Départ de Bora Bora, le groupe Tourcom est composé par Ghislaine Homond, Flash Voyages à Maisons-Alfort (94), Agathe Sicouly, Nomades Royan (17), Amélie Moreau, Comptoir du Monde Rochefort (17), Valéry Petitjean, Horizons Plus – Stella Voyage à La Varenne Saint-Hilaire, Marie Cazaudehore, Terres Evasion à Pau (64) ; Sylvie Demoulin de Voyage Conseil Bourgogne, Dijon (21), Sophie Auger, Avaricum Voyages à Bourges (18). Accompagnées par : Magalie Ravallec Technico-commerciale groupes et voyages à la carte chez Tourcom et Candice Saugère, directrice des ventes Europe (hors Italie) Italieton Polynésie Française - Photo M.S.
En décembre dernier 7 adhérentes Tourcom, 3 directrices chef d’entreprise, 1 chef de comptoir et 3 agents de comptoir ont réalisé ce voyage au très long cours.
Voyage organisé pour le réseau volontaire avec la collaboration de Air Tahiti Nui, les hôtels Hilton et Pearl de Polynésie (SPM) et le réceptif Tahiti Nui Travel.
Au programme de ce voyage : 4 îles - Tahiti, Moorea, Bora Bora, Tikehau - et 5 hôtels (3 Pearl et 2 Hilton) dont les dames de Tourcom ont profité pleinement.
Elles ont en effet séjourné au moins 2 nuits dans chacun des hôtels, et participé aux excursions, comme des clientes, en toute liberté.
« C’est la grande différence avec les voyages organisés par les tour-opérateurs qui multiplient les visites d’hôtels. Ici, je ne les ai pas visités, je les ai vécus. J’ai adoré. Je n’y croyais pas ! » dit Amélie Moreau, agent de comptoir à Rochefort.
Travailler directement avec des réceptifs garantis par le réseau, garder leur indépendance et leur liberté tout en ayant la possibilité de pratiquer une politique « enseigne » sont les avantages mis en avant par les adhérentes du réseau Tourcom rencontrées en Polynésie.
Voyage organisé pour le réseau volontaire avec la collaboration de Air Tahiti Nui, les hôtels Hilton et Pearl de Polynésie (SPM) et le réceptif Tahiti Nui Travel.
Au programme de ce voyage : 4 îles - Tahiti, Moorea, Bora Bora, Tikehau - et 5 hôtels (3 Pearl et 2 Hilton) dont les dames de Tourcom ont profité pleinement.
Elles ont en effet séjourné au moins 2 nuits dans chacun des hôtels, et participé aux excursions, comme des clientes, en toute liberté.
« C’est la grande différence avec les voyages organisés par les tour-opérateurs qui multiplient les visites d’hôtels. Ici, je ne les ai pas visités, je les ai vécus. J’ai adoré. Je n’y croyais pas ! » dit Amélie Moreau, agent de comptoir à Rochefort.
Travailler directement avec des réceptifs garantis par le réseau, garder leur indépendance et leur liberté tout en ayant la possibilité de pratiquer une politique « enseigne » sont les avantages mis en avant par les adhérentes du réseau Tourcom rencontrées en Polynésie.
La Polynésie, pour beaucoup, est le voyage d'une vie
Valéry Petitjean, directrice d’une agence à la Varenne Saint-Hilaire dans la région parisienne fut durant 14 ans une enseigne Jet tours.
Elle garde la nostalgie d’une certaine époque. « Ce furent des années merveilleuses, nous étions une grande famille jusqu’au rachat par Thomas Cook » dit-elle sans détour.
« Nous étions montés en gamme avec beaucoup de succès. Mon agence faisait partie du top 5 des meilleures ventes Jet tours et l’un des premiers messages de Denis Wathier fut de nous dire que notre concurrent numéro 1 était Marmara.
Puis la qualité des services a baissé. A destinations les représentants étaient supprimés… ».
Après ce moment de blues dans un décor de carte postale, elle reprend le sourire pour commenter la Polynésie. « Une cliente m’avait dit qu’elle s’est assise pour pleurer tellement c’était beau !
Je la comprends maintenant. J’ai adoré l’accueil des polynésiens, les paysages, nager avec les poissons, pique-niquer sur un motu pieds dans une eau transparente.
J’ai plongé en Mer Rouge… Rien à voir. Je vendais déjà la Polynésie à une clientèle de plongeurs. Je voulais me spécialiser.
Le fait d’avoir fait le voyage me conforte. C’est un voyage qui revient cher.
Pour beaucoup, il est le voyage d’une vie. Nous n’avons pas droit à l’erreur. Les inter-îles sont compliquées à monter. Il faut trouver les meilleures offres hôtelières. Le fait de travailler avec un réceptif expérimenté et bien implanté se justifie ici pleinement ».
Elle garde la nostalgie d’une certaine époque. « Ce furent des années merveilleuses, nous étions une grande famille jusqu’au rachat par Thomas Cook » dit-elle sans détour.
« Nous étions montés en gamme avec beaucoup de succès. Mon agence faisait partie du top 5 des meilleures ventes Jet tours et l’un des premiers messages de Denis Wathier fut de nous dire que notre concurrent numéro 1 était Marmara.
Puis la qualité des services a baissé. A destinations les représentants étaient supprimés… ».
Après ce moment de blues dans un décor de carte postale, elle reprend le sourire pour commenter la Polynésie. « Une cliente m’avait dit qu’elle s’est assise pour pleurer tellement c’était beau !
Je la comprends maintenant. J’ai adoré l’accueil des polynésiens, les paysages, nager avec les poissons, pique-niquer sur un motu pieds dans une eau transparente.
J’ai plongé en Mer Rouge… Rien à voir. Je vendais déjà la Polynésie à une clientèle de plongeurs. Je voulais me spécialiser.
Le fait d’avoir fait le voyage me conforte. C’est un voyage qui revient cher.
Pour beaucoup, il est le voyage d’une vie. Nous n’avons pas droit à l’erreur. Les inter-îles sont compliquées à monter. Il faut trouver les meilleures offres hôtelières. Le fait de travailler avec un réceptif expérimenté et bien implanté se justifie ici pleinement ».
Agence à Dijon : une dizaine de voyages de noce vendue par an
Sylvie Demoulin directrice d’une agence à Dijon avait réalisé, voici 10 ans, son voyage de noce en Polynésie.
Un vrai coup de cœur. Depuis, elle s’est lancée dans une formation, s’est inscrite au elearning, a rempli le process qui demande - entre autres challenge - de réaliser 4 ventes dans l’année, challenge récompensé par éductour.
Elle a réalisé un troisième voyage en gagnant au tirage au sort le soir de la certification !
Elle s’est spécialisée dans les voyages de noce.
Sur la seule Polynésie, elle en réalise une dizaine chaque année ce qui représente un volume d’affaires de l’ordre de 100 000 euros.
Elle affirme produire en partenariat avec les réceptifs garantis par Tourcom 60 % de ses voyages à la carte. « Je reconnais que je passe beaucoup de temps sur les dossiers. Je gagne sans doute moins mais ce n’est pas grave. Je fais ce que j’aime ».
Un vrai coup de cœur. Depuis, elle s’est lancée dans une formation, s’est inscrite au elearning, a rempli le process qui demande - entre autres challenge - de réaliser 4 ventes dans l’année, challenge récompensé par éductour.
Elle a réalisé un troisième voyage en gagnant au tirage au sort le soir de la certification !
Elle s’est spécialisée dans les voyages de noce.
Sur la seule Polynésie, elle en réalise une dizaine chaque année ce qui représente un volume d’affaires de l’ordre de 100 000 euros.
Elle affirme produire en partenariat avec les réceptifs garantis par Tourcom 60 % de ses voyages à la carte. « Je reconnais que je passe beaucoup de temps sur les dossiers. Je gagne sans doute moins mais ce n’est pas grave. Je fais ce que j’aime ».
Tahiti Nui Travel : 8 000 produits en ligne
Leur réceptif polynésien, Tahiti Nui Travel, (aucun lien avec la compagnie aérienne) est un pionnier, opérationnel sur le terrain depuis 1965.
Il s’adresse aux professionnels du tourisme, tous secteurs confondues. A leur intention, il vient de lancer un nouveau portail B2B.
« Des hôtels internationaux aux lodges écolos, des excursions aux vols internationaux et locaux notre base de données regroupe 8 000 produits mis à jour au quotidien.
Sur les principaux hébergements nous donnons un inventaire complet des chambres avec allotements, disponibilités et tarifs en ligne » précise Stéphane Sonnet.
Le directeur Marketing, Stratégie et Développement de cette agence réceptive souligne la complexité de ce « produit » atypique et coûteux.
Les 118 îles de Polynésie Française s’étendent sur une surface grande comme l’Europe (sans la Russie) mais les terres émergées ne représentent que 4 000 km2 (la moitié de la Corse).
Elles sont regroupées en 5 archipels.
Tahiti, la plus grande des îles et porte d’entrée de ce Pays d’Outre-Mer (POM) est à 1 500 kilomètres des Marquises, à 1 200 de l’archipel des Iles Australes
Il faut sans cesse jongler avec les horaires des liaisons aériennes inter-îles, les transferts souvent maritimes et les hébergements qui excèdent rarement les 3 ou 4 jours. Les visiteurs, notamment ceux venus d’Europe, visitent 3 îles, au minimum.
Il s’adresse aux professionnels du tourisme, tous secteurs confondues. A leur intention, il vient de lancer un nouveau portail B2B.
« Des hôtels internationaux aux lodges écolos, des excursions aux vols internationaux et locaux notre base de données regroupe 8 000 produits mis à jour au quotidien.
Sur les principaux hébergements nous donnons un inventaire complet des chambres avec allotements, disponibilités et tarifs en ligne » précise Stéphane Sonnet.
Le directeur Marketing, Stratégie et Développement de cette agence réceptive souligne la complexité de ce « produit » atypique et coûteux.
Les 118 îles de Polynésie Française s’étendent sur une surface grande comme l’Europe (sans la Russie) mais les terres émergées ne représentent que 4 000 km2 (la moitié de la Corse).
Elles sont regroupées en 5 archipels.
Tahiti, la plus grande des îles et porte d’entrée de ce Pays d’Outre-Mer (POM) est à 1 500 kilomètres des Marquises, à 1 200 de l’archipel des Iles Australes
Il faut sans cesse jongler avec les horaires des liaisons aériennes inter-îles, les transferts souvent maritimes et les hébergements qui excèdent rarement les 3 ou 4 jours. Les visiteurs, notamment ceux venus d’Europe, visitent 3 îles, au minimum.
3 questions à C. Saugère Directrice des ventes Europe des hôtels Hilton Polynésie
Candice Saugère - DR
Pendant 6 ans, de 2006 à 2012, basée à Madrid, Candice Saugère, Directrice des ventes Europe des hôtels Hilton Polynésie, a assuré la promotion de la Polynésie sur le marché espagnol. Depuis mars 2012, elle s’est installée à Paris pour promouvoir sur les marchés européens, hors l’Italie, les deux hôtels Hilton situés sur les îles Moorea et Bora Bora en Polynésie Française.
TourMaG.com - D’où vient votre parfaite connaissance de la Polynésie et comment avez-vous été amenée à représenter les hôtels Hilton de Polynésie ?
Candice Saugère : J’ai passé avec mes parents qui y travaillaient une vingtaine d’années à Tahiti.
J’y ai gardé des attaches, des amis. Je connais bien les îles et leurs infrastructures hôtelières. Mon engagement pour Hilton a du sens.
Ce sont deux établissements magnifiquement situés et intégrés dans leur environnement. Je connais leurs directeurs.
La marque américaine, très forte, pourrait donner une fausse image de ces deux resorts.
Ils n’ont aucune commune mesure avec les traditionnels hôtels d’affaires du groupe Hilton. Il y a là un travail de fond à faire.
TourMaG.com - Vous avez suivi de près, pendant plusieurs années, l’évolution du tourisme polynésien. Comment cette destination « de rêve » a-t-elle supporté les crises ?
C .S. : Le marché français représentait 43 000 visiteurs fin 2006. Ils étaient 36 000 visiteurs fin 2011. Tous marchés confondus les archipels polynésiens accueillaient 163 000 touristes en 2011.
Ils étaient 218 000 en 2006. On voit les effets de la crise alors que le tourisme est essentiel pour l’économie de la Polynésie française. Il représente 13 % de son PIB.
Après 4 années noires nous observons heureusement une relance pour la saison 2012/2013.
Elle est particulièrement significative sur les marchés Etats-Unis et Australie. L’Europe se stabilise.
Environ 170 000 touristes auront visité la Polynésie française à la fin de l'année 2012, contre 162 000 en 2011. La France est le premier marché européen. Les liens affinitaires y sont pour beaucoup. Suivent l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et le Royaume-Uni.
TourMaG.com - Les 2 hôtels Hilton Resort et les 5 hôtels Pearl de Polynésie sont gérés par une même compagnie, la South Pacific Management. Comment vous répartissez-vous les rôles sur le terrain ?
C.S. : Il s’agit d’hôtels indépendants dont les propriétaires ont transmis la gestion et la commercialisation à un organisme spécialisé.
Un exemple : j’ai été engagée par SPM.
Hilton et Pearl sont « cousins » mais chacune des marques a ses propres équipes, ses forces de ventes, ses propres plans marketing et budgets.
La Polynésie est complexe à vendre. C’est une multi-destination avec des vols intérieurs. Il faut être attentif aux heures d’arrivée et de départ.
C’est pourquoi nous travaillons essentiellement avec les agences réceptives polynésiennes.
TourMaG.com - D’où vient votre parfaite connaissance de la Polynésie et comment avez-vous été amenée à représenter les hôtels Hilton de Polynésie ?
Candice Saugère : J’ai passé avec mes parents qui y travaillaient une vingtaine d’années à Tahiti.
J’y ai gardé des attaches, des amis. Je connais bien les îles et leurs infrastructures hôtelières. Mon engagement pour Hilton a du sens.
Ce sont deux établissements magnifiquement situés et intégrés dans leur environnement. Je connais leurs directeurs.
La marque américaine, très forte, pourrait donner une fausse image de ces deux resorts.
Ils n’ont aucune commune mesure avec les traditionnels hôtels d’affaires du groupe Hilton. Il y a là un travail de fond à faire.
TourMaG.com - Vous avez suivi de près, pendant plusieurs années, l’évolution du tourisme polynésien. Comment cette destination « de rêve » a-t-elle supporté les crises ?
C .S. : Le marché français représentait 43 000 visiteurs fin 2006. Ils étaient 36 000 visiteurs fin 2011. Tous marchés confondus les archipels polynésiens accueillaient 163 000 touristes en 2011.
Ils étaient 218 000 en 2006. On voit les effets de la crise alors que le tourisme est essentiel pour l’économie de la Polynésie française. Il représente 13 % de son PIB.
Après 4 années noires nous observons heureusement une relance pour la saison 2012/2013.
Elle est particulièrement significative sur les marchés Etats-Unis et Australie. L’Europe se stabilise.
Environ 170 000 touristes auront visité la Polynésie française à la fin de l'année 2012, contre 162 000 en 2011. La France est le premier marché européen. Les liens affinitaires y sont pour beaucoup. Suivent l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et le Royaume-Uni.
TourMaG.com - Les 2 hôtels Hilton Resort et les 5 hôtels Pearl de Polynésie sont gérés par une même compagnie, la South Pacific Management. Comment vous répartissez-vous les rôles sur le terrain ?
C.S. : Il s’agit d’hôtels indépendants dont les propriétaires ont transmis la gestion et la commercialisation à un organisme spécialisé.
Un exemple : j’ai été engagée par SPM.
Hilton et Pearl sont « cousins » mais chacune des marques a ses propres équipes, ses forces de ventes, ses propres plans marketing et budgets.
La Polynésie est complexe à vendre. C’est une multi-destination avec des vols intérieurs. Il faut être attentif aux heures d’arrivée et de départ.
C’est pourquoi nous travaillons essentiellement avec les agences réceptives polynésiennes.
Air Tahiti Nui
La Compagnie aérienne polynésienne relie Paris à PAPEETE jusqu’à 7 fois par semaine, en 22 heures de vol via Los Angeles au départ de l’Aéroport Charles de Gaulle 2A.
Les vols sont effectués avec des AIRBUS A340-300 de dernière génération équipés de trois classes.
A bord, les hôtesses portent la robe traditionnelle et distribuent des fleurs de tiaré. Dès l’embarquement, le dépaysement est là.
Accord TGVAir
Grâce aux accords passés entre Air Tahiti Nui et TGVAir qui relie 19 villes de province à la gare TGV de l’aéroport Charles de Gaulle, on peut acheter un billet unique sur internet comprenant le trajet A/R Province/Aéroport CDG en TGV et le vol Paris-Papeete.
La Compagnie aérienne polynésienne relie Paris à PAPEETE jusqu’à 7 fois par semaine, en 22 heures de vol via Los Angeles au départ de l’Aéroport Charles de Gaulle 2A.
Les vols sont effectués avec des AIRBUS A340-300 de dernière génération équipés de trois classes.
A bord, les hôtesses portent la robe traditionnelle et distribuent des fleurs de tiaré. Dès l’embarquement, le dépaysement est là.
Accord TGVAir
Grâce aux accords passés entre Air Tahiti Nui et TGVAir qui relie 19 villes de province à la gare TGV de l’aéroport Charles de Gaulle, on peut acheter un billet unique sur internet comprenant le trajet A/R Province/Aéroport CDG en TGV et le vol Paris-Papeete.