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Fermeture de la Tour Eiffel pour cause de grève anti-CPE, défilés en plein cœur de Paris... la mobilisation pourrait-elle handicaper le secteur touristique.
L'accès au Mont Saint-Michel, site touristique de province le plus visité de France avec plus de trois millions de visiteurs par an, a également été bloqué mardi par quelques centaines de manifestants.
Interrogé par l'agence de presse Reuters, Léon Bertrand, ministre délégué au tourisme : "Il n'y a pas eu à ce jour d'impact constaté dans les réservations mais"', a-t-il expliqué "si les événements devaient se poursuivre, on aurait certainement, comme pour les banlieues (en novembre dernier), des effets négatifs".
De son côté, l'administration américaine a conseillé dans un communiqué publié lundi dernier, à ses ressortissants la plus grande prudence dans les grandes villes françaises : "Des manifestations se sont récemment produites dans des zones fréquentées par les touristes. [...] Certaines manifestations peuvent être annoncées à l'avance, d'autres être spontanées."
A Londres même précaution
Le département d'Etat américain recommande "d'éviter les zones où les foules doivent se rassembler." A Londres même précaution, le Foreign Office conseille également à ses ressortissants d'éviter les lieux des manifestations.
Déjà, lors des émeutes qui avaient eu lieu dans les banlieues, le gouvernement américain avait émis un avis similaire. A noter également que TUI, numéro un du tourisme en Europe qui a présenté ses résultats la semaine dernière, expliquait en partie le ralentissement enregistré sur le marché français, par les violences de cet automne.
L'accès au Mont Saint-Michel, site touristique de province le plus visité de France avec plus de trois millions de visiteurs par an, a également été bloqué mardi par quelques centaines de manifestants.
Interrogé par l'agence de presse Reuters, Léon Bertrand, ministre délégué au tourisme : "Il n'y a pas eu à ce jour d'impact constaté dans les réservations mais"', a-t-il expliqué "si les événements devaient se poursuivre, on aurait certainement, comme pour les banlieues (en novembre dernier), des effets négatifs".
De son côté, l'administration américaine a conseillé dans un communiqué publié lundi dernier, à ses ressortissants la plus grande prudence dans les grandes villes françaises : "Des manifestations se sont récemment produites dans des zones fréquentées par les touristes. [...] Certaines manifestations peuvent être annoncées à l'avance, d'autres être spontanées."
A Londres même précaution
Le département d'Etat américain recommande "d'éviter les zones où les foules doivent se rassembler." A Londres même précaution, le Foreign Office conseille également à ses ressortissants d'éviter les lieux des manifestations.
Déjà, lors des émeutes qui avaient eu lieu dans les banlieues, le gouvernement américain avait émis un avis similaire. A noter également que TUI, numéro un du tourisme en Europe qui a présenté ses résultats la semaine dernière, expliquait en partie le ralentissement enregistré sur le marché français, par les violences de cet automne.