Un cadre luxueux certes à l’image d’un secteur des Résidences de Tourisme en quête d’une image de qualité voire haut de gamme.
Stéphane Botz, Directeur Pôle Tourisme Hôtellerie Loisirs de KPMG a publié une étude qui illustre la forte croissance de l’offre en résidence.
Sur la période 2005-2010, l’offre en résidence de tourisme a augmenté de 147 % en zone urbaine (de 16.000 à 38.000 logements).
On observe parallèlement une concentration des enseignes sur le marché et une offre qui monte en gamme.
Elle s’adresse de plus en en plus par leur équipement à l’accueil d’une clientèle d’hommes d’affaires en déplacement en zone urbaine à forte attractivité économique même si la clientèle loisirs et familiale n’est pas exclue.
Stéphane Botz, Directeur Pôle Tourisme Hôtellerie Loisirs de KPMG a publié une étude qui illustre la forte croissance de l’offre en résidence.
Sur la période 2005-2010, l’offre en résidence de tourisme a augmenté de 147 % en zone urbaine (de 16.000 à 38.000 logements).
On observe parallèlement une concentration des enseignes sur le marché et une offre qui monte en gamme.
Elle s’adresse de plus en en plus par leur équipement à l’accueil d’une clientèle d’hommes d’affaires en déplacement en zone urbaine à forte attractivité économique même si la clientèle loisirs et familiale n’est pas exclue.
Taux d'occupation : 72 % en moyenne en zone urbaine
Autre indicateur soulignant la demande pour ce type d’hébergement malgré la forte augmentation de l’offre en résidence leur taux d’occupation reste constant.
Il atteint même 72 % en moyenne en zone urbaine soit nettement plus qu’en hôtellerie. Et la durée du séjour (5 nuitées en général) est supérieure à l’hôtellerie (1 à 2 nuitées en moyenne).
La concurrence qui pouvait exister il y a quelques années entre l’hôtellerie traditionnelle et les résidences de tourisme, s’estompe. Dans certaines villes comme Cannes par exemple, les résidences de tourisme et les hôtels font causes communes.
C’est même un élément d’attractivité qui a permis, selon Michel Chevillon, le président du syndicat des hôteliers de Cannes, d’accueillir dans de bonnes conditions le G20. Dans certaines villes où l’offre a été artificiellement gonflée ces dernières mettent en place des schémas d’hébergement pour éviter les investissements excessifs.
Il atteint même 72 % en moyenne en zone urbaine soit nettement plus qu’en hôtellerie. Et la durée du séjour (5 nuitées en général) est supérieure à l’hôtellerie (1 à 2 nuitées en moyenne).
La concurrence qui pouvait exister il y a quelques années entre l’hôtellerie traditionnelle et les résidences de tourisme, s’estompe. Dans certaines villes comme Cannes par exemple, les résidences de tourisme et les hôtels font causes communes.
C’est même un élément d’attractivité qui a permis, selon Michel Chevillon, le président du syndicat des hôteliers de Cannes, d’accueillir dans de bonnes conditions le G20. Dans certaines villes où l’offre a été artificiellement gonflée ces dernières mettent en place des schémas d’hébergement pour éviter les investissements excessifs.