La SNCF exploite, en effet, les Trains express régionaux (T.E.R) pour le compte de la Région. « Constatant des difficultés en ce début d’été, j’ai demandé au Directeur régional de tout mettre en œuvre afin que la période estivale et la rentrée de septembre se déroulent dans les meilleures conditions a indiqué le Président de Région.
Ceci alors même que « le développement de l’offre engagé par la Région, notamment avec la réouverture de la ligne Cannes-Grasse, exigera plus de moyens dans un avenir proche » rappelle Michel Vauzelle.
Le Président de Région a exprimé la souhait que l’Etat donne les moyens humains et matériels à la SNCF de telle sorte que « celle-ci puisse sans limitation répondre aux demandes des Régions. La politique préjudiciable conduite actuellement dans le domaine du fret ne doit pas trouver de prolongement dans la mise en œuvre des T.E.R. » a souligné Michel Vauzelle.
«Le gouvernement ne doit pas asphyxier l’entreprise nationale»
Alors que la Région multiplie les efforts, aux côtés des cheminots, pour développer un service public ferroviaire indispensable au développement durable de Provence-Alpes-Côte d’Azur, « le gouvernement ne doit pas asphyxier l’entreprise nationale au mépris du service ferroviaire régional dont la compétence incombe aux Régions.
Le gouvernement voudrait faire la démonstration que la SNCF n’est plus en mesure d’assumer ses missions qu’il ne s’y prendrait pas autrement » a affirmé Michel Vauzelle.
Je trouve bien curieux, a ajouté le président de la Région, la publication ces jours-ci d’un rapport parlementaire qui encourage la privatisation du service public ferroviaire en suggérant d’ouvrir le capital de l’entreprise aux investisseurs privés ».
Cela vient s’ajouter aux décisions de l’Etat de retarder quand ce n’est pas de stopper les financements des chantiers ferroviaires qui devaient démarrer fin 2004. « Aix-Marseille, Marseille-Aubagne, la troisième voie littorale entre Antibes et Nice, et la liaison intergares d’Avignon semblent remises en cause » a précisé Michel Vauzelle.
Cet arrêt des grands chantiers « serait un véritable coup de frein à l’emploi et au développement économique et social de notre région ».
Ceci alors même que « le développement de l’offre engagé par la Région, notamment avec la réouverture de la ligne Cannes-Grasse, exigera plus de moyens dans un avenir proche » rappelle Michel Vauzelle.
Le Président de Région a exprimé la souhait que l’Etat donne les moyens humains et matériels à la SNCF de telle sorte que « celle-ci puisse sans limitation répondre aux demandes des Régions. La politique préjudiciable conduite actuellement dans le domaine du fret ne doit pas trouver de prolongement dans la mise en œuvre des T.E.R. » a souligné Michel Vauzelle.
«Le gouvernement ne doit pas asphyxier l’entreprise nationale»
Alors que la Région multiplie les efforts, aux côtés des cheminots, pour développer un service public ferroviaire indispensable au développement durable de Provence-Alpes-Côte d’Azur, « le gouvernement ne doit pas asphyxier l’entreprise nationale au mépris du service ferroviaire régional dont la compétence incombe aux Régions.
Le gouvernement voudrait faire la démonstration que la SNCF n’est plus en mesure d’assumer ses missions qu’il ne s’y prendrait pas autrement » a affirmé Michel Vauzelle.
Je trouve bien curieux, a ajouté le président de la Région, la publication ces jours-ci d’un rapport parlementaire qui encourage la privatisation du service public ferroviaire en suggérant d’ouvrir le capital de l’entreprise aux investisseurs privés ».
Cela vient s’ajouter aux décisions de l’Etat de retarder quand ce n’est pas de stopper les financements des chantiers ferroviaires qui devaient démarrer fin 2004. « Aix-Marseille, Marseille-Aubagne, la troisième voie littorale entre Antibes et Nice, et la liaison intergares d’Avignon semblent remises en cause » a précisé Michel Vauzelle.
Cet arrêt des grands chantiers « serait un véritable coup de frein à l’emploi et au développement économique et social de notre région ».