Jeudi 11 avril 2013, Michael O’Leary, Directeur général (Dg) de Ryanair, a rejeté les accusations de deux de ses ex-employées qui veulent lui intenter un procès en Norvège pour des conditions de travail décrites comme "esclavagistes", selon l’AFP.
Dans le pays, la compagnie low-cost irlandaise fait l’objet d’un appel au boycott. Il a été lancé par des responsables syndicaux et politiques norvégiens.
En réaction, le Dg s’estime victime d’ "une série de fausses allégations" en lien avec une campagne de dénigrement orchestrée, selon lui, par les syndicats.
"Nous respectons totalement la législation irlandaise et la législation européenne", a martelé M. O’Leary lors d’une conférence de presse à l’aéroport de Rygge dans le Sud de la Norvège.
Cette semaine, une ancienne hôtesse de l’air du transporteur à bas-coûts a annoncé qu’elle comptait l’assigner en justice pour violation du droit de travail et licenciement injuste. Une deuxième devrait faire de même.
Elles pensent toutes les deux que la compagnie ne respecte pas la législation norvégienne en versant des salaires faibles et en privant ses employés de certains droits dans une ambiance de travail marquée par un régime de terreur et de stress.
Dans le pays, la compagnie low-cost irlandaise fait l’objet d’un appel au boycott. Il a été lancé par des responsables syndicaux et politiques norvégiens.
En réaction, le Dg s’estime victime d’ "une série de fausses allégations" en lien avec une campagne de dénigrement orchestrée, selon lui, par les syndicats.
"Nous respectons totalement la législation irlandaise et la législation européenne", a martelé M. O’Leary lors d’une conférence de presse à l’aéroport de Rygge dans le Sud de la Norvège.
Cette semaine, une ancienne hôtesse de l’air du transporteur à bas-coûts a annoncé qu’elle comptait l’assigner en justice pour violation du droit de travail et licenciement injuste. Une deuxième devrait faire de même.
Elles pensent toutes les deux que la compagnie ne respecte pas la législation norvégienne en versant des salaires faibles et en privant ses employés de certains droits dans une ambiance de travail marquée par un régime de terreur et de stress.
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