L'équipe commerciale de Plein Vent - DR Plein Vent
"Nous avons touché le fond mais le plus dur est aujourd'hui derrière nous. 2017 sera l'année du rebond".
Un an après son rachat par le groupe LBO France, le PDG de Plein Vent, Joost Bourlon affiche un optimisme sans faille.
Et les premières tendances semblent lui donner raison. Les ventes de sa brochure estivale ont démarré en trombe. Depuis septembre 2016, les prises de commandes sur les circuits longs-courrier sont supérieures à celles enregistrées en 2014, voire même en 2013.
En revanche, le moyen-courrier souffre toujours, avec des prises de commandes en recul de 10 à 15% sur cet hiver.
Les agences de voyages semblent échaudées par la faillite de la compagnie Air Méditerranée, qui a contraint Plein Vent à revoir son plan de vols en changeant parfois les dates et les villes de départ.
Mais toutes ces péripéties sont aujourd'hui derrière lui. Ses engagements aériens sont même supérieurs de 25% par rapport à l'année précédente. Le groupe a également réussi à réduire les sièges vides sur les charters, passant de 20 à 5% en 2016.
Grâce aux synergies mises en œuvre entre sa maison mère Fram et leur nouvel actionnaire LBO, Joost Bourlon a même réussi à négocier de meilleurs prix d'achat, lui permettant ainsi d'améliorer ses marges.
Les prestataires locaux des trois anciennes marques ont été mis en concurrence et le groupe n'en a gardé qu'un seul et unique : celui qui offrait le meilleur prix.
Chaque tour-opérateur conserve toutefois ses caractéristiques et son identité propre : les clients ne seront pas mélangés.
Un an après son rachat par le groupe LBO France, le PDG de Plein Vent, Joost Bourlon affiche un optimisme sans faille.
Et les premières tendances semblent lui donner raison. Les ventes de sa brochure estivale ont démarré en trombe. Depuis septembre 2016, les prises de commandes sur les circuits longs-courrier sont supérieures à celles enregistrées en 2014, voire même en 2013.
En revanche, le moyen-courrier souffre toujours, avec des prises de commandes en recul de 10 à 15% sur cet hiver.
Les agences de voyages semblent échaudées par la faillite de la compagnie Air Méditerranée, qui a contraint Plein Vent à revoir son plan de vols en changeant parfois les dates et les villes de départ.
Mais toutes ces péripéties sont aujourd'hui derrière lui. Ses engagements aériens sont même supérieurs de 25% par rapport à l'année précédente. Le groupe a également réussi à réduire les sièges vides sur les charters, passant de 20 à 5% en 2016.
Grâce aux synergies mises en œuvre entre sa maison mère Fram et leur nouvel actionnaire LBO, Joost Bourlon a même réussi à négocier de meilleurs prix d'achat, lui permettant ainsi d'améliorer ses marges.
Les prestataires locaux des trois anciennes marques ont été mis en concurrence et le groupe n'en a gardé qu'un seul et unique : celui qui offrait le meilleur prix.
Chaque tour-opérateur conserve toutefois ses caractéristiques et son identité propre : les clients ne seront pas mélangés.
Retour à l'équilibre en 2017 ?
Coté catalogue, la production reste à 86% identique à l'an passé.
L'offre veut rester simple, avec au maximum de 4 choix par destination : un hôtel animé, des appartements, un hôtel en demi-pension et un circuit.
Enfin, le TO devrait très prochainement bénéficier des compétences technologiques du groupe LBO pour améliorer ses outils Internet et planche sur un site B2B commun entre Fram et Plein Vent.
Grâce à tous ces ajustements, Joost Bourlon est convaincu de son retour à l'équilibre financier pour 2017.
En 2015, il avait fait partir 105 000 clients pour un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros et un résultat d'exploitation positif.
S'il refuse de communiquer sur les chiffres 2016, forcément mauvais à cause du dépôt de bilan et de l'incertitude du rachat, il est convaincu d'être sur la bonne voie. "Nous disposons aujourd'hui de bases solides pour y parvenir, avec une offre dimensionnée par rapport au marché".
Il aura donc fallu une petite année pour que Plein Vent retrouve la confiance des agences de voyages, son principal canal de ventes.
"Les professionnels craignaient que notre nouvel actionnaire ne siphonne le fichier clients, ou alors qu'il brade les voyages sur Internet. Toutes ces appréhensions ne sont pas justifiées", assure Joost Bourlon.
Il insiste sur le soutien financier de LBO, qui va éponger les dettes de Plein Vent, même si elles devraient être supérieures aux prévisions.
Car pour lui, il reste une place à se faire dans le paysage touristique français, entre les deux géants TUI et Thomas Cook. "Les professionnels ne laisseront pas la bipolarisation s'imposer".
L'offre veut rester simple, avec au maximum de 4 choix par destination : un hôtel animé, des appartements, un hôtel en demi-pension et un circuit.
Enfin, le TO devrait très prochainement bénéficier des compétences technologiques du groupe LBO pour améliorer ses outils Internet et planche sur un site B2B commun entre Fram et Plein Vent.
Grâce à tous ces ajustements, Joost Bourlon est convaincu de son retour à l'équilibre financier pour 2017.
En 2015, il avait fait partir 105 000 clients pour un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros et un résultat d'exploitation positif.
S'il refuse de communiquer sur les chiffres 2016, forcément mauvais à cause du dépôt de bilan et de l'incertitude du rachat, il est convaincu d'être sur la bonne voie. "Nous disposons aujourd'hui de bases solides pour y parvenir, avec une offre dimensionnée par rapport au marché".
Il aura donc fallu une petite année pour que Plein Vent retrouve la confiance des agences de voyages, son principal canal de ventes.
"Les professionnels craignaient que notre nouvel actionnaire ne siphonne le fichier clients, ou alors qu'il brade les voyages sur Internet. Toutes ces appréhensions ne sont pas justifiées", assure Joost Bourlon.
Il insiste sur le soutien financier de LBO, qui va éponger les dettes de Plein Vent, même si elles devraient être supérieures aux prévisions.
Car pour lui, il reste une place à se faire dans le paysage touristique français, entre les deux géants TUI et Thomas Cook. "Les professionnels ne laisseront pas la bipolarisation s'imposer".
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