutionner les usages.
Récemment, IDTGV faisait d’ailleurs parler la presse en faisant porter à ses contrôleurs des Google Glass, les lunettes connectées retirées de la vente la semaine dernière.
« Il s’agit vraiment de test pur : nous voulons déterminer comment utiliser les lunettes connectées pour proposer un meilleur service client.
Par exemple, un contrôleur est obligé de perdre de vue le client lorsqu’il baisse les yeux pour vérifier les informations d’embarquement.
Grâce aux lunettes connectées, il est possible de continuer à regarder le client. Nous allons d’ailleurs refaire des tests en février pour déterminer si cela a un vrai intérêt ! », annonce avec enthousiasme Franck Benoît, directeur général adjoint et directeur production & service d’ITGV.
« Nous envisageons aussi les usages possibles du beacon, ainsi que de la réalité virtuelle, mais il ne s’agit encore que de projets. »
L’objectif d’ITGV ? Innover, pousser toujours plus de gens à prendre le train et révolutionner les usages.
« Nous ne desservons pas l’axe Paris-Lille, ni le nord et l’est de manière générale car il s’agit plutôt de voyages professionnels. Nous visons une offre exclusive de loisirs », explique Rachel Picard. © IDTGV