Les opérateurs de la montagne craignent une année blanche - DR : Depositphotos.com
Dans un communiqué commun les Domaines Skiables de France (DSF), l'Ecole du Ski Français (ESF), France Montagne et l'Association nationale des Maires de Stations de Montagne (ANMSM) constitués en Conseil de Défense de la Montagne demandent au gouvernement de retirer le décret qui lui interdit d’ouvrir ses remontées mécaniques.
"Lors de la décision de report de l’ouverture pour les vacances de Noël pour limiter la circulation du virus pour les fêtes de fin d’année, le Premier ministre a pris des engagements pour une ouverture au 7 janvier, sauf évolution importante de la situation sanitaire." rappelle ces acteurs.
"Alors que l’évolution de l’épidémie est stable, avec des chiffres décroissants en région Auvergne Rhône-Alpes, et que les vaccins commencent à arriver, la montagne française attend aujourd’hui le retrait du décret".
"Lors de la décision de report de l’ouverture pour les vacances de Noël pour limiter la circulation du virus pour les fêtes de fin d’année, le Premier ministre a pris des engagements pour une ouverture au 7 janvier, sauf évolution importante de la situation sanitaire." rappelle ces acteurs.
"Alors que l’évolution de l’épidémie est stable, avec des chiffres décroissants en région Auvergne Rhône-Alpes, et que les vaccins commencent à arriver, la montagne française attend aujourd’hui le retrait du décret".
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Ce que craignent les opérateurs c'est une année blanche. Ils souhaitent que les clients puissent s’organiser et réserver leur séjour de février.
"Le tourisme hivernal représente 120 000 emplois directs et 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Sans ouverture, ce ne sont pas que les entreprises et salariés qui en subiront les conséquences, mais également toute la vie et les habitants de nos territoires de montagne" poursuit le communiqué.
"Le tourisme hivernal représente 120 000 emplois directs et 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Sans ouverture, ce ne sont pas que les entreprises et salariés qui en subiront les conséquences, mais également toute la vie et les habitants de nos territoires de montagne" poursuit le communiqué.