Pour les réceptifs, les bons et les grands, installés sur le marché français, la réponse est claire: non, on ne prend pas (ou si peu) de parts de marché aux TO - DR
Réceptifs, distributeurs, producteurs... les ingrédients de la salade étaient bien calmes, pour ne pas dire sereins, lors du débat organisé à l'occasion de Top Résa hier.
Faut dire que le sujet n'était pas franchement le perdreau de l'année, mais bon...
La question étant formulée, comme d'habitude : est-ce que les agents de voyages qui passent directement par des réceptifs font du tort aux producteurs ?
Faut dire que, depuis quelques années, cette manière de procéder est plutôt tendance…
Et que, finalement, distributeurs, réceptifs et TO semblent quasi d'accord.
Pour les réceptifs, les bons et les grands, installés sur le marché français, la réponse est claire: non, on ne prend pas (ou si peu) de parts de marché aux TO.
Bon, nuance quand même Claudia Terrade, de Qimbaya, on supprime un peu les intermédiaires, mais c'est l'époque qui veut ça.
Faut dire que le sujet n'était pas franchement le perdreau de l'année, mais bon...
La question étant formulée, comme d'habitude : est-ce que les agents de voyages qui passent directement par des réceptifs font du tort aux producteurs ?
Faut dire que, depuis quelques années, cette manière de procéder est plutôt tendance…
Et que, finalement, distributeurs, réceptifs et TO semblent quasi d'accord.
Pour les réceptifs, les bons et les grands, installés sur le marché français, la réponse est claire: non, on ne prend pas (ou si peu) de parts de marché aux TO.
Bon, nuance quand même Claudia Terrade, de Qimbaya, on supprime un peu les intermédiaires, mais c'est l'époque qui veut ça.
D'autant que l'on ne peut pas apprendre à une agence de voyages à construire un produit…
Intéressant d'ailleurs la réponse apportée par Guillaume Linton, d'Asia. En clair, c'est un "on s'en fout"!
C'est vrai, les outils ont changé, notamment avec ces plateformes de réceptifs, où, en théorie, chaque agence abonnée peut aller faire son marché…
J'aime bien d'ailleurs, la suite: le vrai sujet, explique-t-il, c'est de savoir faire son métier et, là je rejoins Asia, les agences devront choisir : soit distribuer, soit construire !
Une manière délicate de rappeler que les TO en ont peut-être un peu marre de fournier des services à ceux qui, finalement, après avoir repéré les bonnes astuces d'un produit TO, tentent de le remodeler à leur sauce…
Ne serait-ce pas sous-jacer (ben oui, j'aime les inventions verbales) que les TO finiront, un jour ou l'autre, par se constituer une bande de distributeurs fidèles, rémunérés et servis au mieux, tandis que les autres seront zappés ?
Un peu d'ailleurs ce qu'avait annoncé le Président de TUI France lors d'un congrès mémorable à Rome, si je me souviens bien. Depuis, on a vu…
Mais ce qui n'était pas valable hier peut le redevenir demain.
Et puis, n'oublions pas qu'un réceptif sur le court ou moyen-courrier, traité par une agence en direct, c'est relativement facile.
Allez construire un produit "sur mesure" pour un client qui veut partir vers une destination lointaine, en Asie par exemple ou en Amérique du Sud ? Faut quand même être mariole, non ?
Bien évidemment, je ne terminerai pas cet édito, sans citer Adriana Minchella, laquelle, décidemment, après son coup de gueule de la semaine dernière, poursuit aussi une politique de diplomatie, car, rappelle-t-elle, tous les métiers sont liés… à condition de bien les accomplir !
Harmonie, dit-elle. Il faut travailler en harmonie.
Y'a plus qu'à !
Intéressant d'ailleurs la réponse apportée par Guillaume Linton, d'Asia. En clair, c'est un "on s'en fout"!
C'est vrai, les outils ont changé, notamment avec ces plateformes de réceptifs, où, en théorie, chaque agence abonnée peut aller faire son marché…
J'aime bien d'ailleurs, la suite: le vrai sujet, explique-t-il, c'est de savoir faire son métier et, là je rejoins Asia, les agences devront choisir : soit distribuer, soit construire !
Une manière délicate de rappeler que les TO en ont peut-être un peu marre de fournier des services à ceux qui, finalement, après avoir repéré les bonnes astuces d'un produit TO, tentent de le remodeler à leur sauce…
Ne serait-ce pas sous-jacer (ben oui, j'aime les inventions verbales) que les TO finiront, un jour ou l'autre, par se constituer une bande de distributeurs fidèles, rémunérés et servis au mieux, tandis que les autres seront zappés ?
Un peu d'ailleurs ce qu'avait annoncé le Président de TUI France lors d'un congrès mémorable à Rome, si je me souviens bien. Depuis, on a vu…
Mais ce qui n'était pas valable hier peut le redevenir demain.
Et puis, n'oublions pas qu'un réceptif sur le court ou moyen-courrier, traité par une agence en direct, c'est relativement facile.
Allez construire un produit "sur mesure" pour un client qui veut partir vers une destination lointaine, en Asie par exemple ou en Amérique du Sud ? Faut quand même être mariole, non ?
Bien évidemment, je ne terminerai pas cet édito, sans citer Adriana Minchella, laquelle, décidemment, après son coup de gueule de la semaine dernière, poursuit aussi une politique de diplomatie, car, rappelle-t-elle, tous les métiers sont liés… à condition de bien les accomplir !
Harmonie, dit-elle. Il faut travailler en harmonie.
Y'a plus qu'à !
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