Cinq diplômés du Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Cambridge ont récemment gagné un concours organisé par l’agence spatiale américaine en présentant un projet de construction haut de gamme pour séjourner dans l’espace, baptisée MARINA (Managed, Reconfigurable, In-space Nodal Assembly).
Forts de cette reconnaissance, ils développent actuellement avec la NASA, un hôtel de luxe en divisant la Station Spatiale Internationale en deux parties : d’un côté l’hôtel de luxe, de l’autre la station de recherches.
Avantages : la NASA serait ainsi en mesure de réduire quelque peu ses coûts opérationnels, notamment compte tenu de l’arrêt en 2020-2030 de la Station spatiale internationale qui entraînerait une perte d’environ 200 milliards de dollars.
Rappelons que ce n’est pas le premier projet du genre, puisque l’année dernière SpaceX envoyait un prototype de maison gonflable à destination de l’ISS. Dénommée Bigelow Expandable Activity Module (BEAM). La structure pesait 1,4 tonnes et pouvait se gonfler pour former une module de 2 à 4 mètres de long sur 2,36 à 3,23 mètres de hauteur. La NASA va tester ce concept pendant deux ans et si cela s’avère être un succès, les créateurs du BEAM envisagent alors d’en fabriquer un plus grand, de la taille d’un bungalow…
Forts de cette reconnaissance, ils développent actuellement avec la NASA, un hôtel de luxe en divisant la Station Spatiale Internationale en deux parties : d’un côté l’hôtel de luxe, de l’autre la station de recherches.
Avantages : la NASA serait ainsi en mesure de réduire quelque peu ses coûts opérationnels, notamment compte tenu de l’arrêt en 2020-2030 de la Station spatiale internationale qui entraînerait une perte d’environ 200 milliards de dollars.
Rappelons que ce n’est pas le premier projet du genre, puisque l’année dernière SpaceX envoyait un prototype de maison gonflable à destination de l’ISS. Dénommée Bigelow Expandable Activity Module (BEAM). La structure pesait 1,4 tonnes et pouvait se gonfler pour former une module de 2 à 4 mètres de long sur 2,36 à 3,23 mètres de hauteur. La NASA va tester ce concept pendant deux ans et si cela s’avère être un succès, les créateurs du BEAM envisagent alors d’en fabriquer un plus grand, de la taille d’un bungalow…
Si sur notre bonne vieille terre, déjà des drones font des livraisons, la société Astrobotic, se veut être le ‘’Chronopost de l’espace’’.
Créée en 2007, cette start-up américaine, qui s’est donnée pour mission de livrer du fret sur le satellite naturel de la Terre, vient d’annoncer qu’elle embarquera son module lunaire à bord d’une fusée Atlas V de la firme United Launch Alliance (ULA) en 2019.
Pour cette première tentative, le Peregrine Lunar Lander, son cargo spatial, déposera une charge de 35 kg à la surface de la Lune. Selon la société, 11 clients de six pays ont déjà signé pour participer à ce premier envoi. Pour les missions suivantes, son engin devrait pouvoir embarquer jusqu’à 265 kg de fret.
Pour l’occasion, notons que le groupe de logistique “conventionnel” DHL a mis en place une offre spéciale pour permettre aux particuliers d’embarquer un tout petit colis dans le Peregrine Lunar Lander. Une fois déposé à la surface de la Lune, une photo souvenir leur sera envoyée.
Cette information souligne un peu plus l’emprise des sociétés privées en matière de tourisme spatial et dans le cas de DHL, les services induits pouvant exister dans le domaine du spatial.
Créée en 2007, cette start-up américaine, qui s’est donnée pour mission de livrer du fret sur le satellite naturel de la Terre, vient d’annoncer qu’elle embarquera son module lunaire à bord d’une fusée Atlas V de la firme United Launch Alliance (ULA) en 2019.
Pour cette première tentative, le Peregrine Lunar Lander, son cargo spatial, déposera une charge de 35 kg à la surface de la Lune. Selon la société, 11 clients de six pays ont déjà signé pour participer à ce premier envoi. Pour les missions suivantes, son engin devrait pouvoir embarquer jusqu’à 265 kg de fret.
Pour l’occasion, notons que le groupe de logistique “conventionnel” DHL a mis en place une offre spéciale pour permettre aux particuliers d’embarquer un tout petit colis dans le Peregrine Lunar Lander. Une fois déposé à la surface de la Lune, une photo souvenir leur sera envoyée.
Cette information souligne un peu plus l’emprise des sociétés privées en matière de tourisme spatial et dans le cas de DHL, les services induits pouvant exister dans le domaine du spatial.
Le premier centre d'entrainement au monde pour les explorateurs de l'extrême, Blue Abyss, ouvrira ses portes en 2019 à Bedforshire, au Royaume-Uni.
Au programme, des simulations de vol spatial au niveau de gravité zéro, des chambres à faible pression atmosphérique, une mise en situation de A à Z pour garantir le bon déroulement du futur voyage hors-normes des clients.
Pour ceux qui ne se voient pas parcourir l'univers de sitôt, le centre proposera des simulations de divertissement, comme une mission sur Mars. À cela s'ajoute 120 chambres d’hôtel et un "centre de performance humaine".
Cette main tendue à l'innovation et au tourisme audacieux a un prix : le coût de construction du centre s'élève à 136 millions d'euros. Normal quand on sait que Blueabyss.uk proposera une piscine de 50 mètres de profondeur, trois fois plus profonde que celle de la NASA… !
Concernant le prix des forfaits ‘’seminaire’’, ‘’incentive’’ ou individuel, il vous faudra encore patienter une vingtaine de mois…
Au programme, des simulations de vol spatial au niveau de gravité zéro, des chambres à faible pression atmosphérique, une mise en situation de A à Z pour garantir le bon déroulement du futur voyage hors-normes des clients.
Pour ceux qui ne se voient pas parcourir l'univers de sitôt, le centre proposera des simulations de divertissement, comme une mission sur Mars. À cela s'ajoute 120 chambres d’hôtel et un "centre de performance humaine".
Cette main tendue à l'innovation et au tourisme audacieux a un prix : le coût de construction du centre s'élève à 136 millions d'euros. Normal quand on sait que Blueabyss.uk proposera une piscine de 50 mètres de profondeur, trois fois plus profonde que celle de la NASA… !
Concernant le prix des forfaits ‘’seminaire’’, ‘’incentive’’ ou individuel, il vous faudra encore patienter une vingtaine de mois…
La startup Axiom Space a annoncé qu’elle était en train de concevoir la première station spatiale privée ayant une vocation entièrement commerciale.
Celle-ci serait réservée entre autres à la manufacture en dehors de l’atmosphère terrestre, mais aussi au tourisme spatial, permettant ainsi à ceux qui le désirent de s’offrir un tour peut-être plus accessible dans un vaisseau en orbite autour de la Terre.
Les deux hommes à porter ce projet ne sont pas n’importe qui puisqu’il s’agit d’une part de Michael Suffredini, qui a été un cadre de la NASA et plus particulièrement le directeur du programme ISS pendant 10 Kam et d’autre part Ghaffarian, PDG de la société SGT, Inc.
La Stationspaciale Internationale finissant définitivement sa mission en 2024, le projet de station privée d’Axion Space pourrait donc prendre la relève.
D’ailleurs, la startup prévoit de démarrer les tests de sa station sous la forme d’un module commercial qui irait se brancher sur le dernier port disponible de l’ISS d’ici 2020 ou 2021.
Celle-ci serait réservée entre autres à la manufacture en dehors de l’atmosphère terrestre, mais aussi au tourisme spatial, permettant ainsi à ceux qui le désirent de s’offrir un tour peut-être plus accessible dans un vaisseau en orbite autour de la Terre.
Les deux hommes à porter ce projet ne sont pas n’importe qui puisqu’il s’agit d’une part de Michael Suffredini, qui a été un cadre de la NASA et plus particulièrement le directeur du programme ISS pendant 10 Kam et d’autre part Ghaffarian, PDG de la société SGT, Inc.
La Stationspaciale Internationale finissant définitivement sa mission en 2024, le projet de station privée d’Axion Space pourrait donc prendre la relève.
D’ailleurs, la startup prévoit de démarrer les tests de sa station sous la forme d’un module commercial qui irait se brancher sur le dernier port disponible de l’ISS d’ici 2020 ou 2021.
Dynamisme, Enthousiasme, lnnovation et Diversité sont bien les leviers de ce que l’on dénomme aujourd’hui le « NEW SPACE AGE » qui ne désigne pas un renouveau mais une ouverture de l'espace à de nouveaux acteurs, notamment privés, et une extension du champ d'application des technologies spatiales.
Michel MESSAGER est directeur associé de Consul Tours, société de conseil travaillant pour une clientèle privée et institutionnelle dans les secteurs du tourisme.
Après avoir occupé les postes de Secrétaire Général du Tourisme Français, puis de Directeur Commercial de Touropa et Directeur du pôle tourisme du Groupe Verney , il rejoint en 1997 l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme) en qualité de Secrétaire Général jusqu’à fin 2007, période à laquelle, encore jeune retraité, il décide de réactiver sa société de Conseils créée au début des années 90.
Nommé par le Ministre chargé du tourisme en 2005, puis en 2012, il siège au Conseil National du Tourisme en qualité de Président Délégué de la section économie touristique et fonde avec plusieurs personnalités du tourisme l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme) dont il assure la Présidence.
Il est l’auteur d’un livre sur le Tourisme Spatial publié à la documentation française et de plusieurs articles sur le sujet.
Il est considéré actuellement comme un de spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.
Après avoir occupé les postes de Secrétaire Général du Tourisme Français, puis de Directeur Commercial de Touropa et Directeur du pôle tourisme du Groupe Verney , il rejoint en 1997 l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme) en qualité de Secrétaire Général jusqu’à fin 2007, période à laquelle, encore jeune retraité, il décide de réactiver sa société de Conseils créée au début des années 90.
Nommé par le Ministre chargé du tourisme en 2005, puis en 2012, il siège au Conseil National du Tourisme en qualité de Président Délégué de la section économie touristique et fonde avec plusieurs personnalités du tourisme l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme) dont il assure la Présidence.
Il est l’auteur d’un livre sur le Tourisme Spatial publié à la documentation française et de plusieurs articles sur le sujet.
Il est considéré actuellement comme un de spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.