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Voici l'intégralité du communiqué : "Face aux difficultés majeures d’ISROFLY de payer les vols des 23, 28 et 30 août 2006 affrétés auprès de la société CORSAIR, un accord transactionnel avait été conclu le 22 août 2006, sous l’égide du Ministère du Tourisme et des administrations concernées et homologué le 23 août 2006 par Monsieur le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris, dans le but de rapatrier les clients d’ISROFLY.
Cet accord prévoyait :
- le maintien par la société CORSAIR des vols des 28 et 30 août 2006 contre le paiement par ISROFLY d’une somme globale et forfaitaire dont les 2/3 devaient être réglés impérativement à hauteur d’un tiers le 25 août 2006, l’autre tiers le 29 août 2006 et le solde à compter du 31 octobre 2006 d’une façon échelonnée,
- en cas de non respect d’une échéance par ISROFLY, les vols n’étaient pas maintenus.
Le 25 août 2006 au soir, la société CORSAIR a constaté que la première échéance n’était pas réglée et de ce fait s’est vue contrainte de déprogrammer le vol du 28 août 2006 en informant le même jour ISROFLY.
Le 28 août 2006, la société CORSAIR a malgré tout tenté une nouvelle fois, avec le Ministère du Tourisme et les administrations concernées, de rechercher une solution.
Une nouvelle offre financière avantageuse a été proposée par la société CORSAIR pour maintenir le vol du 30 août 2006 dans le souci, une fois de plus, de proposer une solution pour les clients d’ISROFLY.
ISROFLY a refusé cette offre et a reconnu à cette occasion, être dès l’origine dans l’incapacité d’exécuter tout accord financier.
En conséquence, la société CORSAIR n’a pu faire autrement, à son grand regret, que de déprogrammer également le vol du 30 août 2006.
Nous remercions le Ministère du Tourisme et les administrations concernées des efforts déployés pour aider à une solution et regrettons une fois de plus la prise en otage de la clientèle par ce Tour Opérateur indélicat."
Cet accord prévoyait :
- le maintien par la société CORSAIR des vols des 28 et 30 août 2006 contre le paiement par ISROFLY d’une somme globale et forfaitaire dont les 2/3 devaient être réglés impérativement à hauteur d’un tiers le 25 août 2006, l’autre tiers le 29 août 2006 et le solde à compter du 31 octobre 2006 d’une façon échelonnée,
- en cas de non respect d’une échéance par ISROFLY, les vols n’étaient pas maintenus.
Le 25 août 2006 au soir, la société CORSAIR a constaté que la première échéance n’était pas réglée et de ce fait s’est vue contrainte de déprogrammer le vol du 28 août 2006 en informant le même jour ISROFLY.
Le 28 août 2006, la société CORSAIR a malgré tout tenté une nouvelle fois, avec le Ministère du Tourisme et les administrations concernées, de rechercher une solution.
Une nouvelle offre financière avantageuse a été proposée par la société CORSAIR pour maintenir le vol du 30 août 2006 dans le souci, une fois de plus, de proposer une solution pour les clients d’ISROFLY.
ISROFLY a refusé cette offre et a reconnu à cette occasion, être dès l’origine dans l’incapacité d’exécuter tout accord financier.
En conséquence, la société CORSAIR n’a pu faire autrement, à son grand regret, que de déprogrammer également le vol du 30 août 2006.
Nous remercions le Ministère du Tourisme et les administrations concernées des efforts déployés pour aider à une solution et regrettons une fois de plus la prise en otage de la clientèle par ce Tour Opérateur indélicat."