National Tours a organisé sa convention du 13 au 16 octobre 2011, en partenariat avec l'office de tourisme de Dublin. Elle a réuni 80 participants - Photo DR
Ce n'est pas l'euphorie, mais Thierry Houalard, président de National Tours est tout de même satisfait des résultats 2011.
Entre le 1er octobre 2010 et le 30 septembre 2011, le chiffre d'affaires de la partie tour operating progresse de 8%, alors que le nombre de passagers affiche une hausse de 2%.
Un résultat obtenu alors que le printemps arabe et la crise économique sont venus jouer les troubles fêtes dans les carnets de commandes des voyagistes.
"La Tunisie, le Maroc, l'Egypte sont des destinations importantes pour National Tours. Elles ont représenté en 2010 respectivement 4000, 3000 et 1500 clients".
Pour compenser le manque à gagner, le TO a pu compter sur les destinations méditerranéennes : Italie, Sicile, Espagne et ses îles, Grèce et Crète ; mais également sur les destinations longs-courriers.
"Le repositionnement engagé porte ses fruits. Nous enregistrons une progression de 25% du chiffre d'affaires long courrier et de 13 % en nombre de voyageurs. Nous sommes en ligne avec nos objectifs" précise Thierry Houalard. Asie, Mexique, Pérou, Bolivie et USA ont ainsi tiré vers le haut le panier moyen.
"Notre savoir faire sur les circuits accompagnés avec une clientèle de proximité séduit les voyageurs de 50 à 75 ans moins touchés par la conjoncture économique défavorable," souligne le président de National Tours.
Entre le 1er octobre 2010 et le 30 septembre 2011, le chiffre d'affaires de la partie tour operating progresse de 8%, alors que le nombre de passagers affiche une hausse de 2%.
Un résultat obtenu alors que le printemps arabe et la crise économique sont venus jouer les troubles fêtes dans les carnets de commandes des voyagistes.
"La Tunisie, le Maroc, l'Egypte sont des destinations importantes pour National Tours. Elles ont représenté en 2010 respectivement 4000, 3000 et 1500 clients".
Pour compenser le manque à gagner, le TO a pu compter sur les destinations méditerranéennes : Italie, Sicile, Espagne et ses îles, Grèce et Crète ; mais également sur les destinations longs-courriers.
"Le repositionnement engagé porte ses fruits. Nous enregistrons une progression de 25% du chiffre d'affaires long courrier et de 13 % en nombre de voyageurs. Nous sommes en ligne avec nos objectifs" précise Thierry Houalard. Asie, Mexique, Pérou, Bolivie et USA ont ainsi tiré vers le haut le panier moyen.
"Notre savoir faire sur les circuits accompagnés avec une clientèle de proximité séduit les voyageurs de 50 à 75 ans moins touchés par la conjoncture économique défavorable," souligne le président de National Tours.
Agences intégrées : volume d'affaires en recul de 3%
Autre atout, pour le TO, le périmètre de distribution s'est étoffé en 2011.
Thierry Houalard constate en effet une progression des ventes des distributeurs au "cas par cas" : "Notre site marchand, refondu en janvier dernier, nous a amené de nouvelles agences de façon indirecte, leurs clients débarquant avec nos offres imprimées sous le bras. Conséquence, +25% d'agences nous ont revendu sur l'année. Et c'est une vraie tendance."
Mais il tient à rassurer qu'il s'agit de "points de ventes situés dans des zones où nous n'avons pas de partenaires."
Côté distribution, les 36 agences intégrées accusent en revanche un retrait de 3% du volume d'affaires entre le 1er octobre 2010 et le 30 septembre 2011, par rapport à la même période l'année précédente.
"Nos agences ne revendent pas uniquement des produits National Tours, qui d'ailleurs s'en sortent mieux que les offres des autres TO , et elles ont été davantage touchées par la conjoncture et le printemps arabe".
Thierry Houalard constate en effet une progression des ventes des distributeurs au "cas par cas" : "Notre site marchand, refondu en janvier dernier, nous a amené de nouvelles agences de façon indirecte, leurs clients débarquant avec nos offres imprimées sous le bras. Conséquence, +25% d'agences nous ont revendu sur l'année. Et c'est une vraie tendance."
Mais il tient à rassurer qu'il s'agit de "points de ventes situés dans des zones où nous n'avons pas de partenaires."
Côté distribution, les 36 agences intégrées accusent en revanche un retrait de 3% du volume d'affaires entre le 1er octobre 2010 et le 30 septembre 2011, par rapport à la même période l'année précédente.
"Nos agences ne revendent pas uniquement des produits National Tours, qui d'ailleurs s'en sortent mieux que les offres des autres TO , et elles ont été davantage touchées par la conjoncture et le printemps arabe".
National Tours poursuit le développement de son réseau partenaires
Pour 2012, l'heure sera donc à la consolidation des acquis pour le réseau intégré.
"Nous allons faire le dos rond et consolider nos bases. Mais nous restons toutefois attentifs aux bonnes opportunités".
En revanche, le voyagiste poursuivra le développement de son réseau de "partenaires". En ligne de mire notamment : le Sud Ouest, l'Est et le Sud Est de la France.
Déjà plus d'une centaine d'agences ont choisi ce modèle. Avantage : elles disposent de l'exclusivité des produits sur leur zone de chalandise.
Si la mise sur le marché de la brochure 2011-2012 se présente bien pour National Tours, avec des réservations pour l'hiver en "progression sensible", Thierry Houalard préfère rester prudent.
Élections, manque de visibilité sur les destinations du Maghreb, contexte économique incertain, le président de National tours prévoit une année 2012 compliquée...
"Nous allons faire le dos rond et consolider nos bases. Mais nous restons toutefois attentifs aux bonnes opportunités".
En revanche, le voyagiste poursuivra le développement de son réseau de "partenaires". En ligne de mire notamment : le Sud Ouest, l'Est et le Sud Est de la France.
Déjà plus d'une centaine d'agences ont choisi ce modèle. Avantage : elles disposent de l'exclusivité des produits sur leur zone de chalandise.
Si la mise sur le marché de la brochure 2011-2012 se présente bien pour National Tours, avec des réservations pour l'hiver en "progression sensible", Thierry Houalard préfère rester prudent.
Élections, manque de visibilité sur les destinations du Maghreb, contexte économique incertain, le président de National tours prévoit une année 2012 compliquée...