Selon le baromètre du tourisme francilien, dans un contexte économique jugé néfaste par près de 8 professionnels du tourisme sur 10, plus des trois quarts des établissements du secteur (76%) enregistrent une baisse de leur activité au mois de février.
En conséquence, l’activité est jugée « moyenne » par près de la moitié des professionnels interrogés (46%) et « mauvaise » par plus du tiers (35%).
Si tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu un repli de leur fréquentation touristique, Paris ainsi que les établissements de catégorie supérieure sont fortement touchés.
La fréquentation touristique étrangère est en diminution, mais le classement des clientèles reste quasi identique avec en première position les Britanniques, suivis des Italiens, des Allemands, des Américains et des Espagnols.
En conséquence, l’activité est jugée « moyenne » par près de la moitié des professionnels interrogés (46%) et « mauvaise » par plus du tiers (35%).
Si tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu un repli de leur fréquentation touristique, Paris ainsi que les établissements de catégorie supérieure sont fortement touchés.
La fréquentation touristique étrangère est en diminution, mais le classement des clientèles reste quasi identique avec en première position les Britanniques, suivis des Italiens, des Allemands, des Américains et des Espagnols.
Les perspectives pour le mois de mars restent très incertaines, puisque l’état des réservations est jugé « moyen » par 53% des professionnels interrogés, 28% le considèrent « bon » voire « très bon » et 19% le jugent « mauvais » voire « très mauvais ».
La perception de l’évolution de l’activité à moyen terme reste très partagée : 36% des professionnels interrogés prévoient une amélioration, 33% une dégradation et 31% une stabilisation.
Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.
La perception de l’évolution de l’activité à moyen terme reste très partagée : 36% des professionnels interrogés prévoient une amélioration, 33% une dégradation et 31% une stabilisation.
Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.