«L’année 2007 a été exceptionnelle, portée par des événements nombreux dont la coupe du monde de rugby.
Si l’année en cours n’atteint pas les mêmes sommets, elle n’en restera pas moins très bonne».
Stéphane Botz, manager KPMG Entreprises-Stratégie Management/Tourisme Hôtellerie Loisirs, s’est félicité hier des bons résultats du secteur hôtelier en France, au cours d’une présentation des résultats de sa 31ème étude sur le secteur, intitulée sobrement « L’Industrie Hôtelière Française 2008 ».
L’enquête a été réalisée auprès de 2 600 hôtels de l’hexagone (soit environ 40% de l’offre hôtelière), des hôtels de chaînes (intégrées ou volontaires) pour la plupart à l’exception du segment 4 étoiles où l’on trouve une majorité d’indépendants.
Si l’année en cours n’atteint pas les mêmes sommets, elle n’en restera pas moins très bonne».
Stéphane Botz, manager KPMG Entreprises-Stratégie Management/Tourisme Hôtellerie Loisirs, s’est félicité hier des bons résultats du secteur hôtelier en France, au cours d’une présentation des résultats de sa 31ème étude sur le secteur, intitulée sobrement « L’Industrie Hôtelière Française 2008 ».
L’enquête a été réalisée auprès de 2 600 hôtels de l’hexagone (soit environ 40% de l’offre hôtelière), des hôtels de chaînes (intégrées ou volontaires) pour la plupart à l’exception du segment 4 étoiles où l’on trouve une majorité d’indépendants.
Prix moyen de la chambre toujours élevé malgré la conjoncture
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Le taux d’occupation moyen toutes catégories confondues, à fin août 2008, est resté élevé (69,3%) malgré les aléas climatiques et la situation économique.
Seul bémol, l’hôtellerie super-économique en recul de 1,6 point en raison d’une offre saturée, son taux d’occupation restant néanmoins à un niveau élevé (70,1%).
Le revenu par chambre disponible (RevPAR), l’un des indicateurs phare de l’hôtellerie, révèle la très forte rentabilité du segment économique, lequel devrait encore progresser cette année de 6 à 8% contre 3 à 6% sur le segment 4 étoiles.
Le prix moyen de la chambre demeure toujours élevé malgré la conjoncture. Principale explication : les efforts constants des hôteliers pour rénover leur offre, à commencer par un équipement de Spa-bien être et un repositionnement de la restauration.
KPMG s’intéresse cette année aux Spas dont la notion reste imprécise, retenant en la matière une surface commerciale moyenne de 500 à 600 m2.
Seul bémol, l’hôtellerie super-économique en recul de 1,6 point en raison d’une offre saturée, son taux d’occupation restant néanmoins à un niveau élevé (70,1%).
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Un équipement croisant en spa dans le segment 4 étoiles
Selon l’étude, un hôtel sur six dans la gamme 4 étoiles est aujourd’hui équipé d’un Spa. La demande des clients pour une telle offre est importante notamment sur ce segment, l’étude notant toutefois que l’équilibre financier d’un tel équipement est atteint autour de la troisième année.
L’étude porte également cette année sur les résidences de tourisme. Celles-ci, force d’attraction commerciale en concurrence ou en complémentarité avec l’hôtellerie homologuée, représentent 16% de l’hébergement touristique marchand et 30% des investissements totaux d’hébergements marchands l’an dernier (15% en 1990).
Ce secteur se restructure aujourd’hui au travers de nombreux partenariats (Pierre & Vacances avec Accor et Euro Disney, le groupe Odalys avec Vacances Bleues), constate Stéphane Botz.
Le marché des résidences présente des taux d’occupation performants (60% en moyenne en hiver et 72% en été) quelle que soit la destination.
L’étude porte également cette année sur les résidences de tourisme. Celles-ci, force d’attraction commerciale en concurrence ou en complémentarité avec l’hôtellerie homologuée, représentent 16% de l’hébergement touristique marchand et 30% des investissements totaux d’hébergements marchands l’an dernier (15% en 1990).
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