La compagnie possède deux catamarans hydrojets de 27 mètres dotés de quatre moteurs permettent aux 150 passagers de voyager à 35 nœuds mettant Saint-Tropez à 1h20 et Cannes à 45 mn de Nice.
Le confort vise les touristes d’affaires et en priorité, les clients de la croisière. Le service comprend hôtesses d'accueil, cabine climatisée et insonorisée, écrans plats pour regarder un film, un bar. Les résultats positifs de cet été pourraient inciter la compagnie à mettre en service des liaison vers Monaco ou San Rémo.
La société veut également obtenir un agrément pour charger les passagers directement à l’aéroport de Nice. Rapid explorer peut donc envisager l’équilibre financier dès la saison, en 2005.
Seul handicap pour que les azuréens prennent la mer... son coût : 70 euros pour un aller-retour Nice-Cannes ! Difficile dans ces conditions de cibler la clientèle des actifs se rendant à leur travail. C’est plus cher que par l’autoroute ou le train qui propose une desserte ferroviaire rapide. Il faudrait pour cela adapter le tarif, le service, les horaires et les lieux d’embarquement.
Solution contribuant au désengorgement du réseau routier
“Il est clair que ce type de service pour être démocratisé en terme de tarifs ne peut être viable sans une implication des pouvoirs publics, précise Raymond Kalley. Mais la voie maritime peut être une solution contribuant au désengorgement chronique du réseau routier littoral.
Car parallèlement à cette expérience le SITP (Syndicat Intercommunal des Trans-ports publics) a mis en service une navette maritime entre Cannes et Mandelieu . Elle a trouvé son public auprès des habitants, des actifs et des touristes qui ont préféré prendre la mer plutôt que leur voiture. L’expérience est d’ailleurs prolongée jusqu’à octobre.
La Côte d’Azur prend ainsi conscience que le domaine maritime peut être aussi un formidable espace pour améliorer les transports interurbains. D’autres régions dans le monde l’ont, depuis longtemps, intégré dans leur politique globale des déplacements.
Le confort vise les touristes d’affaires et en priorité, les clients de la croisière. Le service comprend hôtesses d'accueil, cabine climatisée et insonorisée, écrans plats pour regarder un film, un bar. Les résultats positifs de cet été pourraient inciter la compagnie à mettre en service des liaison vers Monaco ou San Rémo.
La société veut également obtenir un agrément pour charger les passagers directement à l’aéroport de Nice. Rapid explorer peut donc envisager l’équilibre financier dès la saison, en 2005.
Seul handicap pour que les azuréens prennent la mer... son coût : 70 euros pour un aller-retour Nice-Cannes ! Difficile dans ces conditions de cibler la clientèle des actifs se rendant à leur travail. C’est plus cher que par l’autoroute ou le train qui propose une desserte ferroviaire rapide. Il faudrait pour cela adapter le tarif, le service, les horaires et les lieux d’embarquement.
Solution contribuant au désengorgement du réseau routier
“Il est clair que ce type de service pour être démocratisé en terme de tarifs ne peut être viable sans une implication des pouvoirs publics, précise Raymond Kalley. Mais la voie maritime peut être une solution contribuant au désengorgement chronique du réseau routier littoral.
Car parallèlement à cette expérience le SITP (Syndicat Intercommunal des Trans-ports publics) a mis en service une navette maritime entre Cannes et Mandelieu . Elle a trouvé son public auprès des habitants, des actifs et des touristes qui ont préféré prendre la mer plutôt que leur voiture. L’expérience est d’ailleurs prolongée jusqu’à octobre.
La Côte d’Azur prend ainsi conscience que le domaine maritime peut être aussi un formidable espace pour améliorer les transports interurbains. D’autres régions dans le monde l’ont, depuis longtemps, intégré dans leur politique globale des déplacements.