Le groupe d'agents de voyages marseillais entourant Michel Blanchi au Beau Rivage - Photos: JB/Tourmag.com
Ce mercredi 5 mai était un jour férié à Maurice. Pour cause d'élections générales. Les professionnels du tourisme invités par Corsairfly n'ont pas chômé, eux. Nous les avons retrouvés alors qu'ils visitaient l'Hôtel Beau Rivage à Belle Mare, sur la côte est de l'île.
En terminant leur court mais studieux périple par le fleuron du groupe Naïade, ces prescripteurs ne pouvaient pas mieux conclure leur longue série de visites d'hôtels de plage mauriciens.
Quand on sait que la destination compte à ce jour une centaine d'établissements représentant 11 102 chambres, on imagine toute la difficulté pour choisir, dans la gamme très diverse présentée, celui qui correspond le mieux à l'attente du client qui pousse la porte d'une agence de voyages.
Au Beau Rivage, où ils ont été chaleureusement accueillis par le directeur général, Michel Blanchi, les agents marseillais ont pu mesurer l'exceptionnel niveau de prestation de ce 5 étoiles de catégorie Luxe.
En terminant leur court mais studieux périple par le fleuron du groupe Naïade, ces prescripteurs ne pouvaient pas mieux conclure leur longue série de visites d'hôtels de plage mauriciens.
Quand on sait que la destination compte à ce jour une centaine d'établissements représentant 11 102 chambres, on imagine toute la difficulté pour choisir, dans la gamme très diverse présentée, celui qui correspond le mieux à l'attente du client qui pousse la porte d'une agence de voyages.
Au Beau Rivage, où ils ont été chaleureusement accueillis par le directeur général, Michel Blanchi, les agents marseillais ont pu mesurer l'exceptionnel niveau de prestation de ce 5 étoiles de catégorie Luxe.
L'hôtel fête ses 10 ans
Sous ses toits de chaume, il conjugue parfaitement la légendaire hospitalité mauricienne et l'inégalable élégance tropicale.
L'hôtel, qui fête ses 10 ans, est composé de 174 suites et de 12 villas. A la tête depuis trois ans de ce vaisseau amarré en bordure d'un lagon où les vagues de l'Océan Indien viennent, elles aussi, se reposer, Michel Blanchi est un manager heureux.
« Je me considère simplement comme un créateur de bien-être » confesse notre homme, un ancien de la Société des Bains de Mer qui a longtemps travaillé aux USA... et dans les plus beaux palaces de la planète.
Dans un cadre enchanteur, un environnement spacieux et en présence d'un service irréprochable, toutes choses qui confèrent au Beau Rivage un parfum d'authenticité et de sérénité, le temps semble comme suspendu.
L'hôtel, qui fête ses 10 ans, est composé de 174 suites et de 12 villas. A la tête depuis trois ans de ce vaisseau amarré en bordure d'un lagon où les vagues de l'Océan Indien viennent, elles aussi, se reposer, Michel Blanchi est un manager heureux.
« Je me considère simplement comme un créateur de bien-être » confesse notre homme, un ancien de la Société des Bains de Mer qui a longtemps travaillé aux USA... et dans les plus beaux palaces de la planète.
Dans un cadre enchanteur, un environnement spacieux et en présence d'un service irréprochable, toutes choses qui confèrent au Beau Rivage un parfum d'authenticité et de sérénité, le temps semble comme suspendu.
Le beau Rivage a lui aussi ressenti quelques effets de la cris
Un petit coin de paradis au bord de l'océan indien - Photos : JB/Tourmag.com
Pourtant, rien n'est jamais facile. Le Beau Rivage, avec ses 350 employés, a lui aussi ressenti -avec un peu de décalage- quelques effets de la crise.
« Cela nous à incité à nous montrer encore plus à l'écoute de nos clients, à satisfaire leurs demandes, à nous adapter davantage, à savoir anticiper... »explique avec conviction M.Blanchi.
Ici, où Français et Anglais représentent les 2/3 de la clientèle, on a déjà travaillé les marchés émergents. Et l'on peut déjà croiser Indiens, Coréens, Chinois et autres Japonais.
Et puis certainement, de plus en plus de touristes en quête de rêves. De ceux qui deviennent réalité.
« Cela nous à incité à nous montrer encore plus à l'écoute de nos clients, à satisfaire leurs demandes, à nous adapter davantage, à savoir anticiper... »explique avec conviction M.Blanchi.
Ici, où Français et Anglais représentent les 2/3 de la clientèle, on a déjà travaillé les marchés émergents. Et l'on peut déjà croiser Indiens, Coréens, Chinois et autres Japonais.
Et puis certainement, de plus en plus de touristes en quête de rêves. De ceux qui deviennent réalité.
En promotion avec Corsairfly et Tourinter
Durant les mois de mai et juin, une semaine au Beau Rivage , vols et demi-pension, à partir de 1 783 euros TTC !
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![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
