La fermeture des espaces aériens en Europe a également impacté le secteur de l'hôtellerie. MKG Hospitality note que les établissements situés proches des aéroports et les établissements de centre ville dépendant de la clientèle internationale "subissent actuellement un lourd préjudice."
L'éruption du volcan islandais qui a provoqué un nuage de cendres a eu un double impact sur le secteur hôtelier.
D'une part, la fermeture de l'espace aérien jeudi 15 avril a provoqué "un surcroît d’activité sur les deux journées de jeudi et vendredi dans les hôtels en bordure des aéroports, compensant les annulations des clients qui n’ont pu atteindre leur destination."
D'autre part, à partir du samedi 17 avril, "l’impact négatif des annulations de voyages, des reports de séjours et des réunions d’affaires se fait sentir de plus en plus cruellement, particulièrement autour de Roissy, qui perd 13 points de taux d’occupation par rapport à la même période de 2009, déjà touchée par les effets de la crise."
L'éruption du volcan islandais qui a provoqué un nuage de cendres a eu un double impact sur le secteur hôtelier.
D'une part, la fermeture de l'espace aérien jeudi 15 avril a provoqué "un surcroît d’activité sur les deux journées de jeudi et vendredi dans les hôtels en bordure des aéroports, compensant les annulations des clients qui n’ont pu atteindre leur destination."
D'autre part, à partir du samedi 17 avril, "l’impact négatif des annulations de voyages, des reports de séjours et des réunions d’affaires se fait sentir de plus en plus cruellement, particulièrement autour de Roissy, qui perd 13 points de taux d’occupation par rapport à la même période de 2009, déjà touchée par les effets de la crise."
Selon MKG Hospitality, les hôtels de centre ville, notamment dans les grandes métropoles d’affaires comme Paris, font état d’une série d’annulations de l’ordre de 20 à 30 % du planning des voyages individuels et surtout des séminaires.