Bruno Le Maire : "plus les mesures sanitaires dures et plus elles sont difficiles à supporter pour les entrepreneurs, les artisans, les commerçants. Nous avons une conscience aiguë de la lassitude, de la colère de la part de ces professions. .
Nous voulons donner de la visibilité sur notre soutien économique. Le pilier de ce soutien économique restera le fonds de solidarité, un nouveau formulaire pour les aides de décembre sera disponible demain vendredi 15 janvier pour toucher les aides au début de la semaine prochaine.
Nous introduirons 3 changements majeurs sur ce fonds de solidarité, pour la vente à emporter et les ventes à domicile qu'e le chiffre d'affaires ne sera pas déduit à partir de décembre de l'année dernière et la règle pour les mois à venir, donc ce qui sera touché par les restaurateurs ce sera pour eux.
Tous ceux qui sont en première ligne, mais qui ne sont pas fermés ont le droit à une aide plafonnée à 10 000 euros, ce n'est pas suffisant. Dès lors en cas de perte de 70% de chiffre d'affaires, l'aide sera indexé à 20% du chiffre d'affaires pour un montant maximal de 200 000 euros. Il n'y aura pas de limite de nombre de salariés.
Le 3 e changement reste les coûts fixes, pour beaucoup d'entrepreneurs le poids est absolument insupportable dans cette période, cela concerne les chaines d'hôtels ou les restaurateurs, aux salles de sport, nous prendrons donc en charge les coûts fixes de tous ces secteurs dès lors qu'elles réalisent un chiffre d'affaires d'un million par mois.
Cette aide s'ajoutera à celui du fonds de solidarité, en étant plafonnée dans un premier temps à 3 millions d'euros, selon les travaux réalisés avec la Commission européenne. C'est un point de départ, nous allons négocier avec la Commission européenne, pour relever ce plafond."
Nous voulons donner de la visibilité sur notre soutien économique. Le pilier de ce soutien économique restera le fonds de solidarité, un nouveau formulaire pour les aides de décembre sera disponible demain vendredi 15 janvier pour toucher les aides au début de la semaine prochaine.
Nous introduirons 3 changements majeurs sur ce fonds de solidarité, pour la vente à emporter et les ventes à domicile qu'e le chiffre d'affaires ne sera pas déduit à partir de décembre de l'année dernière et la règle pour les mois à venir, donc ce qui sera touché par les restaurateurs ce sera pour eux.
Tous ceux qui sont en première ligne, mais qui ne sont pas fermés ont le droit à une aide plafonnée à 10 000 euros, ce n'est pas suffisant. Dès lors en cas de perte de 70% de chiffre d'affaires, l'aide sera indexé à 20% du chiffre d'affaires pour un montant maximal de 200 000 euros. Il n'y aura pas de limite de nombre de salariés.
Le 3 e changement reste les coûts fixes, pour beaucoup d'entrepreneurs le poids est absolument insupportable dans cette période, cela concerne les chaines d'hôtels ou les restaurateurs, aux salles de sport, nous prendrons donc en charge les coûts fixes de tous ces secteurs dès lors qu'elles réalisent un chiffre d'affaires d'un million par mois.
Cette aide s'ajoutera à celui du fonds de solidarité, en étant plafonnée dans un premier temps à 3 millions d'euros, selon les travaux réalisés avec la Commission européenne. C'est un point de départ, nous allons négocier avec la Commission européenne, pour relever ce plafond."
"Nous allons permettre à toutes les entreprises qui le souhaitent de différer d'une année supplémentaire le remboursement du PGE"
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Bruno Le Maire souhaite mieux encadrer les influenceurs
Ce plafond d'un million de revenu par mois, pourrait être revu prochainement et baissé.
"Les PGE, certains voient approcher avec beaucoup d'inquiétude la 1er échéance de remboursement. Nous allons permettre à toutes les entreprises qui le souhaitent de différer d'une année supplémentaire le remboursement du PGE.
Ce différé de remboursement est de droit pour toutes les entreprises pour tous les secteurs et qu'importe la taille de celles-ci. J'invite toutes les entreprises à se rapprocher de leurs banques pour convenir des modalités d'amortissement en prenant en compte ce nouveau délai.
Pour les autres prêts contractés, à ma demande les banques se sont engagées à examiner favorablement à toutes demandes moratoires, de reports d'échéances pour les entreprises les plus touchées par la crise, sur une base personnalisée.
Nous maintiendrons en janvier les exonérations de cotisations sociales et les aides mises en place en décembre. Avec pour objectif : 0 charge sociale pour les entreprises fermées ou lourdement pénalisés dans les secteurs liés à l'hôtellerie, le café, la restauration, la culture, le sport ou l'événementiel.
De plus, il sera possible pour les hôteliers et restauratuers, les résidences de tourisme, les remontées mécaniques de différer l'amortissement comptable des biens sous utilisés en 2020, afin de soulager les comptes des entreprises."
Le coût est estimé à 4 milliards d'euros par mois.
"Les PGE, certains voient approcher avec beaucoup d'inquiétude la 1er échéance de remboursement. Nous allons permettre à toutes les entreprises qui le souhaitent de différer d'une année supplémentaire le remboursement du PGE.
Ce différé de remboursement est de droit pour toutes les entreprises pour tous les secteurs et qu'importe la taille de celles-ci. J'invite toutes les entreprises à se rapprocher de leurs banques pour convenir des modalités d'amortissement en prenant en compte ce nouveau délai.
Pour les autres prêts contractés, à ma demande les banques se sont engagées à examiner favorablement à toutes demandes moratoires, de reports d'échéances pour les entreprises les plus touchées par la crise, sur une base personnalisée.
Nous maintiendrons en janvier les exonérations de cotisations sociales et les aides mises en place en décembre. Avec pour objectif : 0 charge sociale pour les entreprises fermées ou lourdement pénalisés dans les secteurs liés à l'hôtellerie, le café, la restauration, la culture, le sport ou l'événementiel.
De plus, il sera possible pour les hôteliers et restauratuers, les résidences de tourisme, les remontées mécaniques de différer l'amortissement comptable des biens sous utilisés en 2020, afin de soulager les comptes des entreprises."
Le coût est estimé à 4 milliards d'euros par mois.