Fram Plein Vent : il semble maintenant que les choses soient à peu près clarifiées, que les « proprios » aient compris les rouages de ce monde nouveau qu’ils découvrent eux aussi - DR
« La confiance est réaffirmée » souligne Michel Quenot, ce patron nouveau de Fram, transfuge de feue Transat France, de laquelle il se sera échappé à (juste ?) titre… au moment opportun.
Faut quand même aimer le risque. Parce que, malgré la nette tendance à l’embellie, la pente est encore longue à remonter pour le voyagiste qui semble, néanmoins, tenir le bon bout.
Il est vrai que, depuis la reprise par LBO France, actionnaire privilégié du groupe Karavel/Promovacances, il aura fallu pour Fram s’adapter à un « nouveau monde » et surtout à des proprios qui auront eu un certain mal à appréhender le monde du tour-operating « traditionnel » et surtout à cette distribution qui n’a rien à voir avec ce que l’on a nommé durant longtemps les « pure players ».
Néanmoins, il semble maintenant que les choses soient à peu près clarifiées, que les « proprios » aient compris les rouages de ce monde nouveau qu’ils découvrent eux aussi. Du côté de la distribution, comme le dit Quenot, la confiance se réaffirme.
Lire : Fram : la confiance des distributeurs « réaffirmée »
Faut quand même aimer le risque. Parce que, malgré la nette tendance à l’embellie, la pente est encore longue à remonter pour le voyagiste qui semble, néanmoins, tenir le bon bout.
Il est vrai que, depuis la reprise par LBO France, actionnaire privilégié du groupe Karavel/Promovacances, il aura fallu pour Fram s’adapter à un « nouveau monde » et surtout à des proprios qui auront eu un certain mal à appréhender le monde du tour-operating « traditionnel » et surtout à cette distribution qui n’a rien à voir avec ce que l’on a nommé durant longtemps les « pure players ».
Néanmoins, il semble maintenant que les choses soient à peu près clarifiées, que les « proprios » aient compris les rouages de ce monde nouveau qu’ils découvrent eux aussi. Du côté de la distribution, comme le dit Quenot, la confiance se réaffirme.
Lire : Fram : la confiance des distributeurs « réaffirmée »
Dominique Gobert - DR
Est-elle pour autant retrouvée ? C’est en bonne voie, mais c’est pas encore gagné pour autant.
Fram et ses équipes sont déterminés à prouver que le vieux TO qui tenait il y a à peine trois ans le haut du pavé dans le tour-operating français est bien vivant, que sa clientèle a « rajeuni » et que sa production, en grande partie rénovée devrait séduire à nouveau une clientèle nouvelle !
Tant mieux.
Malheureusement le voyagiste se refuse à communiquer sur ses chiffres, se contentant (mais c’est de bonne guerre) de reconnaître la décevante performance de 2016, plombée il est vrai par les faillites d’Air Med (comme quoi il serait temps que les compagnies aériennes disposent aussi d’une caisse de garantie), d’une gestion pour le moins hasardeuse de la part de ses nouveaux actionnaires et de l’obsolescence de ses anciens outils informatiques.
Apparemment, tout ceci semble enfin résolu, que ce soit dans la nouvelle production, toujours axée sur ces Framissima qui redeviennent attractifs et surtout de la formidable offensive menée par ma bonne vieille complice (ben oui, c’est comme ça), Franceline Michon, la Miche, que tous les distributeurs du pays connaissent et apprécient.
Fram et ses équipes sont déterminés à prouver que le vieux TO qui tenait il y a à peine trois ans le haut du pavé dans le tour-operating français est bien vivant, que sa clientèle a « rajeuni » et que sa production, en grande partie rénovée devrait séduire à nouveau une clientèle nouvelle !
Tant mieux.
Malheureusement le voyagiste se refuse à communiquer sur ses chiffres, se contentant (mais c’est de bonne guerre) de reconnaître la décevante performance de 2016, plombée il est vrai par les faillites d’Air Med (comme quoi il serait temps que les compagnies aériennes disposent aussi d’une caisse de garantie), d’une gestion pour le moins hasardeuse de la part de ses nouveaux actionnaires et de l’obsolescence de ses anciens outils informatiques.
Apparemment, tout ceci semble enfin résolu, que ce soit dans la nouvelle production, toujours axée sur ces Framissima qui redeviennent attractifs et surtout de la formidable offensive menée par ma bonne vieille complice (ben oui, c’est comme ça), Franceline Michon, la Miche, que tous les distributeurs du pays connaissent et apprécient.
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Elle aussi, d’ailleurs, elle mérite un sacré coup de chapeau et sans vouloir jouer les machos, c’est un « sacré mec ». Pourtant, on lui en aura fait avaler des couleuvres…
N’empêche que ça marche. La production semble enfin, après deux ans de tâtonnements, enfin mature, prudente cependant et assez équilibrée.
Bien évidemment, chez Fram on tient plus que jamais à s’attirer les faveurs de cette distribution, aussi fidèle qu’elle peut être volage et méfiante.
Il semble que les preuves d’amour employées par Fram commencent à porter leurs fruits, à l’exception de deux réseaux particulièrement frileux. Si Tourcom reste toujours englué dans ses incohérences commerciales, on peut se demander pourquoi le réseau Leclerc boude encore le voyagiste…
Certes, le monde des affaires est impitoyable, mais avouez qu’un peu de solidarité sans trop de risques, ça ne fait pas de mal… Reste l’épine dans le pied, celle qui fait encore un peu mal : quid de Plein Vent, cette « marque » que, promis-juré chez Fram, « on gardera ».
Peut-être faudrait-il, afin que « la confiance soit totalement réaffirmée » que les choses s’éclaircissent une bonne fois pour toute.
Fin février, parait-il…
N’empêche que ça marche. La production semble enfin, après deux ans de tâtonnements, enfin mature, prudente cependant et assez équilibrée.
Bien évidemment, chez Fram on tient plus que jamais à s’attirer les faveurs de cette distribution, aussi fidèle qu’elle peut être volage et méfiante.
Il semble que les preuves d’amour employées par Fram commencent à porter leurs fruits, à l’exception de deux réseaux particulièrement frileux. Si Tourcom reste toujours englué dans ses incohérences commerciales, on peut se demander pourquoi le réseau Leclerc boude encore le voyagiste…
Certes, le monde des affaires est impitoyable, mais avouez qu’un peu de solidarité sans trop de risques, ça ne fait pas de mal… Reste l’épine dans le pied, celle qui fait encore un peu mal : quid de Plein Vent, cette « marque » que, promis-juré chez Fram, « on gardera ».
Peut-être faudrait-il, afin que « la confiance soit totalement réaffirmée » que les choses s’éclaircissent une bonne fois pour toute.
Fin février, parait-il…