Une actualité aéronautique bien chargée en cette rentrée, avec aussi la nomination à venir d’un nouveau gouvernement ce qui, entre parenthèses devrait avoir son importance. - Crédit : Depositphotos. Rawintanpin
Parenthèse : « nom féminin désignant entre autres une période différente du cours des événements» nous dit le dictionnaire.
À regarder l’actualité du tourisme et du transport aérien ces derniers mois, c’est ce mot qui vient à l’esprit pour évoquer l’actualité et se projeter dans les mois qui viennent.
D’autant plus que ce mot de « parenthèse », les J.O. de Paris l’ont mis sur toutes les lèvres.
À regarder l’actualité du tourisme et du transport aérien ces derniers mois, c’est ce mot qui vient à l’esprit pour évoquer l’actualité et se projeter dans les mois qui viennent.
D’autant plus que ce mot de « parenthèse », les J.O. de Paris l’ont mis sur toutes les lèvres.
JO, la parenthèse enchantée
Saluons donc cette magnifique parenthèse enchantée des Jeux olympiques de Paris et par conséquent cette claque administrée aux « anti tout » , ceux qui priaient pour un échec et dont nous apprécions pour encore quelques jours, quelques heures, le silence.
Du point de vue des retombées, elle n’aura pas fait les affaires d’Air France concernant les remplissages et les recettes.
Anne Rigail estimait dernièrement à 200 millions d’euros le manque à gagner pour le groupe Air France - KLM due à la désaffection des voyageurs pendant les jeux.
Cependant, après avoir géré sans problème majeur, l’acheminement, l’arrivée, le départ des athlètes, l’image de la compagnie française ainsi que celle des infrastructures d’Aéroport de Paris en ressortent grandis.
Le PDG du Groupe ADP, Augustin de Romanet, devrait pouvoir finir son mandat avec la satisfaction du dernier devoir bien accompli.
Qui pour le remplacer ? Ce sera une des actualités de la rentrée.
Ces JO auront aussi renforcé l’attractivité de Paris qui s’est montrée au monde sous une image superbe et qui en récoltera à coup sûr les fruits.
N’oublions pas non plus lors de cette période bénie, la beauté du vieux port et la rade de Marseille, la Polynésie et tous ces sites français magnifiés par le passage de la flamme olympique avec une population enthousiaste, souriante, unie et joyeuse ….Y compris à Paris !
Quel exploit ! Même si Didier Arino, le directeur du cabinet Protourisme parlait d’un premier bilan mitigé de l’été 2024 et d’un impact des JO « survendu » aux professionnels du tourisme, la quinzaine olympique et ses images magnifiques agirent comme une formidable publicité pour la France et Paris.
La parenthèse d’évitement du début de l’été fait place à une autre parenthèse, celle des réservations de dernière minute.
La semaine dernière, Joan, touriste portugais fraichement débarqué à Orly avouait à nos confrères du Parisien que les images des JO lui avaient donné l’envie de redécouvrir Paris.
Et d’acheter ces billets vers la capitale à la dernière minute. Transavia, toujours dans les colonnes du Parisien, confirmait ces jours derniers cette tendance, observant un pic de réservations de dernière minute, surtout que les prix ont baissé.
Du point de vue des retombées, elle n’aura pas fait les affaires d’Air France concernant les remplissages et les recettes.
Anne Rigail estimait dernièrement à 200 millions d’euros le manque à gagner pour le groupe Air France - KLM due à la désaffection des voyageurs pendant les jeux.
Cependant, après avoir géré sans problème majeur, l’acheminement, l’arrivée, le départ des athlètes, l’image de la compagnie française ainsi que celle des infrastructures d’Aéroport de Paris en ressortent grandis.
Le PDG du Groupe ADP, Augustin de Romanet, devrait pouvoir finir son mandat avec la satisfaction du dernier devoir bien accompli.
Qui pour le remplacer ? Ce sera une des actualités de la rentrée.
Ces JO auront aussi renforcé l’attractivité de Paris qui s’est montrée au monde sous une image superbe et qui en récoltera à coup sûr les fruits.
N’oublions pas non plus lors de cette période bénie, la beauté du vieux port et la rade de Marseille, la Polynésie et tous ces sites français magnifiés par le passage de la flamme olympique avec une population enthousiaste, souriante, unie et joyeuse ….Y compris à Paris !
Quel exploit ! Même si Didier Arino, le directeur du cabinet Protourisme parlait d’un premier bilan mitigé de l’été 2024 et d’un impact des JO « survendu » aux professionnels du tourisme, la quinzaine olympique et ses images magnifiques agirent comme une formidable publicité pour la France et Paris.
La parenthèse d’évitement du début de l’été fait place à une autre parenthèse, celle des réservations de dernière minute.
La semaine dernière, Joan, touriste portugais fraichement débarqué à Orly avouait à nos confrères du Parisien que les images des JO lui avaient donné l’envie de redécouvrir Paris.
Et d’acheter ces billets vers la capitale à la dernière minute. Transavia, toujours dans les colonnes du Parisien, confirmait ces jours derniers cette tendance, observant un pic de réservations de dernière minute, surtout que les prix ont baissé.
Hausse des prix : la parenthèse estivale
JO mais aussi inflation, baisse du pouvoir d’achat, ont entrainé une offre supérieure à la demande ouvrant une autre parenthèse dans ce phénomène d’augmentation constante des prix du billet constaté depuis des mois.
Cet été, et même dès le printemps dernier, les promotions ont fleuri sur un grand nombre de destinations.
Selon la Direction générale de l’Aviation civile, le tarif moyen des vols internationaux au départ de France a chuté de 4, 4 % sur un an en juin, et de 5, 7 % sur l’Atlantique nord.
Aux États-Unis, l’indice des prix des billets d’avion au départ des villes américaines était retombé en juin au niveau de mai 2022.
Des prix à la baisse, presque partout qui n’aideront pas les compagnies à se ressaisir après les résultats décevants du premier semestre à l’image du groupe Air France – KLM qui annonçait fin juillet une perte nette de 314 millions d'euros, contre un bénéfice de 260 millions d'euros à la même période en 2023.
Le groupe français a révisé à la baisse la croissance de ses capacités pour 2024 de 5 à 4% par rapport à 2023.
Et le phénomène est général. Le rival Lufthansa pour son deuxième trimestre fin juin a vu son bénéfice net divisé par deux comparé à la même période l’année dernière.
Même Ryanair a annoncé des résultats inférieurs aux attentes et aux États-Unis, les résultats publiés par Delta sont en deçà des attentes et en baisse de 10% par rapport à l’année dernière.
Cette autre parenthèse enchantée post covid qui avait vu les profits des compagnies s’envoler est-elle en train de se refermer définitivement ?
Cet été, et même dès le printemps dernier, les promotions ont fleuri sur un grand nombre de destinations.
Selon la Direction générale de l’Aviation civile, le tarif moyen des vols internationaux au départ de France a chuté de 4, 4 % sur un an en juin, et de 5, 7 % sur l’Atlantique nord.
Aux États-Unis, l’indice des prix des billets d’avion au départ des villes américaines était retombé en juin au niveau de mai 2022.
Des prix à la baisse, presque partout qui n’aideront pas les compagnies à se ressaisir après les résultats décevants du premier semestre à l’image du groupe Air France – KLM qui annonçait fin juillet une perte nette de 314 millions d'euros, contre un bénéfice de 260 millions d'euros à la même période en 2023.
Le groupe français a révisé à la baisse la croissance de ses capacités pour 2024 de 5 à 4% par rapport à 2023.
Et le phénomène est général. Le rival Lufthansa pour son deuxième trimestre fin juin a vu son bénéfice net divisé par deux comparé à la même période l’année dernière.
Même Ryanair a annoncé des résultats inférieurs aux attentes et aux États-Unis, les résultats publiés par Delta sont en deçà des attentes et en baisse de 10% par rapport à l’année dernière.
Cette autre parenthèse enchantée post covid qui avait vu les profits des compagnies s’envoler est-elle en train de se refermer définitivement ?
Boeing la parenthèse infernale
Empêtré dans une crise de confiance majeure depuis 2019 suite à deux crashs mortels sur ses Boeing 737 MAX et une longue série d’incidents moins graves, mais spectaculaires, Boeing n’en finit pas de payer pour une longue et inquiétante dérive dans ses procédures de fabrication.
Cette semaine encore c’est au tour du tout nouveau Boeing 777-9 en cours de certification d’être cloué au sol.
Des microfissures sont apparues sur des biellettes du moteur. Même si l’avionneur américain n’est pas directement en cause quant à ce nouveau problème (les moteurs GE9X sont fabriqués par General Electric), c’est un énième coup dur qui entache la réputation de Boeing .
Cet avion sur lequel le constructeur compte beaucoup fait déjà l’objet de nombreuses commandes dont les livraisons seront encore retardées tant que l’avion ne sera pas certifié.
Rendez-vous compte. La seule compagnie Qatar Airways avait déjà passé une première commande de 50 appareils il y a 10 ans pour la somme d’environ 20 milliards de dollars.
Au dernier salon aéronautique de Farnboroughau au Royaume-Uni en juillet dernier, la compagnie qatari avait repris 20 exemplaires. Attendus pour 2024, les premiers B.777-9 pourront-ils être livrés en 2025 ?
Ces vilaines affaires ont déjà couté son poste à son PDG Dave Calhoun.
Son successeur, Kelly Ortberg, ingénieur de formation et qui jouit d’une excellente réputation acquise lorsqu’il présidait Rockwell Collins, un groupe d'avionique de référence dans l’industrie aéronautique, a pour mission de refermer cette parenthèse infernale et réhabiliter Boeing.
Gros challenge et long chemin. « « Je suis convaincu qu’en travaillant ensemble, nous ramènerons l’entreprise au rang de leader du secteur auquel nous aspirons tous », a déclaré Ortberg aux employés de Boeing*.
Sa nomination a été saluée par les analystes qui s’accordent tous à dire que Boeing aura besoin de cinq ans pour se redresser et que les employés, les fournisseurs, les clients et les investisseurs ne reconnaîtront probablement pas qu’il a retrouvé son rythme avant la fin de la décennie.
Cette semaine encore c’est au tour du tout nouveau Boeing 777-9 en cours de certification d’être cloué au sol.
Des microfissures sont apparues sur des biellettes du moteur. Même si l’avionneur américain n’est pas directement en cause quant à ce nouveau problème (les moteurs GE9X sont fabriqués par General Electric), c’est un énième coup dur qui entache la réputation de Boeing .
Cet avion sur lequel le constructeur compte beaucoup fait déjà l’objet de nombreuses commandes dont les livraisons seront encore retardées tant que l’avion ne sera pas certifié.
Rendez-vous compte. La seule compagnie Qatar Airways avait déjà passé une première commande de 50 appareils il y a 10 ans pour la somme d’environ 20 milliards de dollars.
Au dernier salon aéronautique de Farnboroughau au Royaume-Uni en juillet dernier, la compagnie qatari avait repris 20 exemplaires. Attendus pour 2024, les premiers B.777-9 pourront-ils être livrés en 2025 ?
Ces vilaines affaires ont déjà couté son poste à son PDG Dave Calhoun.
Son successeur, Kelly Ortberg, ingénieur de formation et qui jouit d’une excellente réputation acquise lorsqu’il présidait Rockwell Collins, un groupe d'avionique de référence dans l’industrie aéronautique, a pour mission de refermer cette parenthèse infernale et réhabiliter Boeing.
Gros challenge et long chemin. « « Je suis convaincu qu’en travaillant ensemble, nous ramènerons l’entreprise au rang de leader du secteur auquel nous aspirons tous », a déclaré Ortberg aux employés de Boeing*.
Sa nomination a été saluée par les analystes qui s’accordent tous à dire que Boeing aura besoin de cinq ans pour se redresser et que les employés, les fournisseurs, les clients et les investisseurs ne reconnaîtront probablement pas qu’il a retrouvé son rythme avant la fin de la décennie.
Vols commerciaux supersoniques : une parenthèse de 25 ans
Si l’on reste de ce côté de l’Atlantique, voici que commence a pointer le nez effilé d’un avion baptisé « Overture » et qui pourrait bien reprendre l’exploitation des vols commerciaux supersoniques 25 ans après l’arrêt du Concorde.
Cette fois c’est du sérieux et il sera intéressant de suivre le projet Boom supersonic qui devrait être le premier parmi d’autres à se concrétiser.
Les mois à venir seront passionnants. En mars dernier, Boom supersonic a effectué le premier vol historique de son démonstrateur supersonique XB-1 et en juin, elle a achevé la construction de la super-usine « Overture » à Greensboro, en Caroline du Nord.
« Les passagers et les compagnies aériennes ont soif de vols supersoniques », a déclaré Blake Scholl, fondateur et PDG de Boom Supersonic.
United a pris une option pour acheter 15 avions « Overture », une fois que ce dernier aura satisfait aux exigences strictes de United en matière de sécurité, d'exploitation et de durabilité, avec une option pour 35 appareils supplémentaires.
Prévu pour transporter des passagers en 2029, l'avion à zéro émission de carbone volera avec du carburant d'aviation 100 % durable (SAF).
Air France qui continue cette année sa montée en gamme sera-t-elle intéressée, à terme pour offrir à ses clients le luxe de rejoindre New York en 03h00 ?
Cette fois c’est du sérieux et il sera intéressant de suivre le projet Boom supersonic qui devrait être le premier parmi d’autres à se concrétiser.
Les mois à venir seront passionnants. En mars dernier, Boom supersonic a effectué le premier vol historique de son démonstrateur supersonique XB-1 et en juin, elle a achevé la construction de la super-usine « Overture » à Greensboro, en Caroline du Nord.
« Les passagers et les compagnies aériennes ont soif de vols supersoniques », a déclaré Blake Scholl, fondateur et PDG de Boom Supersonic.
United a pris une option pour acheter 15 avions « Overture », une fois que ce dernier aura satisfait aux exigences strictes de United en matière de sécurité, d'exploitation et de durabilité, avec une option pour 35 appareils supplémentaires.
Prévu pour transporter des passagers en 2029, l'avion à zéro émission de carbone volera avec du carburant d'aviation 100 % durable (SAF).
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Silence radio : fin de la parenthèse
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Enfin et en ce lundi de rentrée pour TourMaG, c’est le retour de la communication, des déclarations, des annonces, des bruits du village aéronautique.
La parole, les articles vont renaitre sous le feu d’une actualité légère ou grave, mais très riche que le prochain salon IFTM va faire bouillonner plus tôt que d’habitude dès le 17 septembre prochain.
Pour nombre de compagnies du pavillon français, les sujets ne vont pas manquer.
Le bilan d’un été rendu particulier par les J.O.
Avec des recettes plombées par ces olympiades sur la période la plus rentable de l’année, on suivra avec attention les performances d’Air France sur le troisième trimestre 2024.
Aussi, la compagnie devrait communiquer sur une importante évolution de son produit dans les semaines qui viennent. A suivre aussi, l’arrivée probable d’un actionnaire chez Corsair qui attends toujours le feu vert de Bruxelles pour bénéficier d’une aide de plusieurs dizaines de millions que pourrait lui apporter l’état.
Air Austral devra aussi poursuivre sa restructuration dont le plan a été validé par son Conseil de surveillance en mars dernier en fixant un objectif de 1 216 000 passagers transportés sur le prochain exercice, à compter du mois d'avril 2024.
La compagnie réunionnaise doit aussi réduire ses coûts. Elle a déjà réussi à trouver un accord avec les organisations syndicales qui ont signé, en mai dernier, un accord de performance collective pour les années 2025 à 2026.
Le groupe Dubreuil, quant à lui, dans sa conquête des villes US avec French bee s’offre une parenthèse avec l’ouverture prochaine de Montréal.
Mais comptez sur Christine Ourmières Widener pour être en veille permanente sur les opportunités potentielles que pourrait offrir le marché nord-américain.
Dans le Pacifique, nous suivrons également les débuts de Philippe Marie, nouveau PDG d’Air Tahiti Nui et les nouvelles orientations qu’il souhaite prendre.
Également Air Calin, violemment impactée par la crise en Nouvelle-Calédonie avec comme conséquence la suspension des lignes vers Tokyo et Melbourne, des investissements mis entre parenthèses et une grande partie de son personnel au chômage partiel.
Une actualité aéronautique bien chargée en cette rentrée, avec aussi la nomination à venir d’un nouveau gouvernement, ce qui, entre parenthèses, et au vu de l’action et de l’influence de l’état dans de nombreux dossiers concernant des compagnies aériennes, devrait avoir son importance.
*source : Aviation Week
La parole, les articles vont renaitre sous le feu d’une actualité légère ou grave, mais très riche que le prochain salon IFTM va faire bouillonner plus tôt que d’habitude dès le 17 septembre prochain.
Pour nombre de compagnies du pavillon français, les sujets ne vont pas manquer.
Le bilan d’un été rendu particulier par les J.O.
Avec des recettes plombées par ces olympiades sur la période la plus rentable de l’année, on suivra avec attention les performances d’Air France sur le troisième trimestre 2024.
Aussi, la compagnie devrait communiquer sur une importante évolution de son produit dans les semaines qui viennent. A suivre aussi, l’arrivée probable d’un actionnaire chez Corsair qui attends toujours le feu vert de Bruxelles pour bénéficier d’une aide de plusieurs dizaines de millions que pourrait lui apporter l’état.
Air Austral devra aussi poursuivre sa restructuration dont le plan a été validé par son Conseil de surveillance en mars dernier en fixant un objectif de 1 216 000 passagers transportés sur le prochain exercice, à compter du mois d'avril 2024.
La compagnie réunionnaise doit aussi réduire ses coûts. Elle a déjà réussi à trouver un accord avec les organisations syndicales qui ont signé, en mai dernier, un accord de performance collective pour les années 2025 à 2026.
Le groupe Dubreuil, quant à lui, dans sa conquête des villes US avec French bee s’offre une parenthèse avec l’ouverture prochaine de Montréal.
Mais comptez sur Christine Ourmières Widener pour être en veille permanente sur les opportunités potentielles que pourrait offrir le marché nord-américain.
Dans le Pacifique, nous suivrons également les débuts de Philippe Marie, nouveau PDG d’Air Tahiti Nui et les nouvelles orientations qu’il souhaite prendre.
Également Air Calin, violemment impactée par la crise en Nouvelle-Calédonie avec comme conséquence la suspension des lignes vers Tokyo et Melbourne, des investissements mis entre parenthèses et une grande partie de son personnel au chômage partiel.
Une actualité aéronautique bien chargée en cette rentrée, avec aussi la nomination à venir d’un nouveau gouvernement, ce qui, entre parenthèses, et au vu de l’action et de l’influence de l’état dans de nombreux dossiers concernant des compagnies aériennes, devrait avoir son importance.
*source : Aviation Week
Publié par Christophe Hardin Journaliste AirMaG - TourMaG.com
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