Uber, c'est moins cher, le service est nickel et, contrairement à ce que veux bien écrire (fort bien d'ailleurs) ma chère Léa, ça créée des emplois. Des emplois nouveaux que sont bien contents de trouver un nombre impressionnant de "délaissés" du travail, tant jeunes que plus âgés. - Capture écran
J'ai failli, l'autre jour, rater mon aéroplane à destination de Toulouse.
Rien de bien important, en soi, sauf que, la grève des taxis battant son plein, j'avais décidé d'utiliser mon automobile pour me rendre à l'aéroport.
Erreur, puisque les taxis que je n'avais pas pu emprunter bloquaient les accès de la station à avions !
Au nom du principe que, seuls les taxis officiels ont le droit d'exercer et que les Uber leurs polluent la vie... Je résume, mais c'est ça !
Conclusion : ce sont, encore une fois les clients, vos clients, les pauvres mecs qui n'ont rien demandé à personne qui sont pénalisés et qui ne sont en rien responsables de la nonchalance des pouvoirs publics.
Et que Uber, quoi que l'on puisse en penser, c'est aussi un regard vers l'avenir.
Faut peut-être s'arrêter de regarder vers le passé, style "de mon temps, c'était le bon temps" !
Et que les monopoles, c'est bel et bien fini. Faut s'adapter ou crever. C'est ainsi, c'est la vie. Et puis, Uber, c'est moins cher, le service est nickel et, contrairement à ce que veut bien écrire (fort bien d'ailleurs) ma chère Léa, ça crée des emplois.
Des emplois nouveaux que sont bien contents de trouver un nombre impressionnant de "délaissés" du travail, tant jeunes que plus âgés. Et qui bossent dur pour arriver à dégager de quoi vivre de leur nouveau boulot.
Idem pour Airbnb, qui n'est, ni plus ni moins, que le vieux principe du logement chez l'habitant.
Etudiant, je me souviens d'un voyage en Grèce avec une bande de copains (et copines, bien sûr) où le logement n'était pas un problème : à chaque entrée de bourgade, une multitude de gamins proposaient chambres à louer… dans leur famille. Et c'étaient pas des boui-bouis ! En plus, c'était une super façon de découvrir la vie des habitants.
Rien de bien important, en soi, sauf que, la grève des taxis battant son plein, j'avais décidé d'utiliser mon automobile pour me rendre à l'aéroport.
Erreur, puisque les taxis que je n'avais pas pu emprunter bloquaient les accès de la station à avions !
Au nom du principe que, seuls les taxis officiels ont le droit d'exercer et que les Uber leurs polluent la vie... Je résume, mais c'est ça !
Conclusion : ce sont, encore une fois les clients, vos clients, les pauvres mecs qui n'ont rien demandé à personne qui sont pénalisés et qui ne sont en rien responsables de la nonchalance des pouvoirs publics.
Et que Uber, quoi que l'on puisse en penser, c'est aussi un regard vers l'avenir.
Faut peut-être s'arrêter de regarder vers le passé, style "de mon temps, c'était le bon temps" !
Et que les monopoles, c'est bel et bien fini. Faut s'adapter ou crever. C'est ainsi, c'est la vie. Et puis, Uber, c'est moins cher, le service est nickel et, contrairement à ce que veut bien écrire (fort bien d'ailleurs) ma chère Léa, ça crée des emplois.
Des emplois nouveaux que sont bien contents de trouver un nombre impressionnant de "délaissés" du travail, tant jeunes que plus âgés. Et qui bossent dur pour arriver à dégager de quoi vivre de leur nouveau boulot.
Idem pour Airbnb, qui n'est, ni plus ni moins, que le vieux principe du logement chez l'habitant.
Etudiant, je me souviens d'un voyage en Grèce avec une bande de copains (et copines, bien sûr) où le logement n'était pas un problème : à chaque entrée de bourgade, une multitude de gamins proposaient chambres à louer… dans leur famille. Et c'étaient pas des boui-bouis ! En plus, c'était une super façon de découvrir la vie des habitants.
Et, accessoirement ce principe permet à des familles pas toujours "aisées" d'assaisonner un peu la soupe quotidienne.
Mais les taxis, pas plus que les hôteliers, forts d'un passé maintenant désuet, n'ont jamais voulu anticiper. C'est dommage…
Très attentivement, j'ai lu le papier de Léa, particulièrement l'épisode consacré au tourisme et ces fameux "apporteurs d'affaires" qui semblent maintenant poser problème et conduire, à terme à la précarité de certains emplois.
Je ne suis pas d'accord. Dans un pays, des pays devrais-je dire, où les instances économiques et politiques sont incapables de fournir l'emploi, il me semble parfaitement normal que d'autres formes d'entreprises se développent.
Et, plutôt d'attendre que les ASSEDIC tombent chaque mois, n'aurait-on pas le droit de tenter de vivre ?
C'est vrai, c'est un gouvernement de droite qui a institué ce principe de l'auto-entreprenariat. C'est pas si stupide et ça ne grève pas le budget social de la nation, puisqu'il faut aussi acquitter les charges sociales.
En revanche, c'est un gouvernement de gauche qui a aboli, du moins pour les métiers du tourisme, la notion de "compétence professionnelle". Et dans ce cas, pourquoi voulez-vous que n'importe qui ne sente pas investi d'une mission de "conseil en voyages" envers ses relations ou son carnet d'adresses ?
Et, dans le cas de TUI, chère Léa, (faudrait qu'on prenne un verre un jour), je maintiens que ce sont des emplois, différents, qui devraient être créés. Je connais d'ailleurs bon nombre de chômeurs du tourisme, de ces gens qui n'ont pas eu le pot de travailler dans des agences ou des TO "solides" qui seront sûrement contents de postuler.
Précaire ? Peut-être, mais quand on est dans la m..., soit on cherche à s'en sortir, soit on attend tranquillement de crever !
Et, perso, je suis plus enclin à choisir la première solution.
Même si elle n'est pas parfaite et qu'elle profitera certainement davantage à ces entreprises qui cherchent à économiser par tous les moyens.
D'ailleurs, vaut-il mieux commissionner un "conseiller" qui veut vraiment manger ou une tête de réseau qui ne pense qu'à l'intérêt de ses dirigeants ?
Bonne question, n'est-il pas ?
Mais les taxis, pas plus que les hôteliers, forts d'un passé maintenant désuet, n'ont jamais voulu anticiper. C'est dommage…
Très attentivement, j'ai lu le papier de Léa, particulièrement l'épisode consacré au tourisme et ces fameux "apporteurs d'affaires" qui semblent maintenant poser problème et conduire, à terme à la précarité de certains emplois.
Je ne suis pas d'accord. Dans un pays, des pays devrais-je dire, où les instances économiques et politiques sont incapables de fournir l'emploi, il me semble parfaitement normal que d'autres formes d'entreprises se développent.
Et, plutôt d'attendre que les ASSEDIC tombent chaque mois, n'aurait-on pas le droit de tenter de vivre ?
C'est vrai, c'est un gouvernement de droite qui a institué ce principe de l'auto-entreprenariat. C'est pas si stupide et ça ne grève pas le budget social de la nation, puisqu'il faut aussi acquitter les charges sociales.
En revanche, c'est un gouvernement de gauche qui a aboli, du moins pour les métiers du tourisme, la notion de "compétence professionnelle". Et dans ce cas, pourquoi voulez-vous que n'importe qui ne sente pas investi d'une mission de "conseil en voyages" envers ses relations ou son carnet d'adresses ?
Et, dans le cas de TUI, chère Léa, (faudrait qu'on prenne un verre un jour), je maintiens que ce sont des emplois, différents, qui devraient être créés. Je connais d'ailleurs bon nombre de chômeurs du tourisme, de ces gens qui n'ont pas eu le pot de travailler dans des agences ou des TO "solides" qui seront sûrement contents de postuler.
Précaire ? Peut-être, mais quand on est dans la m..., soit on cherche à s'en sortir, soit on attend tranquillement de crever !
Et, perso, je suis plus enclin à choisir la première solution.
Même si elle n'est pas parfaite et qu'elle profitera certainement davantage à ces entreprises qui cherchent à économiser par tous les moyens.
D'ailleurs, vaut-il mieux commissionner un "conseiller" qui veut vraiment manger ou une tête de réseau qui ne pense qu'à l'intérêt de ses dirigeants ?
Bonne question, n'est-il pas ?
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