Le dommage de cette affaire réside dans le fait que certains investisseurs potentiels se soient subitement irrités (pour ne pas dire pire) des propos tenus récemment par Thierry Miremont... En a-t-il trop fait ? fotolia
En moins d'une semaine, j'aurais tout entendu… ou pas.
Du côté de TUI France, silence toujours assourdissant, mais il est vrai que parfois, il vaut mieux se retirer sur la pointe des pieds…
J'ai entendu aussi Thomas Cook France… Son Président actuel, Michel Resseguier, la star auprès des actionnaires grands bretons qui se demandent encore comment il peut régir cette satanée population gauloise, suit la voie qu'il a tracée, sans états d'âme.
L'un comme l'autre, après des années d'errance, ont le même objectif : retrouver la rentabilité pour leur société sur un marché du tourisme dont les règles (et les habitudes !) sont en pleine mutation.
L'un comme l'autre, grands groupes européens, se réveillent doucement. On ne peut qu'en vouloir à leurs actionnaires respectifs.
A grands coups de tambours et de trompettes, ils sont arrivés sur le marché français, auréolés de couronnes de dollars, clamant haut et fort que l'on "allait voir ce que l'on allait voir".
On a vu... L'un comme l'autre ont promu et délégué deux incompétents notoires… qui ont duré un peu plus longtemps que la rose à éclore le matin sous la rosée (interprétation très libre).
Suffisamment cependant pour accomplir un gâchis considérable et engloutir quelques millions (dollars, livres sterlinges, euros…).
Quant à Fram, le troisième larron, auréolé lui de sa vieille histoire et de sa nouvelle entrée dans le club des handicapés, il commence à réagir. Et comme ses confrères (sœurs), selon les vieilles recettes de Madame Tartine.
Du côté de TUI France, silence toujours assourdissant, mais il est vrai que parfois, il vaut mieux se retirer sur la pointe des pieds…
J'ai entendu aussi Thomas Cook France… Son Président actuel, Michel Resseguier, la star auprès des actionnaires grands bretons qui se demandent encore comment il peut régir cette satanée population gauloise, suit la voie qu'il a tracée, sans états d'âme.
L'un comme l'autre, après des années d'errance, ont le même objectif : retrouver la rentabilité pour leur société sur un marché du tourisme dont les règles (et les habitudes !) sont en pleine mutation.
L'un comme l'autre, grands groupes européens, se réveillent doucement. On ne peut qu'en vouloir à leurs actionnaires respectifs.
A grands coups de tambours et de trompettes, ils sont arrivés sur le marché français, auréolés de couronnes de dollars, clamant haut et fort que l'on "allait voir ce que l'on allait voir".
On a vu... L'un comme l'autre ont promu et délégué deux incompétents notoires… qui ont duré un peu plus longtemps que la rose à éclore le matin sous la rosée (interprétation très libre).
Suffisamment cependant pour accomplir un gâchis considérable et engloutir quelques millions (dollars, livres sterlinges, euros…).
Quant à Fram, le troisième larron, auréolé lui de sa vieille histoire et de sa nouvelle entrée dans le club des handicapés, il commence à réagir. Et comme ses confrères (sœurs), selon les vieilles recettes de Madame Tartine.
Pas franchement de grande surprise dans le plan de développement de Fram.
Et, pour le moins, la franchise de dévoiler un plan de reconstruction qui est loin d'être novateur, mais qui a le mérite d'être clair.
En tout cas, suffisamment optimiste pour rassurer… ou inquiéter qui de droit !
Pour être clair, des annonces qui sont loin de rassurer les éventuels investisseurs, et encore moins les distributeurs "dont on ne peut pas se passer" !
Sans oublier les déclarations pour le moins maladroites, style "si Fram tombe, c'est toute la profession qui tombe" !
Halte là, l'ami. L'APST saute, c'est clair… et encore. Normalement, si les contre-garanties ont été levées, y'a pas de raisons… Mais c'est un autre débat !
Même le Président du Seto, que j'ai rencontré tient à modérer les propos tenus par le patron nouveau (tout neuf) de Fram.
Ce qui, après tout, parait plutôt rationnel. Ou alors, dans ce cas-là, tous les tour-opérateurs n'ont plus qu'à se préparer à aller pointer au chomdu !
Et, pour le moins, la franchise de dévoiler un plan de reconstruction qui est loin d'être novateur, mais qui a le mérite d'être clair.
En tout cas, suffisamment optimiste pour rassurer… ou inquiéter qui de droit !
Pour être clair, des annonces qui sont loin de rassurer les éventuels investisseurs, et encore moins les distributeurs "dont on ne peut pas se passer" !
Sans oublier les déclarations pour le moins maladroites, style "si Fram tombe, c'est toute la profession qui tombe" !
Halte là, l'ami. L'APST saute, c'est clair… et encore. Normalement, si les contre-garanties ont été levées, y'a pas de raisons… Mais c'est un autre débat !
Même le Président du Seto, que j'ai rencontré tient à modérer les propos tenus par le patron nouveau (tout neuf) de Fram.
Ce qui, après tout, parait plutôt rationnel. Ou alors, dans ce cas-là, tous les tour-opérateurs n'ont plus qu'à se préparer à aller pointer au chomdu !
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Le dommage de cette affaire réside dans le fait que certains investisseurs potentiels se soient subitement irrités (pour ne pas dire pire) des propos tenus récemment par Thierry Miremont.
En revanche, j'en connais certains qui se tiennent prêts à assurer la "relève".
J'en connais même qui disent "si Fram tombe, moi j'ai un plan". Normal. La nature a horreur du vide, et même si la nature n'existait pas, le vide serait vite comblé quand même ! A moindre coût aussi…
Et plus le temps passe, plus le coût diminue. En même temps, y'a pas de secret : le plus puissant finira par bouffer le plus faible.
Sauf que, deux faibles pas encore rétablis dans leur puissance sont prêts à se déchirer pour bouffer le moribond.
Une seule chose est claire : il va forcément y avoir des dégâts !
En revanche, j'en connais certains qui se tiennent prêts à assurer la "relève".
J'en connais même qui disent "si Fram tombe, moi j'ai un plan". Normal. La nature a horreur du vide, et même si la nature n'existait pas, le vide serait vite comblé quand même ! A moindre coût aussi…
Et plus le temps passe, plus le coût diminue. En même temps, y'a pas de secret : le plus puissant finira par bouffer le plus faible.
Sauf que, deux faibles pas encore rétablis dans leur puissance sont prêts à se déchirer pour bouffer le moribond.
Une seule chose est claire : il va forcément y avoir des dégâts !