Sur le New York Mercantile Exchange, le baril pour livraison en avril a gagné 70 cents à 54,59 dollars, sa clôture la plus élevée depuis le 26 octobre dernier. Il avait atteint le prix de 55,15 dollars vers la fin de la séance. Le record historique de 55,67 dollars avait été inscrit le 25 octobre en séance.
Phil Flynn, courtier chez Alaron Trading, a attribué les gains du marché à de récentes déclarations saoudiennes selon lesquelles l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) estime qu'il n'y a pas de pénurie, suggérant ainsi implicitement un maintien de la production lors de sa réunion du 16 mars à Ispahan (Iran).
Celui-ci a également estimé que la faiblesse du dollar "donne à l'Opep l'excuse dont elle a besoin pour ne pas augmenter la production. Ils peuvent blâmer la hausse des prix sur le dollar et pas sur une insuffisance de la production", a expliqué le courtier.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Phil Flynn, courtier chez Alaron Trading, a attribué les gains du marché à de récentes déclarations saoudiennes selon lesquelles l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) estime qu'il n'y a pas de pénurie, suggérant ainsi implicitement un maintien de la production lors de sa réunion du 16 mars à Ispahan (Iran).
Celui-ci a également estimé que la faiblesse du dollar "donne à l'Opep l'excuse dont elle a besoin pour ne pas augmenter la production. Ils peuvent blâmer la hausse des prix sur le dollar et pas sur une insuffisance de la production", a expliqué le courtier.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com