Membre du Snav en tant que réceptif, Jean Laget, PDG de Voyages Mathez à Nice, qui travaille depuis très longtemps avec les plus grandes compagnies de croisière en Méditerranée ou sur l’Atlantique et également pour les congrès à Paris et Nice, ne décolère pas.
« S’il le faut les réceptifs démissionneront, car nous n’avons aucun point commun entre le TO qui vendent leurs produits aux particuliers et nous, réceptifs.
Nous, nous travaillons d’abord avec des organisateurs étrangers de congrès et de grandes compagnies de croisière.
« S’il le faut les réceptifs démissionneront, car nous n’avons aucun point commun entre le TO qui vendent leurs produits aux particuliers et nous, réceptifs.
Nous, nous travaillons d’abord avec des organisateurs étrangers de congrès et de grandes compagnies de croisière.
Nos métiers sont totalement différents et nos problèmes sont très distincts.
Par exemple la TVA et bien d’autres.
Celui qui est à l’origine de ce rapprochement ne connait absolument pas nos métiers.
Les TO, ne sont plus qu’une poignée d’une dizaine au Snav.
Mais ils veulent s’appuyer sur l’importance quantitative des réceptifs (plus de 200 sont membres) pour constituer un effet de masse et être un interlocuteur qui soit pris au sérieux par les institutions.
Mais nos intérêts divergent.
Et c'est sur ce plan que cette réforme est mauvaise. Si elle devait passer, on pourrait envisager de quitter le Snav car nos intérêts ne seraient plus lisibles. »
Par exemple la TVA et bien d’autres.
Celui qui est à l’origine de ce rapprochement ne connait absolument pas nos métiers.
Les TO, ne sont plus qu’une poignée d’une dizaine au Snav.
Mais ils veulent s’appuyer sur l’importance quantitative des réceptifs (plus de 200 sont membres) pour constituer un effet de masse et être un interlocuteur qui soit pris au sérieux par les institutions.
Mais nos intérêts divergent.
Et c'est sur ce plan que cette réforme est mauvaise. Si elle devait passer, on pourrait envisager de quitter le Snav car nos intérêts ne seraient plus lisibles. »