Au palmarès des destinations les plus demandées : la Turquie et les Antilles. Pas de miracle en revanche sur l'Océan indien : « Le chikungunya reste dans les esprits »...
Les chiffres de fréquentation ne sont pas encore tombés, mais le SMT 2006 semble avoir été un bon crû à en juger par le nombre de visiteurs qui se sont pressés dans les allées. Le succès des invitations gratuites semblent d’ailleurs y être pour quelque chose.
De retour de vacances, Valérie, 29 ans, n’est pas venu pour acheter : « j’ai trouvé deux invitations dans ma boîte aux lettres en rentrant et je suis venu avec une amie pour passer le temps », explique cette jeune parisienne.
D’autres se sont montrés plus motivés par la recherche de leurs prochaines vacances. C’est le cas de Dany, 57 ans, et de son amie Jackie, 60 ans, toutes les deux de Paris : « nous cherchions une destination pour partir entre amies en septembre prochain et nous avons trouvé : ce sera le club Riu à Puerto Plata », se félicite Dany.
Retour des Maldives
Ludivine, 32 ans, de Sceaux, est elle aussi satisfaite de sa visite : « c’est un bon moyen de rencontrer des gens qui connaissent parfaitement leur destination et qui peuvent bien nous guider », estime-t-elle, « Les agences de voyages n’ont pas forcément ces informations et, sur Internet, on finit par se noyer ».
Philippe, 47 ans, a quant à lui fait le déplacement depuis Valenciennes, uniquement pour le SMT. « Nous avons bien le salon Tourissima à Lille mais c’est sans comparaison : il y a bien plus d’exposants ici et pour trouver des idées de voyages, c’est bien plus intéressant ».
Du côté des destinations présentes, il faut noter la montée en puissance de l’Asie, dont la superficie a progressé de 11% avec notamment un doublement de la surface du stand coréen, la première participation du Myanmar (Birmanie) et le retour des Maldives après 4 ans d’absence.
La représentante de l’office du tourisme des Maldives est visiblement ravie : « Nous n’avons eu aucune question sur les conséquences du tsunami alors que je m’attendait à des interrogations », précise-t-elle, « en revanche, les visiteurs nous ont demandé beaucoup d’informations sur les hôtels, les activités et les vols ».
Un dossier à 13000 €
A quelques pas de là, l’office du tourisme de Martinique a lui aussi le sourire : « Nous avons attiré du monde et les visiteurs avaient visiblement envie de découvrir ou redécouvrir notre île », s’enthousiasme-t-on sur le stand.
Parmi les offices du tourisme européens, la Géorgie était présente pour la première fois alors que la Suède et la Norvège faisaient leur retour après trois ans d’absence. « Nous sommes de nouveau au SMT car nous avions besoin d’être plus visible », justifie l’office du tourisme norvégien, dont le stand était placé de façon stratégique face à l’entrée.
« Notre présence est un moyen de donner un coup de pouce aux TO qui nous programment et de soutenir le marché ».
Les distributeurs et les TO qui ont fait le déplacement se montrent quant à eux satisfaits. « Les clients sont venus avec des projets précis et nous sommes allés rapidement à l’essentiel », se félicite Patrick Milharo, directeur régional Paris-Ile de France-Normandie de Fram, qui a réalisé 30 dossiers sur son stand dès le premier jour.
Chez Thomas Cook, Karen Bossard, directrice du développement marketing, note une excellente affluence : « en un jour, nous avons distribué les brochures prévues sur 2 jours ! Nous n’en avons jamais autant donné ! »
Au palmarès des destinations les plus demandées : la Turquie et les Antilles. Pas de miracle en revanche sur l’Océan indien : « Le chikungunya reste dans les esprits », remarque Valérie Felicks, chef de l’agence Jet tours Boiloris Voyage, rue Lecourbe à Paris.
La remise de 5% a motivé les clients
La remise de 5% pour tout achat sur le salon a en tout cas motivé les clients. Et pour Afat Voyages, qui a doublé la superficie de son stand, de 80 à 150 m², les ventes sont là aussi au rendez-vous. « Les clients sont venus nous voir une première fois puis ils revenaient pour confirmer et bénéficier des 5% », observe Valérie Bonneau, responsable du développement des agences indépendantes.
Vacances Carrefour proposait même mieux cette année : 7% au lieu des 5% habituels. Une surenchère qui semble avoir porté ses fruits. Même si Catherine Stéphan, responsable régionale Paris Sud de Voyages Carrefour, ne veut pas donner de chiffres, elle affirme avoir accueilli beaucoup de clients et multiplier les ventes.
« Les visiteurs ne venaient d’ailleurs pas pour acheter la Tunisie à 250 € : il s’agit de dossiers plus conséquents, du circuits, du long-courrier », poursuit-elle, « nous avons même bouclé un dossier sur la Nouvelle-Zélande pour un montant de 13000 € ». Preuve que le SMT peut rapporter gros !
De retour de vacances, Valérie, 29 ans, n’est pas venu pour acheter : « j’ai trouvé deux invitations dans ma boîte aux lettres en rentrant et je suis venu avec une amie pour passer le temps », explique cette jeune parisienne.
D’autres se sont montrés plus motivés par la recherche de leurs prochaines vacances. C’est le cas de Dany, 57 ans, et de son amie Jackie, 60 ans, toutes les deux de Paris : « nous cherchions une destination pour partir entre amies en septembre prochain et nous avons trouvé : ce sera le club Riu à Puerto Plata », se félicite Dany.
Retour des Maldives
Ludivine, 32 ans, de Sceaux, est elle aussi satisfaite de sa visite : « c’est un bon moyen de rencontrer des gens qui connaissent parfaitement leur destination et qui peuvent bien nous guider », estime-t-elle, « Les agences de voyages n’ont pas forcément ces informations et, sur Internet, on finit par se noyer ».
Philippe, 47 ans, a quant à lui fait le déplacement depuis Valenciennes, uniquement pour le SMT. « Nous avons bien le salon Tourissima à Lille mais c’est sans comparaison : il y a bien plus d’exposants ici et pour trouver des idées de voyages, c’est bien plus intéressant ».
Du côté des destinations présentes, il faut noter la montée en puissance de l’Asie, dont la superficie a progressé de 11% avec notamment un doublement de la surface du stand coréen, la première participation du Myanmar (Birmanie) et le retour des Maldives après 4 ans d’absence.
La représentante de l’office du tourisme des Maldives est visiblement ravie : « Nous n’avons eu aucune question sur les conséquences du tsunami alors que je m’attendait à des interrogations », précise-t-elle, « en revanche, les visiteurs nous ont demandé beaucoup d’informations sur les hôtels, les activités et les vols ».
Un dossier à 13000 €
A quelques pas de là, l’office du tourisme de Martinique a lui aussi le sourire : « Nous avons attiré du monde et les visiteurs avaient visiblement envie de découvrir ou redécouvrir notre île », s’enthousiasme-t-on sur le stand.
Parmi les offices du tourisme européens, la Géorgie était présente pour la première fois alors que la Suède et la Norvège faisaient leur retour après trois ans d’absence. « Nous sommes de nouveau au SMT car nous avions besoin d’être plus visible », justifie l’office du tourisme norvégien, dont le stand était placé de façon stratégique face à l’entrée.
« Notre présence est un moyen de donner un coup de pouce aux TO qui nous programment et de soutenir le marché ».
Les distributeurs et les TO qui ont fait le déplacement se montrent quant à eux satisfaits. « Les clients sont venus avec des projets précis et nous sommes allés rapidement à l’essentiel », se félicite Patrick Milharo, directeur régional Paris-Ile de France-Normandie de Fram, qui a réalisé 30 dossiers sur son stand dès le premier jour.
Chez Thomas Cook, Karen Bossard, directrice du développement marketing, note une excellente affluence : « en un jour, nous avons distribué les brochures prévues sur 2 jours ! Nous n’en avons jamais autant donné ! »
Au palmarès des destinations les plus demandées : la Turquie et les Antilles. Pas de miracle en revanche sur l’Océan indien : « Le chikungunya reste dans les esprits », remarque Valérie Felicks, chef de l’agence Jet tours Boiloris Voyage, rue Lecourbe à Paris.
La remise de 5% a motivé les clients
La remise de 5% pour tout achat sur le salon a en tout cas motivé les clients. Et pour Afat Voyages, qui a doublé la superficie de son stand, de 80 à 150 m², les ventes sont là aussi au rendez-vous. « Les clients sont venus nous voir une première fois puis ils revenaient pour confirmer et bénéficier des 5% », observe Valérie Bonneau, responsable du développement des agences indépendantes.
Vacances Carrefour proposait même mieux cette année : 7% au lieu des 5% habituels. Une surenchère qui semble avoir porté ses fruits. Même si Catherine Stéphan, responsable régionale Paris Sud de Voyages Carrefour, ne veut pas donner de chiffres, elle affirme avoir accueilli beaucoup de clients et multiplier les ventes.
« Les visiteurs ne venaient d’ailleurs pas pour acheter la Tunisie à 250 € : il s’agit de dossiers plus conséquents, du circuits, du long-courrier », poursuit-elle, « nous avons même bouclé un dossier sur la Nouvelle-Zélande pour un montant de 13000 € ». Preuve que le SMT peut rapporter gros !