Nice : "Sur la première année pleine (mars 2012, mars 2013) de la base, nous avons engrangé 300000 passagers supplémentaires pour environ 2,9 millions de passagers" - Photo DR Easyjet
TourMaG.com - Quel impact de la base sur le trafic d’Easyjet à Nice Côte d’azur ?
François Bacchetta : « La base niçoise nous a permis d’accentuer le trafic avec les villes de Bordeaux, Lille, Nantes mais aussi d’ouvrir sur Barcelone, Naples, Venise des destinations très populaires.
C’est sur le trafic domestique que les résultats ont été les plus spectaculaires. Nous avons affecté à la base un A320 avec 40 personnels navigants et 24 pilotes.
Sur la première année pleine (mars 2012, mars 2013) de la base, nous avons engrangé 300000 passagers supplémentaires pour environ 2,9 millions de passagers.
Nous avons la capacité d’augmenter les fréquences ou d’ouvrir d’autres destinations sur le domestique ou l’international.
Nous allons consolider notre implantation sachant que pour le premier trimestre à Nice nous avons encore une progression à deux chiffres. Mais les bases de Nice et de Toulouse ont été pour la compagnie un nouveau relais de croissance. »
François Bacchetta : « La base niçoise nous a permis d’accentuer le trafic avec les villes de Bordeaux, Lille, Nantes mais aussi d’ouvrir sur Barcelone, Naples, Venise des destinations très populaires.
C’est sur le trafic domestique que les résultats ont été les plus spectaculaires. Nous avons affecté à la base un A320 avec 40 personnels navigants et 24 pilotes.
Sur la première année pleine (mars 2012, mars 2013) de la base, nous avons engrangé 300000 passagers supplémentaires pour environ 2,9 millions de passagers.
Nous avons la capacité d’augmenter les fréquences ou d’ouvrir d’autres destinations sur le domestique ou l’international.
Nous allons consolider notre implantation sachant que pour le premier trimestre à Nice nous avons encore une progression à deux chiffres. Mais les bases de Nice et de Toulouse ont été pour la compagnie un nouveau relais de croissance. »
F. Bacchetta - DR
TourMaG.com - Quelles sont les nouveautés pour 2013 ?
François Bacchetta : « Pour l’offre réseau, nous aviserons en fonction des potentialités de trafic avec la direction de l’aéroport.
Nous consolidons les ouvertures. Pour les passagers, nous continuons à améliorer le service offert.
En fin d’année nous avons permis de choisir son siège et avant l’été nous allons développer la carte d’embarquement électronique via une application mobile.
On pourra faire son enregistrement en ligne et imprimer sa carte d’embarquement.
Cela simplifie le parcours du passager en aéroport et lui évite les queues intermédiaires toujours stressantes. »
TourMaG.com - Quels sont vos relais de croissance au plan national ?
François Bacchetta : « Il reste encore de la marge de développement en France sachant que le low cost ne représente que 24 % contre 43 % au plan européen.
Le lancement de Hop par Air France ne nous inquiète pas.
Cette nouvelle compagnie stimule le marché en rendant plus accessible le transport aérien.
Mais elle est le résultat de la fusion de compagnies régionales aux flottes composées de petits modules et aux identités bien différentes.
Les coûts d’exploitation s’en ressentent. Indirectement nous en profitons avec l’apport d’une nouvelle clientèle qui se reporte sur l’aérien grâce à la baisse des prix. Notre modèle reste un trafic point à point sans correspondance à un tarif compétitif. »
François Bacchetta : « Pour l’offre réseau, nous aviserons en fonction des potentialités de trafic avec la direction de l’aéroport.
Nous consolidons les ouvertures. Pour les passagers, nous continuons à améliorer le service offert.
En fin d’année nous avons permis de choisir son siège et avant l’été nous allons développer la carte d’embarquement électronique via une application mobile.
On pourra faire son enregistrement en ligne et imprimer sa carte d’embarquement.
Cela simplifie le parcours du passager en aéroport et lui évite les queues intermédiaires toujours stressantes. »
TourMaG.com - Quels sont vos relais de croissance au plan national ?
François Bacchetta : « Il reste encore de la marge de développement en France sachant que le low cost ne représente que 24 % contre 43 % au plan européen.
Le lancement de Hop par Air France ne nous inquiète pas.
Cette nouvelle compagnie stimule le marché en rendant plus accessible le transport aérien.
Mais elle est le résultat de la fusion de compagnies régionales aux flottes composées de petits modules et aux identités bien différentes.
Les coûts d’exploitation s’en ressentent. Indirectement nous en profitons avec l’apport d’une nouvelle clientèle qui se reporte sur l’aérien grâce à la baisse des prix. Notre modèle reste un trafic point à point sans correspondance à un tarif compétitif. »
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