TourMaG.com : Quid de la promotion de votre région ?
Jean-Elie Panelle : Notre première campagne datait de 2001. Elle s’intitulait « Guyane, personne ne vous croira » et avait pour but de donner une image positive du territoire, dans son ensemble. La différence aujourd’hui est que l’on rentre dans le détail avec une campagne « Envie de vivre des émotions fortes…Où vivre une expérience unique ? » qui interpelle directement la personne, par une mise en avant des produits, ceci pour déclencher l’acte d’achat.
TM. com : Parlez-nous de ces packages…
J-E.P : Il y a notamment le produit fleuve, le produit spatial, le carnaval, avec pour chacun d’eux un programme d’activités et un prix affiché selon la durée du séjour. Ainsi, on peut par exemple faire la descente du Maroni en pirogue, puis poursuivre par les îles du salut pour un séjour balnéaire, et enfin découvrir le centre spatial.
TM. com : Qu’est-ce qui fait le charme inné de la Guyane ?
J-E.P : Je dirais que c’est d’abord la biodiversité. Suivre le cours d’un fleuve, faire des balades en forêt, découvrir les marais de Kaw ou assister à la ponte des tortues Luth sont des choses qui laissent des souvenirs véritablement très forts, uniques.
Jean-Elie Panelle : Notre première campagne datait de 2001. Elle s’intitulait « Guyane, personne ne vous croira » et avait pour but de donner une image positive du territoire, dans son ensemble. La différence aujourd’hui est que l’on rentre dans le détail avec une campagne « Envie de vivre des émotions fortes…Où vivre une expérience unique ? » qui interpelle directement la personne, par une mise en avant des produits, ceci pour déclencher l’acte d’achat.
TM. com : Parlez-nous de ces packages…
J-E.P : Il y a notamment le produit fleuve, le produit spatial, le carnaval, avec pour chacun d’eux un programme d’activités et un prix affiché selon la durée du séjour. Ainsi, on peut par exemple faire la descente du Maroni en pirogue, puis poursuivre par les îles du salut pour un séjour balnéaire, et enfin découvrir le centre spatial.
TM. com : Qu’est-ce qui fait le charme inné de la Guyane ?
J-E.P : Je dirais que c’est d’abord la biodiversité. Suivre le cours d’un fleuve, faire des balades en forêt, découvrir les marais de Kaw ou assister à la ponte des tortues Luth sont des choses qui laissent des souvenirs véritablement très forts, uniques.
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TM. com : : Quelle est la visée du Comité du tourisme en terme de fréquentation ?
J-E.P : Nous ne souhaitons pas faire un tourisme de masse, le pays ne s’y prête pas, il n’y a pas de mer bleue, etc…, c’est en revanche un pays très tourné vers l’éco-tourisme. Actuellement, il y a environ 100 000 visiteurs chaque année, l’objectif est d’avoisiner d’ici à 2010 les 150 000 touristes, 200 000 au maximum, sachant que l’on veut limiter simultanément l’impact sur le milieu naturel, quasi intacte.
TM. com : Ces ambitions nécessitent un développement du parc hôtelier ?
J-E.P : Oui, il faut absolument augmenter la capacité d’accueil. On assistera à cette occasion à une montée en gamme, et à l’ouverture d’établissements 3 étoiles + et 4 étoiles. Il y a trois projets sur Cayenne, trois autres dans l’ouest, principalement sur Saint-Laurent du Maroni, avec un très grand dossier porté par le ministre du tourisme Léon Bertrand lui-même. Nous prévoyons par un ailleurs un réseau de lodges, à la fois mis en place par les privés et le partenariat public-privé.
TM. com :Où sera visible cette campagne et quel est son coût ?
J-E.P : Elle sera d’abord presse, puis sur Internet, par le biais de notre site web complètement reformaté. Enfin, on fera peut-être un peu de télévision, sur les chaînes thématiques, et éventuellement de l’affichage. Le montant de cette campagne s’élève à 3 millions d’euros répartis sur trois ans. Sans les partenariats financiers de la Région, de l’Etat, de l’Europe et du Cnes, elle n’aurait pas pu voir le jour.
www.tourisme-guyane.com
J-E.P : Nous ne souhaitons pas faire un tourisme de masse, le pays ne s’y prête pas, il n’y a pas de mer bleue, etc…, c’est en revanche un pays très tourné vers l’éco-tourisme. Actuellement, il y a environ 100 000 visiteurs chaque année, l’objectif est d’avoisiner d’ici à 2010 les 150 000 touristes, 200 000 au maximum, sachant que l’on veut limiter simultanément l’impact sur le milieu naturel, quasi intacte.
TM. com : Ces ambitions nécessitent un développement du parc hôtelier ?
J-E.P : Oui, il faut absolument augmenter la capacité d’accueil. On assistera à cette occasion à une montée en gamme, et à l’ouverture d’établissements 3 étoiles + et 4 étoiles. Il y a trois projets sur Cayenne, trois autres dans l’ouest, principalement sur Saint-Laurent du Maroni, avec un très grand dossier porté par le ministre du tourisme Léon Bertrand lui-même. Nous prévoyons par un ailleurs un réseau de lodges, à la fois mis en place par les privés et le partenariat public-privé.
TM. com :Où sera visible cette campagne et quel est son coût ?
J-E.P : Elle sera d’abord presse, puis sur Internet, par le biais de notre site web complètement reformaté. Enfin, on fera peut-être un peu de télévision, sur les chaînes thématiques, et éventuellement de l’affichage. Le montant de cette campagne s’élève à 3 millions d’euros répartis sur trois ans. Sans les partenariats financiers de la Région, de l’Etat, de l’Europe et du Cnes, elle n’aurait pas pu voir le jour.
www.tourisme-guyane.com