Les patrons de Smartbox avaient pris une super pointure du monde du tourisme, le redresseur de torts et de boites, le chevalier blanc du tourisme.
D'où la judicieuse question posée dans les colonnes d`'un de nos confrères : quel avenir pour Smartbox ? Et, plus généralement, quel avenir pour les concepteurs de Box en général, du moins en ce qui concerne l'industrie touristique ?
Parce que franchement, après un démarrage en fanfare, on peut pas dire que les Box aient connu une grande réussite.
Faut dire que certains se sont engouffrés sur le créneau, sans vraiment trop s'occuper des détails. Au fil du temps, les Rêves en cadeaux, Happy Time et autres box dont je ne me souviens même plus du patronyme tellement ils auront été éphémères, ont mis la clé sous le paillasson.
Sans état d'âme, ni pour leurs clients, ni pour les organismes de garantie… Et encore, quand ils étaient immatriculés.
Pour Smartbox, y'avait rien à craindre. Les actionnaires avaient dans leur manche le remède et l'homme qu'il fallait. Oui, mesdames, messieurs, le miracle de la réussite et de la pérennité de l'entreprise avait été recruté (à quel prix ?) par les patrons de Smartbox.
Ils avaient pris une super pointure du monde du tourisme, le redresseur de torts et de boites, le chevalier blanc du tourisme.
Parce que franchement, après un démarrage en fanfare, on peut pas dire que les Box aient connu une grande réussite.
Faut dire que certains se sont engouffrés sur le créneau, sans vraiment trop s'occuper des détails. Au fil du temps, les Rêves en cadeaux, Happy Time et autres box dont je ne me souviens même plus du patronyme tellement ils auront été éphémères, ont mis la clé sous le paillasson.
Sans état d'âme, ni pour leurs clients, ni pour les organismes de garantie… Et encore, quand ils étaient immatriculés.
Pour Smartbox, y'avait rien à craindre. Les actionnaires avaient dans leur manche le remède et l'homme qu'il fallait. Oui, mesdames, messieurs, le miracle de la réussite et de la pérennité de l'entreprise avait été recruté (à quel prix ?) par les patrons de Smartbox.
Ils avaient pris une super pointure du monde du tourisme, le redresseur de torts et de boites, le chevalier blanc du tourisme.
C'était un bon choix, incontestablement.
Humainement, tout d'abord, puisque le Directeur général choisi pour diriger Smartbox venait d'être remercié de chez Thomas Cook France.
Et, c'est vrai qu'à un certain âge, c'est pas facile de retrouver un boulot.
Comment ? De qui parle-je –t-il ? Pardon, mais de Monsieur Denis Wathier, bien sur. Personnage tellement charismatique que chez Thomas Cook France, on s'en souvient encore.
Mais je digresse. Or donc, le choix, outre celui d'être humain, était judicieux, puisque Smartbox, sentant le vent tourner, avait besoin d'un dirigeant "redresseur de torts" et susceptible de trouver rapidement des économies à réaliser dans la maison.
Là encore, Denis Wathier était l'homme de la situation. En deux coups les gros (ça change de la cuillère à pot !), l'homme au regard d'acier vous vire quelque 90 salariés (sur 400, soit quasi un quart du personnel), ferme des boutiques et lance la Box virtuelle…
Une c... que le plus "débutant" des marketeux n'aurait même pas osé proposer, mais c'est pas grave. Ça occupe, ça fait parler et ça mange pas de pain !
Conclusion : malgré ces initiatives brillantes, Smartbox est toujors en perte de vitesse et les rares acheteurs potentiels ont présenté des offres… juste pour rire !
Et pourtant, la mission de Denis Wathier était claire : rendre l'entreprise "vendable". Ben, je voudrais pas dire, mais pour le moment, c'est loin d'être gagné…
Cependant, rien n'est perdu pour lui : il parait que chez Fram, on cherche encore des "restructurateurs" (ils en sont au second en quelques mois).
Là, je suis sûr que Denis Wathier pourrait rapidement monter en puissance, comme le disait Raymond Domenech, lui aussi un grand professionnel !
Humainement, tout d'abord, puisque le Directeur général choisi pour diriger Smartbox venait d'être remercié de chez Thomas Cook France.
Et, c'est vrai qu'à un certain âge, c'est pas facile de retrouver un boulot.
Comment ? De qui parle-je –t-il ? Pardon, mais de Monsieur Denis Wathier, bien sur. Personnage tellement charismatique que chez Thomas Cook France, on s'en souvient encore.
Mais je digresse. Or donc, le choix, outre celui d'être humain, était judicieux, puisque Smartbox, sentant le vent tourner, avait besoin d'un dirigeant "redresseur de torts" et susceptible de trouver rapidement des économies à réaliser dans la maison.
Là encore, Denis Wathier était l'homme de la situation. En deux coups les gros (ça change de la cuillère à pot !), l'homme au regard d'acier vous vire quelque 90 salariés (sur 400, soit quasi un quart du personnel), ferme des boutiques et lance la Box virtuelle…
Une c... que le plus "débutant" des marketeux n'aurait même pas osé proposer, mais c'est pas grave. Ça occupe, ça fait parler et ça mange pas de pain !
Conclusion : malgré ces initiatives brillantes, Smartbox est toujors en perte de vitesse et les rares acheteurs potentiels ont présenté des offres… juste pour rire !
Et pourtant, la mission de Denis Wathier était claire : rendre l'entreprise "vendable". Ben, je voudrais pas dire, mais pour le moment, c'est loin d'être gagné…
Cependant, rien n'est perdu pour lui : il parait que chez Fram, on cherche encore des "restructurateurs" (ils en sont au second en quelques mois).
Là, je suis sûr que Denis Wathier pourrait rapidement monter en puissance, comme le disait Raymond Domenech, lui aussi un grand professionnel !
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