Je vous le dis tout net : comparées aux élections dans les réseaux, les consultations électorales en Corse ne sont que balivernes et billevesées.
Sans offense pour mes copains corses, hein, pas de blagues...
Après la Tourcomie et l'élection triomphale de son président à vie, c'est au tour de la Sélectourie de se préparer à voter.
Voter étant d'ailleurs un bien grand mot, le taux d'abstention frisant carrément l'indécence.
Dommage pour la démocratie, mais c'est ainsi…
Néanmoins, rien ne semble tout à fait gagné pour la majorité actuelle.
On sentirait même quelques légères inquiétudes et tous les procédés sont bons pour tenter de conserver cette présidence acquise de main de maitre l'année dernière.
A tel point que, dans un courrier adressé à ses adhérents, la liste "Selectour Afat 2020" s'est fendue d'un tract qui pourrait porter à confusion auprès des électeurs.
Sous le titre "une gouvernance apaisée", on vous fournit une liste de candidats et de membres déjà élus. Sans, bien entendu, mentionner la liste complète des candidats… Pas forcément "fair play".
Ainsi, les noms de Franck Vernin, Caroline Bouillot, Carole Cresson-Giraud sont largement "oubliés". Normal, ils ne figurent pas dans la liste majoritaire. De même d'ailleurs que Laure Tré-Hardy qui, pourtant, dans d'autres temps, avait montré une certaine fidélité…
Elle n'en avait pour autant pas été récompensée. Sans doute avait-elle oubliée ce vieil adage qui veut que "l'on soit toujours trahi par les siens" !
C'est pas glop, tout ça et pourrait prêter à confusion auprès d'électeurs parfois peu au fait des grands courants politique de cette remarquable institution !
En même temps, si les quatre noms, pas cités dans l'envoi électoral, remportaient les suffrages, ça pourrait fort bien changer la donne… Et, éventuellement, conduire à une nouvelle majorité et une autre présidence !
Sans offense pour mes copains corses, hein, pas de blagues...
Après la Tourcomie et l'élection triomphale de son président à vie, c'est au tour de la Sélectourie de se préparer à voter.
Voter étant d'ailleurs un bien grand mot, le taux d'abstention frisant carrément l'indécence.
Dommage pour la démocratie, mais c'est ainsi…
Néanmoins, rien ne semble tout à fait gagné pour la majorité actuelle.
On sentirait même quelques légères inquiétudes et tous les procédés sont bons pour tenter de conserver cette présidence acquise de main de maitre l'année dernière.
A tel point que, dans un courrier adressé à ses adhérents, la liste "Selectour Afat 2020" s'est fendue d'un tract qui pourrait porter à confusion auprès des électeurs.
Sous le titre "une gouvernance apaisée", on vous fournit une liste de candidats et de membres déjà élus. Sans, bien entendu, mentionner la liste complète des candidats… Pas forcément "fair play".
Ainsi, les noms de Franck Vernin, Caroline Bouillot, Carole Cresson-Giraud sont largement "oubliés". Normal, ils ne figurent pas dans la liste majoritaire. De même d'ailleurs que Laure Tré-Hardy qui, pourtant, dans d'autres temps, avait montré une certaine fidélité…
Elle n'en avait pour autant pas été récompensée. Sans doute avait-elle oubliée ce vieil adage qui veut que "l'on soit toujours trahi par les siens" !
C'est pas glop, tout ça et pourrait prêter à confusion auprès d'électeurs parfois peu au fait des grands courants politique de cette remarquable institution !
En même temps, si les quatre noms, pas cités dans l'envoi électoral, remportaient les suffrages, ça pourrait fort bien changer la donne… Et, éventuellement, conduire à une nouvelle majorité et une autre présidence !
D'ailleurs, rien n'est tout à fait clair dans cette élection.
Tiens, un exemple bête et le "recours" lancé par Couturier, lequel dans une missive recommandée aux administrateurs, signale qu'un candidat figurant sur la liste "majorité", (Patrick Escolano pour le citer), n'aurait pas de légitimité statutaire pour se présenter aux suffrages.
Ce dernier, que j'ai contacté tout en soulignant que la candidature d'Escolano "est un point qui pourrait porter préjudice" à la bonne tenue des élections*, s'est montré "offusqué" que sa lettre ait pu être révélée et portée à ma connaissance par un administrateur.
Je vous rassure, cher Couturier, ils n'ont pas parlé. Du moins, pas à moi.
En tout cas, rien n'est encore tout à fait gagné du côté de la majorité, qui, pourtant, dresse un bilan largement "positif" de son administration : damned, 77% de super-commissions reversées aux adhérents, des économies "drastiques", des outils nouveaux et "performants".
Certes. Mais pourquoi "seulement" 77% de reversements des super'coms? D'accord, en Tourcomie, on ne connait pas le pourcentage de reversement… Mais, je connais certains réseaux qui reversent jusqu'à 97% des commissions !
Des outils "performants ? Certes, mais beaucoup sont payants, n'est-il pas ?
Tiens, j'oubliais aussi la chasse aux "pouvoirs". Je connais un sympathique administrateur, membre de la majorité, qui, juché sur son fougueux destrier motorisé, parcours les agences de la capitale à la recherche de ces fameux "pouvoirs", toujours signés "en blanc", histoire, telle la Corse, de remplir un peu plus les urnes.
Vrai. Nous l'avons suivi dans son périple. Amusant !
Mais un peu dommage pour la démocratie. Faut dire que les intérêts sont importants !
Tiens, un exemple bête et le "recours" lancé par Couturier, lequel dans une missive recommandée aux administrateurs, signale qu'un candidat figurant sur la liste "majorité", (Patrick Escolano pour le citer), n'aurait pas de légitimité statutaire pour se présenter aux suffrages.
Ce dernier, que j'ai contacté tout en soulignant que la candidature d'Escolano "est un point qui pourrait porter préjudice" à la bonne tenue des élections*, s'est montré "offusqué" que sa lettre ait pu être révélée et portée à ma connaissance par un administrateur.
Je vous rassure, cher Couturier, ils n'ont pas parlé. Du moins, pas à moi.
En tout cas, rien n'est encore tout à fait gagné du côté de la majorité, qui, pourtant, dresse un bilan largement "positif" de son administration : damned, 77% de super-commissions reversées aux adhérents, des économies "drastiques", des outils nouveaux et "performants".
Certes. Mais pourquoi "seulement" 77% de reversements des super'coms? D'accord, en Tourcomie, on ne connait pas le pourcentage de reversement… Mais, je connais certains réseaux qui reversent jusqu'à 97% des commissions !
Des outils "performants ? Certes, mais beaucoup sont payants, n'est-il pas ?
Tiens, j'oubliais aussi la chasse aux "pouvoirs". Je connais un sympathique administrateur, membre de la majorité, qui, juché sur son fougueux destrier motorisé, parcours les agences de la capitale à la recherche de ces fameux "pouvoirs", toujours signés "en blanc", histoire, telle la Corse, de remplir un peu plus les urnes.
Vrai. Nous l'avons suivi dans son périple. Amusant !
Mais un peu dommage pour la démocratie. Faut dire que les intérêts sont importants !
Autres articles
-
La Case de l'Oncle Dom : Votez oui, votez non… mais votez !
-
La case de l'Oncle Dom : Cediv... tous ensemble, tous ensemble, ouais !
-
La Case de l'Oncle Dom : on peut pas tondre un œuf…sauf en Sélectourie ?
-
La Case de l'Oncle Dom : revue de détails sur les futures AG des réseaux !
-
La Case de l'Oncle Dom : que les gros salaires lèvent le doigt en TourComie !