Hop! sacrifiée sur l'autel de la rentabilité et désignée comme "bouc-émissaire" ? /crédit photo AF
"À l’heure où de nombreux secteurs d’activités sont impactés par la crise du covid-19, l’aérien semble être devenu un des acteurs principaux de la création du monde « d’après », ayant le devoir de devenir plus propre et responsable.
HOP ! se retrouve projetée dans un scénario jamais envisagé.
Là où les prévisions de croissance étaient quelques fois à deux chiffres, nous avons soudainement basculé dans l’inconnu, l’inimaginable, l’incertitude totale.
Néanmoins, quelle que soit la situation, les dirigeants des entreprises de compagnies aériennes se doivent d’imaginer le futur. Il n’est pas simple, mais cela leur incombe.
Pour ce qui concerne Air France, une fois acquise l'aide indispensable de l'état, se dessinent de plus en plus clairement de nouvelles pistes stratégiques . Le charismatique patron d'Air France fait passer son message, annonce l’obligation d'un retour à la rentabilité sur le court-courrier...
Le court-courrier Air France, c'est 200 millions d’euros de pertes.
HOP ! se retrouve projetée dans un scénario jamais envisagé.
Là où les prévisions de croissance étaient quelques fois à deux chiffres, nous avons soudainement basculé dans l’inconnu, l’inimaginable, l’incertitude totale.
Néanmoins, quelle que soit la situation, les dirigeants des entreprises de compagnies aériennes se doivent d’imaginer le futur. Il n’est pas simple, mais cela leur incombe.
Pour ce qui concerne Air France, une fois acquise l'aide indispensable de l'état, se dessinent de plus en plus clairement de nouvelles pistes stratégiques . Le charismatique patron d'Air France fait passer son message, annonce l’obligation d'un retour à la rentabilité sur le court-courrier...
Le court-courrier Air France, c'est 200 millions d’euros de pertes.
Le court-courrier Air France, c'est 200 millions d’euros de pertes
Autres articles
-
Air Antilles met la pression sur Air France et Corsair !
-
Air France et KLM suspendent (temporairement) Zanzibar en 2025
-
eSIM : un service pour les clients et une source de revenu pour les agences ? [ABO]
-
Censure : les compagnies doivent rembourser la taxe de solidarité !
-
ITA Airways : un mariage qui fait les affaires... d'Air France et easyjet !
Il serait illusoire de croire que l'attrition, voire la disparition de HOP !, résoudraient l'ampleur du gouffre financier. Il est confortable de cacher ses propres responsabilités dans sa compagnie en pointant du doigt un « vilain petit canard »
Air France tient son « coupable idéal » La presse, soucieuse de trouver des solutions « clés en main », se fait le relais et enterre la compagnie sous prétexte de rentabilité et d’écologie.
La rentabilité du réseau court-courrier Air France est d'abord et avant tout un problème Air France. HOP ! est une compagnie agile, flexible, qui a depuis longtemps prouvé sa capacité à s'adapter.
Ses modules de 100 places sont une véritable opportunité sur un réseau adapté. Air France doit admettre que les modules Airbus ne sont pas en cohérence avec le marché, sur l'ensemble du réseau domestique Air France.
Pas plus que ne le seraient des Boeing, si TRANSAVIA devait être positionnée en régions et depuis l’aéroport d’Orly.
L'aéronautique doit se réinventer, soit : Air France ne doit pas chercher un « bouc émissaire » mais affronter ses propres responsabilités !
HOP ne doit pas être l'arbre qui cache la forêt mais celui qui en fait partie, et de ceux des plus robustes !"
Les organisations Syndicales de HOP ! CFDT, CGT, CFE-CGC, SNPL, UNAC, FUC, SPL, SNGAF, SNPNC, UNPNC, UNSA,
Air France tient son « coupable idéal » La presse, soucieuse de trouver des solutions « clés en main », se fait le relais et enterre la compagnie sous prétexte de rentabilité et d’écologie.
La rentabilité du réseau court-courrier Air France est d'abord et avant tout un problème Air France. HOP ! est une compagnie agile, flexible, qui a depuis longtemps prouvé sa capacité à s'adapter.
Ses modules de 100 places sont une véritable opportunité sur un réseau adapté. Air France doit admettre que les modules Airbus ne sont pas en cohérence avec le marché, sur l'ensemble du réseau domestique Air France.
Pas plus que ne le seraient des Boeing, si TRANSAVIA devait être positionnée en régions et depuis l’aéroport d’Orly.
L'aéronautique doit se réinventer, soit : Air France ne doit pas chercher un « bouc émissaire » mais affronter ses propres responsabilités !
HOP ne doit pas être l'arbre qui cache la forêt mais celui qui en fait partie, et de ceux des plus robustes !"
Les organisations Syndicales de HOP ! CFDT, CGT, CFE-CGC, SNPL, UNAC, FUC, SPL, SNGAF, SNPNC, UNPNC, UNSA,