"Pourtant, ce petit patron d’agence, qui m’a demandé de ne pas le nommer, par crainte peut-être de représailles sans doute, après des années d’implication et de participation, a eu envie de changer d’air." - DR : psdesign1-Fotolia.com
Quasi un sacrilège. On ne quitte pas le réseau de ce grand capitaine, que l’on pourrait d’ailleurs quasiment appeler Dieu.
Pourtant, ce petit patron d’agence, qui m’a demandé de ne pas le nommer, par crainte peut-être de représailles sans doute, après des années d’implication et de participation, a eu envie de changer d’air.
Ce que l’on peut aisément comprendre, il y a parfois des endroits où l’odeur devient nauséabonde.
Cet homme de bien, que nous appellerons Jules (j’aime bien ce nom et que les Jules qui vont me lire ne s’y croient pas, c’est du hasard), a donc envoyé une jolie lettre de démission.
En sachant pertinemment qu’il va s’asseoir une partie de ses commissions, mais c’est un prince et la liberté n’a pas de prix !
Fort élégamment, le réseau qu’il quittait s’est immédiatement fendu d’une missive aussi sèche que brève, avertissant l’ensemble des fournisseurs et des prestataires que l’agence de Jules était radiée "à compter de ce jour".
Bon, vous imaginez que certains, surtout dans cette période un peu incertaine, se sont immédiatement inquiétés.
Pourtant, Jules a bien tout fait, dans les règles, il a même rejoint un autre réseau, plus convivial et aussi performant… Mais bon, la rumeur court plus vite que le vent du nord qui nous glacifie en ce moment.
Le plus ignoble dans tout ça, c’est que beaucoup n’ont rien vérifié. Dont, notamment, une compagnie aérienne, américaine, dont par décence, je tairai aussi le nom (mais c’est pas glorieux) a illico et sans préavis aucun, suspendu le « ticketing » de notre pauvre julot…
Pourtant, ce petit patron d’agence, qui m’a demandé de ne pas le nommer, par crainte peut-être de représailles sans doute, après des années d’implication et de participation, a eu envie de changer d’air.
Ce que l’on peut aisément comprendre, il y a parfois des endroits où l’odeur devient nauséabonde.
Cet homme de bien, que nous appellerons Jules (j’aime bien ce nom et que les Jules qui vont me lire ne s’y croient pas, c’est du hasard), a donc envoyé une jolie lettre de démission.
En sachant pertinemment qu’il va s’asseoir une partie de ses commissions, mais c’est un prince et la liberté n’a pas de prix !
Fort élégamment, le réseau qu’il quittait s’est immédiatement fendu d’une missive aussi sèche que brève, avertissant l’ensemble des fournisseurs et des prestataires que l’agence de Jules était radiée "à compter de ce jour".
Bon, vous imaginez que certains, surtout dans cette période un peu incertaine, se sont immédiatement inquiétés.
Pourtant, Jules a bien tout fait, dans les règles, il a même rejoint un autre réseau, plus convivial et aussi performant… Mais bon, la rumeur court plus vite que le vent du nord qui nous glacifie en ce moment.
Le plus ignoble dans tout ça, c’est que beaucoup n’ont rien vérifié. Dont, notamment, une compagnie aérienne, américaine, dont par décence, je tairai aussi le nom (mais c’est pas glorieux) a illico et sans préavis aucun, suspendu le « ticketing » de notre pauvre julot…
Et sans avoir la décence de passer un simple coup de téléphone.
Heureusement d’ailleurs que notre Jules est un abonné, non pas au gaz, mais à BSP Link (qui lui facture l’abonnement plein pot), ce qui lui a permis de connaitre la bonne nouvelle !
Bien évidemment, il s’est ému d’une telle décision, lui qui voulait tout faire dans les clous et les règles.
Savez-vous ce que la compagnie aérienne, sans doute Trumpiste, lui a répondu ?
Ben, je vais vous le dire… "Comme vous avez été radié (j’ai transformé un peu la teneur de cette missive-mail), nous vous avons fermé le ticketing, comme nous le faisons dans un pareil cas. C’est notre règle et voulez-vous nous faire parvenir votre accréditation IATA".
Et paf, va te faire voir, c... ! (Non, ça c’est ma libre traduction).
Alors, moi, bêtement, j’ai une question : changer de réseau, c’est un crime de lèse compagnie aérienne ?
Et a-t-on le droit de mettre en grave péril financier une société qui dispose d’un agrément IATA depuis plus de dix ans, sans incident aucun, sans vérifier le bien-fondé d’une telle décision ?
Quant au réseau en question, n’aurait-il pas été plus élégant de signaler qu’un de ses membres s’en allait vers d’autres horizons et lui souhaiter bonne chance ?
Il y a vraiment des baffes qui se perdent…
Heureusement d’ailleurs que notre Jules est un abonné, non pas au gaz, mais à BSP Link (qui lui facture l’abonnement plein pot), ce qui lui a permis de connaitre la bonne nouvelle !
Bien évidemment, il s’est ému d’une telle décision, lui qui voulait tout faire dans les clous et les règles.
Savez-vous ce que la compagnie aérienne, sans doute Trumpiste, lui a répondu ?
Ben, je vais vous le dire… "Comme vous avez été radié (j’ai transformé un peu la teneur de cette missive-mail), nous vous avons fermé le ticketing, comme nous le faisons dans un pareil cas. C’est notre règle et voulez-vous nous faire parvenir votre accréditation IATA".
Et paf, va te faire voir, c... ! (Non, ça c’est ma libre traduction).
Alors, moi, bêtement, j’ai une question : changer de réseau, c’est un crime de lèse compagnie aérienne ?
Et a-t-on le droit de mettre en grave péril financier une société qui dispose d’un agrément IATA depuis plus de dix ans, sans incident aucun, sans vérifier le bien-fondé d’une telle décision ?
Quant au réseau en question, n’aurait-il pas été plus élégant de signaler qu’un de ses membres s’en allait vers d’autres horizons et lui souhaiter bonne chance ?
Il y a vraiment des baffes qui se perdent…
Autres articles
-
Limitation des acomptes : vers une augmentation des risques financiers ? 🔑
-
Madagascar Airlines prévoit d'entrer au BSP d'ici juillet 2023
-
IATA réclame près d'un milliard de dollars de fonds bloqués dans 20 pays
-
Emirates étend l’utilisation du Travel Pass de IATA à Paris-CDG
-
Covid-19 : les instances du tourisme et de l'aérien demandent des tests antigéniques dans les aéroports