Jean-Pierre Mas président des Entreprises du Voyages était sur le pont ce week-end, après la libération des otages au Bénin.
Radio, télé... il a martelé que les professionnels du tourisme n'envoient pas de voyageurs dans les zones "rouge" (formellement déconseillées) et "orange" (déconseillées sauf raison impérative) du Quai d'Orsay.
Le syndicat communique ce matin plus largement. Il précise : "Les professionnels du voyage se réfèrent au site du Ministère des Affaires étrangères pour organiser et adapter leurs programmes de voyages. Ils sont tenus, de par la loi, à une obligation d’information et à un niveau de responsabilité très élevé (« de plein droit ») en cas de dommage subi au cours du voyage."
Radio, télé... il a martelé que les professionnels du tourisme n'envoient pas de voyageurs dans les zones "rouge" (formellement déconseillées) et "orange" (déconseillées sauf raison impérative) du Quai d'Orsay.
Le syndicat communique ce matin plus largement. Il précise : "Les professionnels du voyage se réfèrent au site du Ministère des Affaires étrangères pour organiser et adapter leurs programmes de voyages. Ils sont tenus, de par la loi, à une obligation d’information et à un niveau de responsabilité très élevé (« de plein droit ») en cas de dommage subi au cours du voyage."
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Les Entreprises du Voyage invitent également les voyageurs à prendre conseil auprès d’un professionnel « immatriculé » et à ne pas se satisfaire des avis et recommandations de plateformes type « Trip Advisor » dont la responsabilité n’est pas engagée pour les voyages qu’elles promeuvent.
Enfin le syndicat est défavorable à une large extension des zones « rouges et oranges », déconseillées « formellement » ou « sauf raison impérative ».
"Cette extension, qui relève de la sur-réaction à la suite d’un événement dramatique, ferait perdre leur pertinence aux mises en garde du Ministère des Affaires Etrangères et les décrédibiliserait." indique le communiqué.
Enfin le syndicat est défavorable à une large extension des zones « rouges et oranges », déconseillées « formellement » ou « sauf raison impérative ».
"Cette extension, qui relève de la sur-réaction à la suite d’un événement dramatique, ferait perdre leur pertinence aux mises en garde du Ministère des Affaires Etrangères et les décrédibiliserait." indique le communiqué.