Interface Tourism s'internationalise

Interface Tourism poursuit son développement à l'international. L'entreprise créée à Paris en 2000 compte aujourd'hui une quinzaine de destinations qui ont choisi d’externaliser tout ou une partie de leur marketing en Europe francophone.

Mais depuis 2007, la société a passé la vitesse supérieure. C'est ainsi qu'Interface Tourism Italie a vu le jour en juin 2007 à Milan. Sous la co-direction de Serena Valle et Elena Martinetto, la structure a d'ores et déjà travaillé pour le Mexique, les Philippines, Abu Dhabi, la Caribbean Tourism Organisation, le méta moteur de recherche Mobissimo, les resorts AAA (Maldives) et les boutique hôtels HI (Nice).

En mai 2008, Interface Tourism s'implante en Scandinavie, en partenariat avec Udo Ulrich, Président de la société de représentation aérienne « Target Marketing Scandinavia ».

Interface Tourism Scandinavie dont le bureau principal est à Stockholm, dispose d’un annexe à Copenhague et de 2 agences partenaires en Norvège et Finlande. La société agira sur 8 marchés – soit l’ensemble des marchés scandinaves (Danemark, Suède, Norvège et Finlande) ainsi que les pays Baltes et l’Islande. Son premier client gagné est le bureau du tourisme des Philippines.

"Nos clients nous invitent à dupliquer notre modèle sur d’autres marchés en dehors de France. C’est dans ce contexte que nous avons ouvert des bureaux en Europe du Sud et en Scandinavie pour couvrir des marchés émetteurs jugés secondaires face à l’Allemagne ou l’Angleterre mais fort intéressants pour nos clients.", explique Gaël de La Porte du Theil, Président Fondateur d'interface Tourism, dans un communiqué de presse.

L'entreprise ne compte pas s'arrêter en si bon chemin : "Avant la fin de l’année 2008, nous aurons la capacité à agir sur tous les continents, dont les principaux marchés émergents du monde (Inde, Brésil, Afrique du Sud, Argentine…) et d’autres plus matures (USA, Allemagne, Angleterre, Pays-Bas…).

Nous avons même été approchés par des CRT et grandes villes de France qui expriment un fort intérêt pour ce modèle « outsourcé », individualisé et aux effets mesurables de promotion à l’international"., conclut-il.