Embauche : 72 % des employeurs ne tiennent plus compte du sexe
En dépit de ces avancées marquantes les inégalités perdurent dans les secteurs professionnels.
Le taux de chômage global des femmes est plus élevé que celui des hommes. Dans les secteurs privés les 2/3 des postes de cadre supérieurs sont occupés par des hommes.
Moins de 2 dirigeants sur 10 (11 %) sont des femmes. (Sources Insee). L'écart des salaires serait de l'ordre de 27 % en moyenne sans autre justification que la différence de sexe.
Selon le MEDEF, les membres des Conseils d'Administration des grands groupes ne comptent que 9 % de femmes alors qu'elles sont 40 % en Norvège, 17 % au Danemark, 15 % aux Etats-Unis.
Positivons tout de même. Au MEDEF on souligne qu'une majorité des employeurs (72 %) se déclare indifférent au sexe de la personne à recruter. Seules compteraient désormais les compétences et la capacité à remplir les fonctions.
« Les inégalités sont ailleurs, dans le déroulement de la carrière, au niveau de la rémunération, dans l'accès aux postes de haut management.
La barrière du recrutement me semble aujourd'hui franchie. Il faut désormais s'attaquer vigoureusement aux inégalités hommes-femmes dans l'exercice de la profession » déclare Marie-Christine Oghly, présidente du MEDEF Ile-de-France.
Le taux de chômage global des femmes est plus élevé que celui des hommes. Dans les secteurs privés les 2/3 des postes de cadre supérieurs sont occupés par des hommes.
Moins de 2 dirigeants sur 10 (11 %) sont des femmes. (Sources Insee). L'écart des salaires serait de l'ordre de 27 % en moyenne sans autre justification que la différence de sexe.
Selon le MEDEF, les membres des Conseils d'Administration des grands groupes ne comptent que 9 % de femmes alors qu'elles sont 40 % en Norvège, 17 % au Danemark, 15 % aux Etats-Unis.
Positivons tout de même. Au MEDEF on souligne qu'une majorité des employeurs (72 %) se déclare indifférent au sexe de la personne à recruter. Seules compteraient désormais les compétences et la capacité à remplir les fonctions.
« Les inégalités sont ailleurs, dans le déroulement de la carrière, au niveau de la rémunération, dans l'accès aux postes de haut management.
La barrière du recrutement me semble aujourd'hui franchie. Il faut désormais s'attaquer vigoureusement aux inégalités hommes-femmes dans l'exercice de la profession » déclare Marie-Christine Oghly, présidente du MEDEF Ile-de-France.